Et voilà, ce qui devait arriver arriva, l'heure de la fin des vacances a sonné et 8 jours c'est vraiment trop peu. Surtout pour goûter aux charmes du Finistère Sud, mais il faut s'y résoudre et reprendre le collier (voire la chaîne et le boulet qui vont avec) pour quitter les tongs et endosser le costume des jours tristes. Reste que j'ai une petite touche de bonne humeur qui m'est revenue en mémoire et comme je ne suis pas chienne, je partage. Nan... ne me remerciez pas, c'est cadeau. ;)
Vers 17h, deux jeunes couples arrivent sur la plage. Pendant que les filles s'occupent des nourrissons, les deux gaillards vont tester l'eau. "Pu... ! C'est mal barré, même le sable est froid !" => je précise qu'il exagère un peu, il venait de quitter des chaussettes alors forcément... Une fois de l'eau jusqu'au genoux (et n'étant pas bien fier pour s'immerger au-delà), l'un deux aperçoit un type avec une cuillère à soupe et un petit seau, plié en deux en train de fouiller le sable. Il leur explique qu'il ramasse des palourdes et donne un peu la méthode pour les trouver. Il suffit de guetter les deux petits trous formés par les siphons du bivalve et qui lui permettent de filtrer l'eau. Aussitôt les deux se mettent en quête d'en choper aussi, mais à mains nues (on voit là le côté "super héros"). Vaste programme pour ces débutants de la pêche à pied. À force de labourage manuel et massif des fonds peu profonds, ils arrivent à extraire quelques spécimens et ne sont pas peu fiers de leurs prises. Ils mettent du coeur à l'ouvrage et le plus hardi lance que s'ils ne reviennent pas avec un bon kilo, ils vont passer pour des minus. Du coup ils plongent sans relâche les mains à la recherche des précieuses bestioles.
D'un coup, l'un deux lâche : "Quand y'a qu'un trou, c'est pas bon".
Je n'arrive pas à réprimer un éclat de rire soudain et plonge illico le nez dans mon bouquin pour me donner de la contenance, genre "Oh, il est trop marrant ce livre" (alors qu'il s'agit d'une publication scientifique sur la découverte des atomes, si si, je lis ce genre de trucs, parfaitement et en plus j'aime ça). A quelques mètres et quasiment même moment, une gamine voyant son frère avec les petits crabes qu'il vient d'attraper, lui lance : "Moi j'ai une moule !". Alors là, j'ai été prise d'un fou rire incontrôlable, toute seule sur ma serviette, le nez dans les protons et la tête pleine d'images un peu salaces, parce qu'avec mon esprit mal tourné, il ne pouvait en être autrement, surtout face à de telles perles lâchées spontanément. Il m'en faut peu, mais qu'est-ce que c'est bon de se poiler comme ça ! C'est vraiment tip top d'être en vacances... Sister "sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés..."
Oui, aujourd'hui, je peux le dire, le doute m'habite.
Prise entre deux feux, ne sachant à quel saint me vouer, étant tiraillée de toutes parts, il me fallait obtenir de l'aide.
Nan, parce que là, je me dis, c'est plus possible, j'suis plutôt une chic fille, pas garce pour deux sous et pourtant, j'ai l'impression de ne pas avoir eu ma part du gâteau quand ils ont fait la distribution des portions de bonheur.
Que faire ? Que penser ? Qui voir ? => ou aussi : Qui suis-je ? Où vais-je ? Dans quel BEKVÄM* ?
Une réponse s'impose à moi, aller taper la discut' de tout ça à une vieille connaissance, j'ai nommé : Sainte Rita.
Bon fastoche, rituel classique, je lui glisse 2 € dans la fente, allume la loupiotte (aux vertus magiques présumées, même s'ils ne le mentionnent nullement sur le packaging, histoire d'éviter tout procès éventuel pour non-réalisation du contrat) et je commence à énumérer mentalement les tracas, les bugs, les misères diverses et variées de ma petite life insignifiante. Punaise ! D'un coup un type couine un truc que je ne comprends pas, mais ça semble faire bouger les gens. Je m'approche, croyant à un nouveau messie en formation (bah oui en plus il est black, peut-être un Obama bis ?). Nan, faut juste déguerpir de là, v'l'a t'y pas qu'ils ferment entre 13 et 16h maintenant ? Pff, s'il faut planifier ses crises de foi maintenant, non mais j'vous jure... Du coup, j'espère qu'elle a bien capté mes transmissions de pensées post passage de la grande porte à doubles battants (c'est wi-fi les saintes ?) parce que l'autre type n'avait pas une once de compassion pour nos âmes en perdition. "Tout le monde dehors !" a-t-il décrété, ça rigole pas. Et sinon, c'est coup de pied au cul(te) ?
Je signale au passage que le curé de Saint Augustin sentait franchement la cocotte... et ça, bah ça choque un peu... surtout pour moi qui ne suis déjà pas en odeur de sainteté. Limite ça frôlait la concurrence déloyale, tentative de séduction des pécheresses par des moyens peu catholiques, vous en conviendrez comme moi (oui merci, j'aime bien avoir le soutien de mon public).
Sinon, ce n'est pas que je n'ai pas confiance dans ces trucs là, y'a peut-être même un effet placebo, je n’en sais rien, moi je suis assez open, tant que ça ne nécessite pas de vider un poulet de ses entrailles ou d'envoyer des "martyrs human bombs", je tolère bien.
N'empêche, histoire de mettre toutes les chances de mon côté et de parvenir à pécho une part du bonheur qui me revient (si, si, puisqu'on a droit à notre quart d'heure de célébrité, je peux bien prétendre réclamer un bout de vie heureuse), j'ai collé la même somme dans les mains d'une autre forme de hasard : la Française des Jeux.
On verra donc facilement qui - à mise égale - remportera le super match de l'été :
Sainte Rita Vs Euromillions !
Le choc des titans ! Super Foi (garanti depuis plus de 2000 ans) contre Méga Capital (le pactole à 74 millions) !!!
Perso, je pense plutôt devoir rester sur cette petite maxime qui me sied à merveille : "une main devant, une main derrière et en avant la galère" (oui, j'ai des envolées lyriques parfois). Et je persiste en foulant au pied une expression qui s'est toujours avérée être une vaste escroquerie : Oui ! On peut être malheureux aux jeux ET en amour ! Carrément ! Le cumul des mandats est tout à fait possible en la matière, j'en suis la preuve vivante (et j'en connais plein d'autres).
Reste une interrogation (attention, je ramasse les copies) : si l'argent ne fait pas le bonheur et que la foi ne sauve pas mon âme, que vais-je devenir ?
Bah, rien de plus qu'actuellement, puisque ça fait déjà un bail que c'est comme ça, donc rien de nouveau sous le soleil. Tant pis, faut faire avec, ou plutôt sans, justement.
Dernière chose : sans bonheur, point de salut.
Sister "tranche de foi / vie"
P.S. : si vous cherchez l'épisode - 1 - c'est dans les entrailles de ce blog, mais je vous laisser fouiner, là j'ai une coup de flemme en plus de celui de blues.
L’une des tendances vestimentaires lourdes de cet été est sans nul doute le retour en force d’une couleur improbable et qui vous fait illico un teint de cadavre anémié, j’ai nommé : le vert. Mais attention, pas un petit vert anis tout léger, ni un vert bouteille bien sage qui donne envie de s’en jeter un petit (de verre cette fois) à la terrasse d’une brasserie (genre Pouilly Fuissé frais et de bonne facture).
Non, là il s’agit d’un vert violent, de ceux qui piquent les yeux, genre pomme Granny qui aurait grandi la Hague ou au Tricastin, voire même : « le retour des Martiens contre Rhurbar’hozor ».
L’autre soir, j’ai croisé un spécimen qui a choisi l’option – plus qu’audacieuse – du « total look » version laitue survitaminée. Argh ! Plutôt redoutable comme effet. Bonne aubaine pour les daltoniens qui s’en fiche comme d’une guigne, mais pour nous, c’est une autre paire de manches, parce que ça vous tire l’œil ce truc, c’est horriiib’ !!! Ainsi, elle avait opté pour un charmant bermuda (ou corsaire) très ajusté (les mecs restaient soigneusement derrière elle pour ne pas perdre une miette du spectacle) et un petit top moulant à fines bretelles, le tout agrémenté de bijoux assortis et juché sur des chaussures (vertes aussi, ce qui ne doit pas être facile à trouver d’ailleurs) bien trop hautes pour elle. Elle vacillait dangereusement sur le bord du quai, tentant de maintenir son équilibre instable entre son roulement de hanches et les pièges des étranges picots de sol pour non voyants. Ca fait son petit effet dans le métro parisien et à condition de n’avoir pas trop peur du ridicule.
Mine de rien, moi qui suis une adepte des parcs et jardins, j’y vois au moins un intérêt notable, celui de pouvoir se rouler dans l’herbe jusqu’à plus soif (et de préférence bien accompagnée, c’est plus fun) sans remords, ni scrupules pour le risque de tâches (enfin pour celles couleur chlorophylle car pour les autres…).
Maintenant, vous ne pourrez plus vous empêcher d’y penser quand vous croiserez une nana tout de vert vêtue… « oh ! la cochonne qui doit se faire plaisir à faire des galipettes dans la prairie… » et vous pourrez lui lancer un regard réprobateur ou amusé, c’est selon.
Je n’ai pas osé prendre de photo de ces fashion victims, par respect pour vous qui ne méritez pas un tel châtiment et parce que je vous laisse découvrir par vous-même cette éclosion de verdure qui durera ce que dure les roses, le temps d’un été (tant mieux !). Car la mode d’hier n’est pas celle de demain, ou si, mais pas vraiment tout à fait. Bref, le vert c’est bon uniquement comme camouflage dans le maquis, sinon faut passer son chemin. Oh oui, bien vite oublier que nos yeux souffrent de voir ce vert/verre à moitié plein ou vide, mais moche quand même.
Revue de détail d’une jolie médaille et de son revers.
Quand j’ai embauché chez ce nouvel employeur, il y a deux mois de cela, on m’a « vendu » cette mission comme une opportunité, un genre de « bonus Club Med » ou presque.
Pensez donc, notre principal client se trouvant sur cette île magnifique des Baléares, je m’y voyais déjà… plages immenses, découverte de la ville, des gens et d’un mode de vie dont j’ignore tout. Cet « after work » me semblait bien tentant et tellement plus exotique que les missions habituelles à Levallois, la Défense ou Paris 10.
Bah oui… mais non.
Le client a pris la réservation : le 15 juillet, Orly, vol de 7h10. Ouch ! Ça commence fort. En déduisant le temps d’embarquement, le trajet en taxi (parce que chez moi, y’a pas encore de train à cette heure d’avant les poules), ça nous fait un réveil à 3h ! Damned ! Moi qui ne me couche pas avant 1h ou 2 du mat’, là c’est limite la nuit blanche. Redoutable avant les épreuves à venir. Bon, j’ai bien tenté d’aller me pieuter avant minuit mais pas moyen. En plus, je voulais aller voir le super-méga-wonder feu d’artifice des 120 ans de la Tour Eiffel. Là c’est raté, pff, ça commence mal cette affaire.
Sans parler des voyages en avion qui n’ont pas franchement bonne presse en ce moment où ça tombe comme à Gravelotte. Quitte à aller dans un petit coin de paradis, j’aimerais autant que ce ne soit pas celui où le tôlier s’appelle Saint-Pierre. Enfin, j’dis ça, j’dis rien…
Bien sûr au guichet d’enregistrement, panne informatique, il faut poireauter, encéphalorectomie me guette, j’aurais pu dormir une bonne demie heure de plus. Ensuite escale à Madrid, l’avion suivant est maintenu au sol et retardé pour cause de défaillance électrique. Ok, je check dans mon sac, j’ai un slip en rabe, parce que là ça devient chaud, la flippe n’est pas loin. Après 1h30 de retard, on monte dans l’engin, croisant les doigts et les orteils pour que les mécanos aient eu le temps de trouver la panne et de la réparer.
Il faut l’admettre, arriver chez le client pile-poil pour mettre les pieds sous la table, ça fait pas très pro, mais ils sont pas cools sur Air Europa, pas le moindre verre d’eau ou bricole à avaler, même avec tout ce retard, on peut se gratter et jeûner en silence. La misère ! A moins de claquer ma paye pour un casse-dalle minus et ramoli, très peu pour moi.
À propos de boustifaille, faut avouer un truc, ils sont fortiches les Majorquins pour la cuisine, car leur cantoche est carrément gastronomique et super luxe à côté des immondes selfs industriels français (dont je ne citerai pas les noms pour éviter tout procès, mais je n’en pense pas moins). Equilibré, varié, frais et pas cher, le tout face à une organgeraie et dans une ambiance qui rappelle plus la brasserie pour étudiants que les lieux austères au 3e sous-sol avec plantes en plastique qu’on a chez nous.
Passées les réjouissances de la table et la prise de contact, ce fut boulot, boulot, boulot. Difficile de garder le cap et de ne pas bâiller quand on est debout depuis plus de 16 heures après une telle journée et 38° à l’ombre, j’avoue être plutôt encline à trouver un repos bien mérité. Grossière erreur ! En Espagne, ça ne fonctionne pas comme ça, ici le soir on sort, on va boire un coup puis on dîne tard. Il faut dire qu’à 1 € ou 1,50 € le soda ou la bière, ça reste largement 6 fois moins cher qu’à Paname, donc ils auraient tort de se priver. De là à penser que nos limonadiers parisiens s’en collent plein les poches, il y a un pas que je n’hésiterai pas à franchir, parce qu’en plus il n’y a aucune valeur ajoutée à décapsuler une bouteille, même en terrasse.
Du coup, pas de temps mort, une fois finie la grosse journée de taf, on enchaîne sur le resto. Un véritable établissement dont la finesse des tapas et la variété des goûts et saveurs à littéralement enchanté mon palais. Je n’avais pas aussi bien mangé depuis longtemps, un pur bonheur de finesse gustative si loin des minuscules bouchées grasses et écoeurantes que j’avais pu manger à Paris.
23h30 : buenas noches, hasta mañana.
Il paraît qu’il y avait une piscine dans l’hôtel (au sous-sol, voilà qui n’est pas banal), mais je n’ai pas eu le loisir de la tester. Une douche rapide et effondrement en slip sur les draps. Crevée, kaput, naze, à la ramasse totale.
Le lendemain, rebelote : déj’ aux aurores, taxi, boulot, boulot, boulot et bye bye, l’avion m’attend. Pas eu le temps de finir, car il y a toujours des imprévus, des impondérables, mais il faut partir.
Arrivée dans la zone d’embarquement, il y a une queue immense (nan, pas celle de Rocco bande d'obsédés), un truc de fou, je prie un peu pour que ce ne soit pas mon guichet… raté, c’était bien à cette masse de vacanciers sur le retour qu’il me fallait me joindre pour accéder enfin au vol vers mon home sweet home. Rien de particulier, sinon que l’avion est rempli d’au moins d’un tiers de gamins qui piaillent, chouinent, remuent, des gosses quoi.
Le vol se passait bien, quand d’un coup je vois un nuage énorme, ressemblant à un immense iceberg allant du sol et s’élevant sur plusieurs centaines de mètres de hauteur et de largeur alors qu’autour le ciel est bleu. Hum, impressionnant. Quelques instants plus tard, c’est à notre tour de traverser un gros nuage… ça secoue beaucoup, on est largement ballotés de tous côtés, d’un coup un trou d’air nous fait décrocher, puis un autre, les gosses hurlent, poussent des cris stridents et les parents serrent les dents en attendant que ça passe. On n’est pas fiers et alors qu’on approche d’Orly, on sait que cette phase de descente n’est pas la plus anodine. Après de belles frayeurs, on a fini par arriver entiers et il ne me restait "plus" que deux heures de transports en commun pour rejoindre ma banlieue. Pff, quel périple !
Ainsi, je venais de quitter les plaines arides d’une île dont les paysages m’ont immédiatement rappelé les images de Sergio Leone. Je ne pensais pas qu’on pouvait croiser si près de chez nous, des sols dont la terre battue ocre et les cailloux laissent à penser que la végétation est en sursit permanent. Pourtant, des lauriers roses géants poussent sur les bords de l’autoroute, c'est tellement différent de mes shémas habituels... A l’arrivée c’est orage (ô désespoir, oui, il fallait que je la fasse celle-là) et me voilà retombée dans la grisaille parisienne.
Fin de la mission… jusqu’à l’année prochaine… si je suis toujours dans cette entreprise.
Hum, oui, je sais, mes écrits se font rares, je suis en mode "feignasse de blog" en ce moment, mais que voulez-vous, moi les petits oiseaux qui gazouillent, le temps au beau fixe et les vertes prairies ça me travaille. Bon, les hormones aussi, je suis humaine derrière mon clavier. Donc un peu moins de "no life attitude" et un peu plus d'appel de la forêt, y'a pas de mal à se faire du bien. Voilà l’explication (si vous en aviez vaguement cherché une) et d’ailleurs, vous devriez en prendre un peu de la graine, sortir au grand jour, ainsi nous pourrions tous folâtrer au gré du vent, poussés par la douce brise de la liberté estivale qui gagne nos cœurs et embrase nos tenues légères.
Pardon ? Euh non, je n’ai pas fumé la moquette, juste que je grimpe un peu aux rideaux, mais c’est pas grave docteur, je me soigne… ou pas !!!
Histoire de ne pas vous laisser trop macérer dans votre jus, voici une énigme toute bête pour réveiller le neurone du fond, celui qui roupille au frais près du frigo.
Dites-moi ce que cette image représente pour vous, ce qu’elle vous évoque, si le chiffre en est chargé de sens, si vous vous en tamponnez le coquillard ou si vous n’avez pas compris la question.
Pour ceux qui ne veulent pas participer ou trouvent cela trop vulgaire, pas assez cul…turel, je les laisse en contemplation devant cette œuvre mystérieuse et magnifiquement photographiée par mes soins (oui, je m’autocongratule parfois, mais pas trop, rapport à mes chevilles que je veux garder fines et alertes). Là aussi, ils peuvent commenter, piailler, couiner, se pâmer ou tourner les talons (clic sur la croix rouge en haut à droite).
Z’avez vu, je pense à vous aussi. Ne me décevez pas.
Cet après-midi, il a plu sur Paris. Rien d’extraordinaire là-dedans me direz-vous et je vous l’accorderais volontiers, sinon que la grosse averse a entraîné la fermeture de quelques stations de métro, mais ça ce n’est pas grave, on le sait que notre belle capitale n’est pas étanche et on s’en accommode finalement fort bien.
J’étais en pleine rue quand le ciel m’est tombé sur la tête (par Belenos !), lâchant ses hallebardes et s’acharnant sur mon parapluie qui faisait ce qu’il pouvait face à ce déchaînement météorologique. Juste le temps de traverser le parc Monceau et j’étais trempée jusqu’aux genoux (ça change des os, des eaux et des zoos => voir gnouset non genoux, hiboux, cailloux).
Arrivée dans le métro, je m’assieds sur un strapontin et sors de mon sac une serviette en papier d’un ton carmin, prise un midi dans un bistrot. Après avoir littéralement vidés mes escarpins de l’eau qu’ils contenaient, j’essuie machinalement mes jambes ruisselantes. D’un coup je constate l’air effrayé de la nana qui monte dans la rame et fixe mes guiboles. Je soulève ma cheville droite et jette un œil à mon tour. Damned ! De longues trainées rouge sang remontaient de mes chevilles à mes cuisses ! Bigre ! Impressionnant en effet ! Je n’avais pas du tout prévu que le petit carré de Sopalin coloré s’amuserait à déteindre ainsi en laissant des traces peu communes sur mes membres inférieurs. Laissant croire que j’avais bataillé ferme avec mon rasoir jetable et que celui-ci avait largement remporté la victoire, occasionnant des stigmates sanguinolents que les pauvres bas chairs 15 deniers ne risquaient pas de pouvoir masquer.
J’ai donc fait mine de rien, sorti de mon sac un vrai Kleenex immaculé et effacé du mieux que j’ai pu les traces écarlates de la traitresse serviette de resto. On ne m’y reprendra plus. La prochaine fois, je tenterai de garder toute ma dignité avec les chaussures qui font « scruitch, scruitch » et les jambes dignes d’un demi de mêlée sortant de l’entraînement.
À part cette information d’une importance toute relative, ma journée s’était passée sans problème, ordinaire et banale, mais sympathiquement agrémentée de SMS, mails et autres commentaires FB m’encourageant à affronter dignement le grand sablier céleste.
Il était 17h et j’avais déjà très largement fait mon quota d’heures de taf, j’étais donc en train de finaliser les derniers dossiers en cours et - pour une fois - partir un peu avant 18h.
Appel de Big Boss : « vous pouvez venir dans mon bureau ? ». Question qui n’en est pas une, c’est une demande quasi martiale, je m’exécute donc.
Voici les faits tels qu’ils se sont déroulés, je n’invente rien, c’est du brut de décoffrage, seuls les commentaires en italiques sont des précisions en sus.
« Voilà, on met fin à votre période d’essai aujourd’hui, votre solde de tout compte est là, vous préférez le signer tout de suite ou qu’on vous l’envoi en recommandé ? » => je suis dans l’entreprise depuis quasiment 4 mois.
« Oh je vais prendre tout immédiatement, ça vous évitera les frais ».
« Voici votre paye arrêtée à ce jour, vos congés, on a déduit les tickets resto et il y a l’indemnité de préavis, signez chaque feuille en mentionnant que vous les avez reçus en main propre aujourd’hui » => pour information, il est interdit de rompre une période d’essai sans respecter un délai de prévenance, d’où le préavis qui compense l’entorse à la loi qu’il ne s’est pas privé de faire.
« Euh, il y a une erreur sur l’attestation ASSEDIC, l’indemnité n’y figure pas »
« Oh non, c’est pas vrai ! Allo M., venez de suite, il faut corriger un document et aller le faire signer à C. en urgence ! ».
« C’est bon, j’ai signé » => pas une autre parole de ma part, j’étais scotchée.
« Tenez, voici une chemise, prenez vos feuilles et je vous rappelle dans 5 minutes pour celle qui manque ».
10 minutes plus tard.
« Vous pouvez revenir », « signez comme pour les autres ».
En me levant pour partir, je lui balance avec un grand sourire : « Ah oui, c’est original comme cadeau, je m’en souviendrai de cet anniversaire ! ».
« Ah bon, c’est aujourd’hui ? Hé bien bon anniversaire, vous savez je ne regarde pas ce genre de chose, moi les dates… » => rappelons qu’il vient de me virer, mais me souhaite mon anniv’ ! J'hallucine !
« Mais sinon, je peux avoir une explication ? J’ai fait une erreur ? Il y a un problème ? ».
« Non, juste un souci de communication, pour mille choses et pour rien, vous êtes très indépendante et cela n’est pas dans nos méthodes, vous devriez avoir un poste autonome plutôt qu’au sein d’une équipe. Vous êtes jeune, vous retrouverez facilement du travail, au revoir ».
« Oh oui, je ne m’angoisse pas pour ça. Au revoir » => j’aurais dû dire adieu.
Sur ce, je suis retournée à mon bureau, ai rangé mes affaires et appris la nouvelle aux quelques collègues encore présentes qui n’en revenaient pas. L’une de mes chefs n’était même pas au courant, elle est tombée des nues. L’autre regardait ses pompes et faisait mine de ne pas m’entendre, ce qui n’est pas évident dans un open space où juste 3 cartons me séparaient d’elle. Bah oui, c’est elle-même qui m’avait préparé mon dernier bulletin et l’attestation erronée, elle venait de me pousser vers la sortie. Je ne sais pas ce qu’elle a dit de moi en hauts lieux, mais visiblement mon autonomie et mes méthodes efficaces devaient lui faire de l’ombre alors elle m’a évincé. Elle n’a pas compris que je ne voulais pas son poste, mais elle a dû croire à une rivalité. Finalement, c’est comme dans « Le Maillon Faible » les losers éliminent toujours les forts comme ça ils savent qu’ils ne se retrouveront qu’entre médiocres et qu’ils auront plus de chance de gagner.
Chose que je n’ai pas comprise, elle m’a demandé mon numéro de portable pour me recommander à un client qui pourrait être intéressé par mon profil. Visiblement, elle a déjà des scrupules de son acte. Tant pis pour elle, moi je peux me regarder dans le miroir sans honte ni remords.
L’autre chef m’a glissé en douce les coordonnées de quelqu’un qui recrute aussi en ce moment et cerise sur le gâteau, l’un des associés (pourtant réputé assez dur) a immédiatement transmis mes coordonnées à l’un de ses contacts et j’avais déjà un message du gars sur mon portable alors que j’avais passé la porte depuis moins d’une heure.
Ca pourrait être flippant, mais je suis confiante, bosser dans une entreprise qui est plutôt une espèce de couvent austère où les mères supérieures sont envieuses, ce n’est pas non plus mon idéal professionnel.
Oui je rebondirai, oui je ne suis ni inquiète, ni traumatisée.
Ce soir, il me reste une drôle d’impression, celle de m’être faite plaquer, ce qui me fait très bizarre, moi qui suis une grande adepte de la diplomatie et du respect d’autrui.
Autre truc étrange, c’est l’idée que je vais devoir m’inscrire au chômage, alors que je bosse depuis plus de 12 ans (et même 20 si on compte les jobs d’été et du soir de mes années d’étudiante), mais n’ai jamais eu de temps-mort entre deux CDI.
Pour la première fois de ma vie, je ne sais pas ce que je vais faire lundi, je ne serai ni au boulot, ni en RTT, ni en congé… juste chômeuse surqualifiée.
La vie vous réserve de drôles de surprises parfois pour votre anniversaire…
Evoquons aujourd’hui ensemble un pan important de la culture d’un peuple et souvent élément d’identification immédiate, je veux parler de la tenue, des habitudes vestimentaires, des parures propres à une civilisation, en l’occurrence plutôt à un clan.
Hé oui, quand on vous dit « Ecosse » vous ne pensez pas à cette injonction vous invitant à évider de leur emballage végétal une savoureuse légumineuse (verte, blanche ou tachetée), mais plutôt à la patrie des hommes en kilt. Ah le kilt ! Objet de fantasmes par excellence, outil de toutes les perversions par les idées folles qu’il suscite sur ce qu’il cache (ou pas !) et pourtant gardien fidèle et respectable d’une identité familiale forte et des traditions dont il affiche de suite la couleur. Le tartan est comme un CV, vous pourriez connaître tout (ou presque) de l’histoire de votre interlocuteur en matant sa respectable jupette plissée.
Ainsi, me connaissant, vous devez bien vous douter que je ne bouderais pas mon plaisir à la vue de cet « accessoire » de mode à la fois rigide par le poids des significations qu’il représente et si léger… surtout sur un caillou réputé pour être balayé par les vents, hiver comme été. Oh ! l’image d’une brise un peu forte faisant gonfler l’étoffe quadrillée est déjà pour moi tout un poème, que dis-je, un quasi rêve érotique. Bref, revenons à nos moutons (hu hu).
J’ai eu beau arpenter avec ardeur la campagne vallonnée, les falaises à pic, les ports encaissés, les montagnes pelées ou les plages de sable doré, il me fallu me rendre à l’évidence, le mâle enjupeté est une espèce en voie de disparition. Je vais d’ailleurs probablement devoir lancer un mouvement mondial de protection de ce bienfait de l’Humanité, tant il contribue à la réjouissance des mes sens en éveil. Déjà un point clé, le spécimen est souvent équipé d’une peau de chèvre savamment emballée dans un enchevêtrement de tuyaux à vocation musicale qui sont un peu comme un appel du pied, tel le brâme du cerf, la cornemuse a un effet magnétique immédiat et permet de faire savoir loin aux alentours que sous l’outre chantante il y a du calbutte (ou pas) en goguette. Juste au dessus des chaussettes fixées là comme des bas masculins version grands froids, il y a comme la promesse de mille plaisirs... Arf, il faut que j’arrête là mon délire sinon je ne réponds plus de rien pour le reste de l’article et risque de lâcher subitement mon clavier pour partir en chasse de l’objet du désir de mes pensées déjantées.
J’ai eu la chance de croiser toute une tripotée de gaillards dûment équipés de la tenue d’appart qui se rendaient à une soirée importante de type mariage, banquet ou autres festivités. Malheureusement, je n’étais pas invitée à leur petite sauterie, j’ai donc dû passer mon chemin.
Il m’aura bien fallu me rendre à l’évidence, la gent masculine ne parade pas aussi facilement qu’on pourrait l’espérer dans cette tenue qui pourtant leur sied si parfaitement.
Ainsi, la tenue fétiche pour les filles, c’est une mini-jupe en jean (ras la moule de préférence), avec des bottes molles et moches fourrées de moumoute acrylique, le tout agrémenté d’un petit haut bien voyant, accessoirisé de mille et un colifichet en 100% pur toc. Pour le samedi soir, des leggins entièrement pailletées et un top aussi long que décolleté feront l’affaire, pourvu qu’on y adjoigne l’indispensable paire de chaussures à talons exagérément hauts qui leur fait une démarche de héron hésitant. Précisons qu’en fin de soirée, les escarpins se portent à la main et si possible pleins de vomi, signe d’une nuit réussie.
Pour les mecs, le maillot de l’équipe locale ou un t-shirt à manches courtes et un jean seront parfaits, à condition de ne pas oublier l’indispensable bonnet vissé sur les oreilles alors qu’ils n’ont pas froid puisqu’ils sont bras nus.
Oui, c’est un signe distinctif flagrant, pour homme ou femme, la veste (manteau ou blouson) est totalement subsidiaire et dénuée d’intérêt.
Il semblerait que pour des raisons pratiques cela soit plus un article gênant qu’autre chose. Le but du jeu étant de faire un par un tous les bars de la ville, le risque est trop grand de l’oublier dans l’un d’entre eux, surtout après quelques pintes. En plus, les pubs sont à touche-touche (ou presque) alors à quoi bon ? Et surtout, allez enfiler les manches de quoi que ce soit en étant à la limite du coma éthylique !
A ce propos, comme ils finissent par ne plus trop savoir où ils habitent, tout ce petit monde rentre sagement en taxi, c’est l’usage et ça simplifie les choses puisqu’on peut le partager à plusieurs.
Allez, dernière « cherry on the cake », là-bas la pinte de ma sacro-sainte Guinness est à seulement 2,50 € alors qu’ici il m’en coûte 3 fois plus cher !!!
Tristesse… pas de mâle en kilt pour rêver et pas de stout abordable, les parisiens ne sont vraiment pas à la hauteur des Highlanders… sniff. J’veux y retourner !!!
Il y a une semaine tout rond, je revenais d’un coin de paradis (non, ne pensez pas à cette barre chocolatée fourrée coco, bande de goinfres) et à l’arrivée, ce n’est pas le décalage horaire qui fut le plus difficile à supporter, mais bien le dur retour à la réalité de la banlieue (sa pollution, son insécurité, son bruit, sa crasse et sa population d’abrutis). Enfin bon, bref, il paraît qu’il ne faut pas être mélancolique, qu’on doit continuer à avancer, donc me revoici.
Oui, pendant une bonne dizaine de jours, j’ai visité, arpenté, découvert et surtout très largement apprécié l’Ecosse.
On m’avait dit : « toi qui connais un peu l’Irlande, tu verras c’est encore plus beau, plus sauvage ». Hé oui, je confirme, je revendique, je scande : l’Ecosse est un pays merveilleux, bien au-delà de mes espérances, une destination de rêve !
Evidemment, si vous êtes adeptes des clubs vacances pieds dans l’eau et des « opérations toasts » sur la plage (grillé recto-verso), il faut passer votre chemin, mais sinon, c’est sublime, un pays idéal pour les randonnées natures, la découverte de la lande, des « glens » (vallées), des « munros » (sommet à plus de 3000 pieds), des châteaux et des « lochs » bien sûr !
Pas de mauvaise blague sur la météo, le temps était plus ensoleillé et plus doux qu’à Paris alors aucun sarcasme ne sera permis en la matière. Et puis au moins c’est écolo d’avoir un arrosage automatique d’eau de pluie pour irriguer sans effort le gazon si vert des golfs, les champs si nourrissants pour les moutons et conserver la fraîcheur intacte des fleurs, des parcs et jardins. Nan, vraiment, c’est bien foutu. On a pu le constater, y’a toujours un petit nuage, même minuscule, qui assure la permanence et l’astreinte dans le ciel bleu, afin de prévenir les copains cumulus en cas de risque de canicule imminente (soit 14,5°C durant plus de 48 heures).
Histoire de ne pas me substituer à un guide touristique que vous pourriez trouver chez tous les bons dealers de culture, je vais donc entreprendre de vous raconter par le petit bout de la lorgnette, le mode de vie, les étranges habitudes et les amusantes incongruités de ce pays chaleureux et authentique.
Prêts pour le voyage au pays des kilts, du haggis et de Nessie ? Alors revenez vite ici pour le prochain épisode.
Etant particulièrement curieuse de nature, j’aime bien me frotter à des expériences peu banales et enrichissantes sur les connaissances que je peux acquérir des modes de vie de mes semblables, au demeurant si différents.
Histoire de me faire une idée des us et coutumes de la drague sur le Net, en mode « j’ai trop faim, j’veux pécho », je me suis inscrite sur un site pas bien sous tous rapports puisqu’il en propose en veux-tu en voilà des rapports et pas franchement jolis jolis, mais c’est le jeu, alors jouons.
En poussant cette lourde porte qui mène à la liste si convoitée des célibataires (ou non) disponibles, je constate d’emblée qu’il faut lâcher du pognon si on veut juste affiner un peu la recherche à autre chose qu’uniquement le secteur géographique ou l’âge. Si on souhaite afficher diverses préférences ou cibler le profil sur des critères plus pointus, bah faut d’abord passer à la caisse. Je n’ai pas franchi ce cap, faut pas déconner non plus.
Pourtant, j’ai trouvé des tas de choses très intéressantes. Une chronique de la lose ordinaire serais-je tentée de dire. Parce que, franchement, je ne m’attendais pas à dénicher autant de mecs pathétiques et à la limite du pitoyable !!! Oui, je pèse mes mots, c’est au-delà de ce que j’imaginais. Ne croyez pas que je balance là des horreurs sur des pauvres gars qui cherchent l’âme soeur, c'est véridique et je vous invite à ne pas me jettez la pierre avant d'avoir lu mon article en entier, en pensant que je n’ai pas de cœur, tout ça.
Non, je suis juste atterrée de constater à quel point les hommes ne font aucun effort pour « se vendre » !!! Mais oui, vous ne rêvez pas, c’est à peine croyable à quel point ils se montrent sous leur plus mauvais jour. Parfois je me demande s’ils ne le font pas exprès tant la réalité dépasse la fiction.
Bien sûr je ne mettrai pas de photo ou d’extrait pour prouver mes dires, respect de l’anonymat oblige, mais voici un petit florilège de ce sur quoi je suis tombée. A vous de juger.
En premier lieu, la photo, c’est évidement un point crucial et pourtant… Top naze :
- avec un tee-shirt qui représente un énorme spermatozoïde - en slip trop petit et vautré sur un canapé moche - à bout de bras, flash dans la tronche et avec la mine de retour de soirée - de dos avec gros plan sur les fesses - debout dans la salle de bain en rentrant de ventre à bloc (que c’en est ridicule) - en plein sommeil (limite le filet de bave aux lèvres) - entouré de vos deux meilleurs copines : bière et télécommande - en tirant la tronche comme si vous étiez suicidaire au dernier stade - attablé à votre salon de jardin au camping de Melun - en exhibant votre tatouage « Zézette forever » - avec deux post-it jaune sur les yeux pour vous « flouter » - à votre propre mariage dans le costume de rigueur (si si, y’en a qui n’ont pas compris qu’ils sont là pour appâter d’la meuf).
En deuxième, le pseudo, trop flagrant au niveau du manque d’imagination :
En troisième, la description, souvent fadasse, minable, effrayante ou ultra mensongère. Je ne peux pas vous en mettre des extraits car ce serait trop long, mais croyez-moi, ce n’est pas reluisant. Total manque d’humour, aucun recul sur soi, éloquence prétentieuse qui suinte, liste sans fin de traits de caractère bateau qui ne révèlent rien. On ne peut pas dire que cela respire l’honnêteté non plus. Et pire, c’est souvent d’une tristesse… à croire qu'ils ont répondu au questionnaire avec un Colt 45 sur la tempe.
Je vous rappelle le principe : vous devez vous « vendre » il faut donc faire le maximum pour vous montrer sous votre meilleur jour et à votre avantage. Il faut donner envie aux filles (peu nombreuses) de vous contacter et surtout de vous rencontrer. Mais avec si peu d’efforts pour créer la surprise ou allumer la petite étincelle qui met le feu aux poudres, il y a de fortes chances pour que l’histoire finisse en banal pétard mouillé au lieu du feu d'artifessefice annoncé.
A se demander si les hommes et les femmes sont vraiment faits pour vivre ensemble… Une chose est sûre, ils ne parlent pas le même langage, même en version 2.0
"L’amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le
font.
À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire" Pierre DESPROGES
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