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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 02:21

On ne le dira jamais assez, les Anglais ne sont pas comme nous. Depuis des lustres qu’on essaye de les comprendre, il y a toujours quelque chose qui nous échappe dans leur logique. Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’Histoire avec un grand H, puisqu’il y a qu’à voir le nombre de fois où on s’est foutu sur la tronche pour un oui, pour un non. C’est bien qu’ils nous en veulent ou qu’ils font rien qu’à nous embêter. La preuve, ils veulent bien faire l’Europe, mais en gardant leur monnaie, ils acceptent le tunnel sous la Manche, mais sans changer leurs rails, ils persistent à rouler à gauche. Bref, rien que des trucs pour nous faire voir qu’ils ne se mélangent pas au reste du monde. 

Bon, je ne veux pas critiquer en masse, car y’a franchement des trucs qu’ils font mieux que nous, comme le rock (mancunien, « liverpoolien » ou autre), les jardins poétiques, les monarchies qui durent, etc. Mais on reste au top sur la bouffe, le pinard, le climat et j’en passe.

 

N’empêche, ils sont vraiment pleins de contradictions ces British. J’en veux pour preuve un truc tout simple, le thé. Étant une grosse consommatrice de cette boisson, je me suis souvent dit qu’en allant en Angleterre, j’allais pouvoir goûter les crus les plus suaves, les saveurs les plus incroyables, les mélanges les plus subtils… hé bien « no way ».

Cela remonte à un paquet d’années en arrière, mais la première fois que j’ai débarqué sur leur territoire, pour une formation « en immersion », je jubilais d’avance lorsque mon interlocutrice me proposa une tasse de thé.

Chacun ayant déjà sur son bureau son mug fétiche affichant souvent un message amusant ou décalé si fidèle à leur humour inimitable, elle m’en tend un tout blanc, même pas au logo de l’entreprise, bon, pas grave. Elle remplit donc nos mugs d’eau bouillantissime d’une bouilloire électrique hors d’âge. Et là, Ô sacrilège ! Elle y plonge un sachet de Lipton Yellow !!! Elle l’agite dans la flotte 3 secondes (le bidule a à peine le temps de teinter l’eau) et le balance à la poubelle.

Sacrilège ! Ils boivent donc cette horreur qui ne devrait même pas porter le nom de thé, tellement il ressemble à de la poussière au goût amer plutôt qu’au divin breuvage. 

Pour ma part, j’opte pour un sachet de Tetley English Breakfast et nous repartons bosser.

 

Durant mon séjour, que ce soit chez des amis anglais « pur jus », des collègues, à l’hôtel ou au resto, pas une seule fois je ne vais avoir le droit à autre chose que des thés basiques, en sachet et très moyen-moins. Bon, je ne dis pas qu’il n’en existe que de mauvais, puisque des années plus tard, j’en testerai de très bons lors d’un séjour en Écosse, mais à Londres, j’ai été super déçue. Ça m’a fait le même effet que si vous alliez visiter la Cité Interdite de Pékin et que vous vous rendiez compte que ce n’est qu’un décor en carton-pâte. Tristesse.

Un mythe s’effondre.

 

Je ne sais pas si les choses ont changé aujourd’hui, mais en revenant de chez leurs voisins écossais, là je n’avais pas hésité à rapporter un spécimen inconnu en France et que j’avais bien apprécié. Un jour, totalement par hasard dans les rayons d’un Monop’, je tombe sur son équivalent français, au goût identique, mais au packaging totalement différent. C’est là qu’on voit qu’ils sont plus simples et pragmatiques que nous dans le domaine.

 

Scotland & more - first part 182 Scotland & more - first part 184

 

À gauche, la version anglo-saxonne : une simple boîte qui s’ouvre et se ferme très facilement, avec à l’intérieur les sachets plats, tout simples, prêts à l’usage.

À droite, notre emballage français : une boîte trouée pour montrer les sachets individuels qu’il faut ensuite déchirer pour sortir les vrais sachets de thé qui sont pliés avec un système de soufflet, une agrafe, une ficelle qui mène à une petite étiquette également agrafée. En clair, tout un bordel compliqué et générateur de déchets inutiles.

 

Alors finalement, les Anglais peuvent avoir le sens pratique quand ils le veulent et ce sont les Français qui font des manières pour rien du tout. Comme quoi, la surprise est parfois cachée derrière une simple « cup of tea ».

 


Sister « tea time à toute heure »

 

Chronique 14052012 Chronique 14052012

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 23:36

Vous avez sûrement déjà lu ou entendu cette phrase, mais l’avez-vous également ressentie ?

Avez-vous déjà eu le besoin impérieux de franchir le pas et d’oser affronter une situation qui vous faisait peur ?

Vous êtes-vous parfois retrouvé submergé par le besoin de faire une chose dingue mais qui vous trottait en tête depuis des lustres ?

Oseriez-vous ouvrir vraiment votre cœur à quelqu’un pour qui vous avez en secret des sentiments très forts ?

Et si vous changiez de vie pour vivre votre passion ?

Rêvez-vous de vous accorder une partie d’année sabbatique pour couper radicalement avec votre quotidien ?

Pas si simple…

 

Mais si vous deviez mourir demain ? Vous n’auriez rien fait de tout cela et vous vous en voudriez tellement de ne pas avoir osé vivre vos rêves - au moins un peu – et vous auriez la furieuse impression d’être un peu passé  à côté de votre vie, d’avoir loupé des trucs, de ne pas vous être accordé ces petits plaisirs qui rendent si vivant…

Oui, c’est quand on se retrouve confronté avec ce genre de grand bouleversement qu’on en vient à se poser les bonnes questions.

 

Est-on sur terre pour tenter de trouver le bonheur ? Est-ce qu’on s’en donne réellement les moyens ?

 

Est-ce que ça rime à quelque chose de trimer du matin jusqu’au soir, de vivre à un rythme délirant juste pour attendre les week-ends ou les vacances sans jamais s’accorder de petit break dépaysant pour bouleverser un peu le planning millimétré ?

 

Non, si on y regarde de plus près, on se rend compte de la futilité de notre quotidien.

Acquérir toujours plus de biens ? C’est débile, plus on en a, plus on en veut, parce que plus on s’en lasse vite.

Vouloir rencontrer des tas de gens, mais n’avoir jamais passer assez de temps pour s’y intéresser vraiment ?

Ça ne rime à rien.

 

Notre génération va trop vite et en laisse certains sur le bord du chemin. En fait, je crois que nous sommes tous un peu paumés par ces enchaînements effrénés. 

 

Souvent, nous sommes pétrifiés par nos peurs.

Peur de souffrir en s’attachant à quelqu’un qui pourrait nous quitter.

Peur de manquer et s’entourer de trop d’objets.

Peur de ne plus faire partie de la société de consommation alors dépenser pour exister.

Peur de se poser la bonne question : « Qu’est-ce que je veux vraiment ? » et surtout « Est-ce que je me donne les moyens d’y arriver ? ».

 

J’ai l’impression qu’on passe trop souvent à côté de tas de choses parce qu’on est pris dans l’engrenage de notre vie de taré.

On n’y échappe pas, ça commence avec études-formation-diplôme, puis métro-boulot-dodo, on passe à couple-logement-gamins et finalement retraite-maladie-fin.

 

Sauf que la vie, ce n’est pas toujours ça et quand le mécanisme s’enraille, on se dit qu’on a pas eu le temps de franchir toutes les étapes, que ce n’est pas juste, que c’est trop tôt, qu’on ne pensait pas que… bah oui, on ne pense pas à ces sujets là, parce que ça nous remue les tripes, parce que ça fout en l’air nos beaux principes de vie rangée et pépère.

Il y a bien sûr les accidents de parcours, les bricoles qui vous font bifurquer par des étapes qu’on n’aime pas du style : divorce, chômage, handicap, etc.

Mais au-delà de ça, s’il vous arrive un très gros coup dur et que vous devenez un « miraculé », là, étonnamment, toute votre vision de l’existence change, plus rien n’a vraiment le même goût, certains événements n’ont plus la même importance. Des bricoles qui vous auraient pourri la vie, vous deviennent insignifiantes. Votre regard a changé. On relativise et ça change la vie, en mieux, toujours.

 

Oui, le malheur n’arrive pas qu’aux autres, mais il faut avouer que lorsque ça ne vous tombe pas dessus, on ne peut s’empêcher de réprimer un « ouf » de soulagement en se disant « qu’on n’est pas passé loin ! ». Puis on oublie. C’est la vie, comme diront certains. C’est aussi l’application froide, mais tellement vraie de la « théorie du mort-kilomètre » (un mort à un kilomètre de chez moi me touche plus que 100 morts à 1000 kilomètres).

On sait tous que la Grande Faucheuse est là, qui rôde, jamais bien loin, jamais prévisible, alors on est content de passer entre les gouttes.

 

Vous allez penser que j’écris cet article un 1er novembre, parce que c’est la Toussaint et que je suis « dans le ton », pourtant ce n’est même pas le cas, je l’ai écrit mi-septembre, quand j’ai appris le décès soudain du voisin de mes parents, que je connaissais depuis toujours et ses parents avant lui. Un homme simple, une excellente hygiène de vie, adorable, cultivé et pilier d’une famille unie. Il est mort comme ça, d’un arrêt cardiaque, par un bel après-midi d’été, chez lui en bricolant. Il avait 55 ans et venait de prendre sa retraite… 2 mois plus tôt. Deux mois seulement. Ça m’a secoué. Surtout de voir ses proches anéantis.

 

Quelques jours plus tard, je bidouillais sur Facebook, et en repensant à une copine qui a retrouvé une ancienne camarade de classe par ce biais, je me souviens d’une fille dont j’avais été très proche pendant plus de 4 ans, à la sortie de l’adolescence. Je tape son nom, mais aucun profil ne lui correspond alors je fais de même sur Google et là, je tombe sur un article du Télégramme où ses parents annonçaient en juin, son décès ainsi que celui de sa fille de 5 ans. Elle avait mon âge et la vie devant elle…

 

Ca m’a filé un furieux coup au moral, d’où mon silence radio depuis 2 mois. Quand on se retrouve face à l’évidence qu’on est mortel et bien plus vulnérable qu’on ne le pense, ça vous remet les idées en place et ça vous fait vous poser des tas de questions sur la futilité des problèmes qui vous bouffent la vie et surtout, ça vous recadre vers un objectif : CARPE DIEM.


 

Sister « sur un fil »


 

P.S. : ce soir, je revenais en voiture, un jeune dans une petite citadine me double, mais il roule trop vite (environ 110 au lieu de 70), il négocie mal le tournant de l’autoroute qui est grasse à cause de la légère pluie… juste devant moi, il part en tête-à-queue et percute la rambarde de béton à deux reprises. Il était vivant quand je suis repartie, mais bien amoché, très secoué et sa voiture bonne pour la casse. Si j’avais roulé comme lui, nous nous serions percutés et au mieux nous serions à l’hôpital… au pire… morts pour une bêtise et une erreur de jugement. Quand on se croit invulnérables alors que nous sommes de fragiles mortels.

Alors, profitons du jour présent…

 

N.B. : Pas de version audio de cet article, parce que ça me prenait trop les tripes pour que ça reste audible.

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 00:46

Ça ne vous a pas échappé, il fait un froid de gueux pour un mois d’août. 10 degrés le matin, 17 l’après-midi, y’a pas à dire, c’est la misère, on se pèle.

 

Du coup, comme la climatisation des bureaux est prévue en fonction des saisons « théoriques » on est en mode réfrigération, ce qui fait qu’on a largement remis les gilets et les pantalons pour ne pas se cailler les miches.

 

Pourtant, y’aurait moyen de se réchauffer un peu… Non, pas en tentant un rapprochement humain avec la gent masculine, pourtant très présente sur le site, mais avec quelques aménagements mineurs.

 

Nous avons la chance d’être équipés dans les couloirs, de sortes de « fontaines » un peu high-tech qui permettent d’avoir de l’eau chaude, froide ou gazeuse. C’est très pratique pour se faire un café instantané, un thé ou une soupe en sachet (la soupe à l’oignon de Maïté est déconseillée, jugée arme de destruction massive et déclarée persona non grata dans les open space).

 

Mes-images-2011 1444

Toutefois, j’ai dans l’idée que si on pouvait pirater l’engin pour y rajouter un petit tuyau discret qui permettrait l’accès à un cubi de rhum, y’aurait moyen de se confectionner des grogs pour tenir le choc face à cette vague de froid estival non homologué (enrichie en pluie dedans). Et quitte à booster la bête, il suffirait de faire comme la clim’, la rendre « réversible », ainsi, si les températures daignent remonter un brin, on pourra la transformer en distributeur de mojitos et là, je dis banco !

 

Bon, en attendant, y’a pas moyen de moyenner et je suis contrainte à boire du thé chaud pour me maintenir à 37,2 le matin et plus si affinité. Mine de rien, c’est assez efficace, car c’est associé à une pratique sportive parce que les couloirs sont très longs, donc on marche pour aller jusqu’à la fontaine, puis jusqu’aux toilettes, puis retour pour de l’eau chaude, puis envie de pipi… Bref, le mouvement perpétuel à la portée de l’Homme.

 

N’empêche que cela reste un rêve tant qu’on n’a pas trouvé la méthode pour y dissimuler un équipement magique qui améliorerait le quotidien et la pauvre machine me renvoie à mes délires avec un petit air de me dire : « compte dessus… et boit de l’eau ».


 

Sister « qui pétille d’idées »


 

Chronique 10082011 Chronique 10082011

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 22:09

VDM

Vous connaissez probablement ce site devenu culte. Il est même passé à la postérité parce que des éditeurs n’ont pas hésité à faire du pognon en publiant 10 bouquins de ces histoires courtes, récoltées pour pas un rond. Racontés ou dessinés par les internautes, ces petits instants de vie sont en fait de grands moments de solitude et ça fait marrer.  

Si vous voulez en avoir un aperçu, le lien est dans la colonne de gauche de ma page d’accueil.

Parfois, les récits de certains semblent un peu trop « mythos » pour être honnêtes, mais comme la réalité dépasse souvent la fiction...

 

Voici quelques brèves perso qui pourraient y figurer.  Certaines sont un peu anciennes, toutes sont vraies.

 

Aujourd’hui, en déplacement professionnel, je discute dans le couloir de l’hôtel avec une « collègue » chef d’un service important et d’un certain âge. Quand d’un coup, on entend un énorme pet, un gros plouf et un vrai soupir de soulagement derrière la cloison. Pour notre gêne respective et la finesse des murs, VDM.

 

Aujourd’hui, il n’y a personne au bureau, j’en profite pour squatter la salle de réunion et manger ma galette de sarrasin fourrée raclette et jambon de pays. L’odeur est typique et je pense avoir le temps de ventiler les lieux avant le retour des autres. C’est sans compter sur la « big chef » qui rentre plus tôt que prévu avec toute son équipe (de faux-culs) et lance derrière la porte : « Oh mais ça sent horriblement mauvais, je crois que je vais vomir ». Je n’ai pas osé sortir de la salle avant 20 minutes, en longeant les murs. VDM.

 

Aujourd’hui, je discute à bâton rompu par messagerie avec une connaissance en expliquant mes déboires professionnels successifs et les personnalités vraiment trop dérangées des chefs dans ce genre de profession en les « traitant » de psychopathes. Il me dit alors que son père exerce justement ce métier.  VDM.

 

Aujourd’hui, comme dans « Caméra Café », la machine a bien encaissé mes derniers 0,30 € mais le gobelet n’est jamais tombé et mon chocolat a coulé directement dans la grille d’évacuation. VDM.

 

Aujourd’hui, c’est samedi matin et mon père doit passer chercher des courses à mon appart’. Lorsque l’interphone sonne, je décroche et dit en plaisantant : « attention je lâche les chats ! ». Et là j’entends un silence et timidement : « euh… c’est juste le facteur pour votre recommandé ». VDM.

 

Aujourd’hui, dans mon train de banlieue, je mets mon casque intra-auriculaire et choisit une chanson sur mon iPhone. Bizarre, je n’entends pas grand-chose, je monte le son à fond, les gens me regardent… j’avais oublié de brancher la prise des écouteurs. VDM.

 

 

Sister « pas à l’abri d’une connerie » 

 

 

Chronique 02082011 Chronique 02082011

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 20:26

La vie nous joue parfois de drôles de petits tours pendables et il est surprenant de voir à quel point cela influence notre existence.


Personnellement, je n’ai pas tout à fait compris cette notion abstraite (pour ne pas dire absconse) autant qu’étrange qu’est le « lâcher-prise ». Pour moi, cela figure plutôt quelqu’un qui s’accroche à son rêve, à son projet ou à ses ambitions et à qui on demande de laisser tomber, d’abandonner. Genre : « tu oublies tout ça et tu passes à autre chose, hein ? ».

Qui n’a pas déjà entendu un autre lui dire : « le grand amour ? Oh tu le trouveras quand tu ne t’y attendras pas, ça vient tout seul ces trucs là ». Sauf que lorsqu’on est célibataire, on a beau faire semblant ou se dire que bon, ok, on va faire comme si de rien n’était… Mais, dès que se pointe un mâle (parce que je suis une irréductible hétéro) correspondant aux critères qu’on apprécie et qui se trouve à passer dans notre champ de vision, on n’arrive plus du tout à « lâcher prise » et direct on l’envisage comme « proie » potentielle ou un candidat à la candidature de l’élu de notre cœur au suffrage universel de notre libido.

Il ne faut pas se leurrer, c’est comme cela pour tout. Sinon les gens ne joueraient pas au Loto, ne plaqueraient pas famille et patrie pour une vie meilleure, s’ils n’avaient pas la furieuse envie de décrocher le pactole ou de vivre leur rêve.

Du coup, je ne sais pas trop à quel moment il nous tombe dessus ce fameux « coup du sort positif » qui doit se pointer au moment où on s’y attend le moins.

 

L’autre soir, j’ai eu un début de réponse, du moins me semble-t-il, moi qui ne suis pas abonnée à Psychologie Magazine et consorts. Alors que nous nous baladions nuitamment à Paname avec un ami, après un bon resto, en plein milieu de notre discussion, un mot me manque, je le lui décris donc sommairement, histoire de me faire comprendre : « Mais si, c’est le moyen de situer un endroit précis à partir de trois points de repère, où qu’ils soient », « c’est pareil avec les antennes relais des téléphones mobiles ». Bref, l’adjectif m’échappe et impossible de remettre la main dessus. Pourtant, mon cerveau le connait, il l’a juste mal rangé ou s’embrouille et n’arrive pas à le retrouver au moment opportun. J’ajoute alors : « Bof, ce n’est pas grave, ça me reviendra lorsque je ne m’y attendrais pas, ou en faisant quelque chose qui n’a aucun rapport ». Je parie que cela vous est arrivé également, ça doit être un classique du genre, car effectivement, 2 heures plus tard, à peine rentrée chez moi et pendant que je me lavais les dents, voilà que le mot se pointe sans crier gare : « tri-an-gu-la-tion ». Mais oui, mais c’est bien sûr ! Je l’avais sur le bout de la langue tout à l’heure !

Je ne sais pas si cela vient d’un problème de neurones qui glandouillent en route et arrivent bien après la bataille, mais cet état de fait n’a rien d’exceptionnel. Et non, ne commencez pas à me dire que je gatouille ou qu’Alzheimer me gagne, c’est même pas vrai !

 

Du coup, je me demande si ce ne serait pas cela le principe du « lâcher-prise », une sorte de partie de cache-cache avec le destin. Si on n’arrive pas à trouver la personne qui se planque, le plus simple est de faire comme si on n’avait arrêté la partie et de guerre lasse, l’autre joueur finit par sortir de sa cachette de lui-même.

 

Les matous font un peu pareil avec les souris, ils leur donnent des petits coups de patte, jouent avec, font semblant de laisser partir la bestiole en tournant la tête en faisant mine de regarder ailleurs pendant que le rongeur détale, mais pas bien loin, car le greffier lui fonce dessus illico et sans ménagement.

 

Donc, pour provoquer le sort, il faudrait détourner notre attention de l’objectif, se focaliser sur autre chose ou laisser vagabonder ses idées loin du but qu’on cherche à atteindre. Et comme un petit garçon vexé parce qu’on ne joue plus avec lui, la chance reviendrait toquer à notre porte avec quelques offrandes (réussite, succès, etc.) pour susciter de nouveau notre intérêt. Je reste sceptique…

Je tenterais bien ma chance à ce jeu du « je t’aime moi non plus », mais je ne vois pas trop comment il faut s’y prendre et encore moins comment chasser ces idées récurrentes de mon imagination qui mouline de suite des histoires et des hypothèses à partir du moindre petit grain à moudre.

 

Oui, la vie est étrange et notre destin bien capricieux. Je continue à trouver cela troublant. Il ne me reste plus qu’à en faire l’expérience « en vrai », pour voir si cela fonctionne réellement, mais je n’en ai toujours pas trouvé le mode d’emploi. Alors si vous avez des pistes pour me guider vers ce chemin de la sagesse, je veux bien essayer, juste pour voir.

 


Sister « dubitative et circonspecte »

 

Chronique 13042011 Chronique 13042011

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 00:16

Depuis toujours, j’ai la fibre écolo. Ce n’est pas grave, hein, ça ne fait pas mal, juste une prise de conscience de ce que je peux éviter d’infliger à la planète. Donc, à ma petite échelle, minuscule devrais-je dire, je fais ce que je peux pour limiter mon impact sur l’environnement, pour alléger mon bilan carbone ou toute autre appellation à la con pour dire qu’on est en train de s’autodétruire.

Ainsi, par pure bonté d’âme et pour ne pas avoir ça sur la conscience, je prends les transports en commun. Oh si ! Le mot n’est pas trop faible, voici d’ailleurs quelques uns des bénéfices obtenus. Vous allez voir, c’est énorme ! :

- je n’engraisse pas les firmes pétrolières

- je n’accentue pas la pénurie de carburant

- je fais gagner des sous à mon assureur (pour qui le risque de sinistre tombe quasiment à zéro quand ma voiture reste au garage)

- je n’impacte pas sur le trou de la Sécu par un accident avec dommages corporels

- je n’accrois pas le déficit public puisque je ne tombe pas en panne sur la chaussée ou n’ai pas d’accrochage, ce qui évite à la police et aux pompiers de se déplacer

- je préserve la faune en n’écrasant ni moucheron, ni hérisson, ni sanglier, ni brésilien-brésilienne de la forêt de Saint-Germain

- je soutiens l’industrie de l’édition en lisant plutôt qu’en scrutant bêtement la route et les poids lourds inconscients

Accessoirement, cela me permet – quand je sors le soir - de boire plus d’une pinte de Guinness (de planteur ou mojito au choix) et pouvoir rentrer chez moi sans m’endormir au volant et tuant au passage des innocents sur mon trajet.

 

Toutefois, ce dévouement - tout à mon honneur - (oui, je m’envoie quelques fleurs, mais il faut bien, personne ne le fait à ma place), requiert un aspect que les non pratiquants ne peuvent pas comprendre. Surtout vous, amis de province, à qui ne je ne jette pas la pierre, mais qui sont si loin de nos réalités banlieusardes quotidiennes.

Ce qu’on ne vous dit pas au guichet, en vous vendant à prix d’or ce fichu bout de plastoc qui a remplacé feu la carte orange, c’est qu’il va falloir vous doter d’une faculté rare : la patience.

 

Oui, ne nous voilons pas la face, pour tenter un trajet Paris-banlieue, c’est jouable (si le parcours n’est pas émaillé de grèves, incidents, agression, dégradations, etc.), mais si vous tentez le super banco banlieue-banlieue, là, vous allez en baver un max ! De même pour le soir, on en chie des ronds de chapeau pour rejoindre le home sweet home à Perpette-les-Oies.


Petit résumé d’une journée presque ordinaire.

Rendez-vous était pris avec Coopactive à 17h30 à Beaumont. 40 minutes de train avec une correspondance et 10 minutes de marche. 2 heures de réunion puis retour sur Paname pour prendre des documents importants chez un « associé ». Au moment de prendre le train, j’ai l’immense opportunité de voyager dans ces fameuses nouvelles rames flambant neuves qu’on ne voit quasiment jamais en circulation. Afin de ne pas se les faire détruire par nos charmants casseurs-délinquants jeunes de banlieue, le STIF a réservé ces trains à une ligne paumée et à des horaires peu fréquentés. C’est qu’ils nous ont coûté une fortune les beaux wagons Bombardier (oui, Alstom – le constructeur français – aurait pu remporter le marché, mais cela aurait créé des emplois, ce qui semble aller à l’encontre de la politique actuelle) alors faudrait pas se les faire taguer et bousiller par des débiles à casquettes, nos beaux engins.

Ainsi, j’ai eu l’insigne honneur de visiter à loisir ce qui ressemble à une discothèque tellement ça clignote de partout avec des lumières multicolores et sièges assortis. Impossible de piquer un roupillon parce qu’en plus il égrène les gares et fait plein de bips-bips, de tut-tut et autres. Très utile pour les non-voyants, personnes âgées et les étourdis.

 

Mes-images-2010 0964


OK, il est très joli, mais comme les autres, il a eu 10 minutes de retard. Donc j’arrive après 1h10, puis encore 30 minutes de métro et 10 de marche. A 23h20, il est temps que je rentre. Rebelote dans l’autre sens. Mon train de banlieue vient de partir sans moi, à quelques instants près, c’est rageant, surtout quand il faut attendre 45 minutes pour le prochain et dernier ! Devant les quais, il y a visiblement eu un problème, puisqu’il n’y a pas moins d’une vingtaine d’agents de la police ferroviaire. Moyennement rassurant.

Arrivée à une gare intermédiaire où, en principe, je prends une correspondance, des agents sur le quai nous indiquent qu’il est supprimé, pour une sombre raison qui ne nous sera pas communiquée. Un bus nous attend non loin. Je me retrouve entre des supporters du PSG qui puent la sueur et la bière, des types qui doivent être fâchés avec la douche, des p’tits cons qui foutent leur MP3 sur haut-parleur pour bien faire chier le monde et des types bourrés qui se vautrent sur les sièges. Il y a même une nana avec un lapin vivant lové dans ses bras, ce qui n’a pas manqué de susciter les réflexions grasses et lourdes d’un vieux : « c’est une lapine ? Parce que moi aussi j’ai la pine », « vous allez le bouffer en civet ? J’aime ça avec un bon pinard », etc. Quel pied ! Ah vraiment, on ne s'en lasse pas.

Finalement, je suis arrivée chez moi quasiment à 2h du matin. Dure journée !

 

En reconstituant grosso modo le parcours, j’ai effectué moins de 87 kilomètres et cela m’a pris plus de 5h30 ! Ce n’est vraiment pas une sinécure de bouger écolo…

 

Sister « on the road again »

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 23:24

Les vacances de la Toussaint sont arrivées (pour ceux qui en profitent) et comme nous sommes déjà à deux mois de Noël, je vous propose un petit jeu, histoire de détendre l’atmosphère dans cette ambiance de grèves et de pénurie de carburant. Il n’y a rien à gagner, sinon ma profonde considération et si vous le faites en toute honnêteté, je serais curieuse de savoir si ce que vous en avez pensé ou si vous avez fait un sans faute (là, chapeau d’avance).

Ce ne sont pas les quizz télévisés qui manquent, mais je ne les regarde pas, alors les questions sont 100% de mon cru, j’espère ne pas commettre d’impair (en pricipe, les sources de réponses sont bonnes).

Que le meilleur gagne et comme je dis toujours : « may the force be with you ».

 

1) Le spermophile est :

a - Un écureuil à la queue touffue

b - Un collectionneur de semence (humaine, animale, extra-terrestre)

c - Une bactérie qui rend stérile

 

2) La cuniculiculture est :

a - La maîtrise de certaines pratiques pour les plus de 18 ans

b - L’élevage du lapin domestique (très bon aux olives, à la moutarde, en gibelotte)

c - La culture des cucurbitacées

 

3) Le lichen est :

a - Une variété de litchi au goût amer

b - L’association de Bruce Lee et de Kool Shen (ouich ouich)

c - Un organisme à la fois champignon et algue

 

4) Les arachnides sont :

a - Un règne animal à part entière

b - Des insectes à quatre pattes (mais plus évolués que Loana)

c - Une variété de cacahuète

 

5) Dans la mer, on en trouve plus que du plancton, il s’agit :

a - De pétrole brut ou raffiné

b - De microparticules de plastique (les dentiers des côtes niçoises ne comptent pas)

c - De résidu de crème solaire

 

6) Dans les cigarettes on trouve :

a - Des traces de drogues dures pour favoriser l’accoutumance

b - Du chocolat et de vanille (la saveur pêche-melba sera peut-être pour 2011…)

c - De l’arsenic et du benzène

 

7) Le fait de frissonner :

a - Mobilise 4 millions de muscles horripilateurs

b - Provoque une accélération durable du rythme cardiaque (moins qu’en éternuant)

c - Se produit dès que l’air est inférieur à 17,5 degrés

 

8) Lors d’un orgasme, les substances produites sont :

a - La cyprine et la cystite

b - La dopamine et l’ocytocine (ouf, y’a pas de contrôle antidopage)

c - La migraine et le sommeil

 

9) Une rivière coule dans Paris, il s’agit :

a - Du Styx

b - De la Goulue (elle est passée par ici, elle repassera par là)

c - De la Brienne

 

10) Un enfant aura le même groupe sanguin que l’un de ses parents, on parle de :

a - Gène récessif

b - Gène résident (il a ses papiers et n’a pas à craindre Hortefeux)

c - Gène sanguinaire

 

11) Un hendécagone est :

a - Une variété de roche qu’on ne trouve qu’à Hendaye

b - Un polygone à 11 côtés (c’est juste un peu moins dodécagone)

c - Un coléoptère amazonien

 

12) Un homme meurt en quelques jours si on le prive :

a - D’eau

b - De nourriture (parfois il se suicide plutôt que de bouffer certains trucs)

c - De sommeil

 

13) Les plus gros consommateurs de pizzas du monde sont :

a - Les Français

b - Les Italiens (de peu avec la consommation de pâtes)

c - Les Allemands

 

14) Le durion est :

a - Une excroissance de peau devenue caleuse

b - Un fruit exotique (qui pue sa race, un truc de fou)

c - Un joint de caoutchouc

 

15) Il existe combien de cotisations URSSAF :

a - Une trentaine

b - Une demi-douzaine (ou treize à la douzaine si on négocie bien)

c - Plus de 400

 

16) Un organe infundibulum a une forme :

a - D’entonnoir

b - De poire (de pomme et de scoubidou bidou ah)

c - D’hélice

 

17) Un ouaouaron est :

a - Un chien qui cherche à se mordre la queue

b - La grenouille-taureau d'Amérique (parce qu’elle est vraiment grosse)

c - Une nouvelle marque d’aliment pour animaux

 

18) Lequel de ces scientifiques n’a pas eu le prix Nobel de médecine :

a - Arthur Kornberg

b - Robert Edwards (mais si, ça vous dit un petit quelque chose)

c - René Dubos

 

19) Lequel de ces aliments ne se trouve pas dans les commerces du 13e arrondissement de Paris :

a - Du miel d’abeilles noires

b - De la vessie de poisson frite (on dirait des bidules pour l’apéro)

c - Des langues de canard congelées

 

20) Dans l’application Larousse pour iPhone, on ne trouve pas le mot suivant :

a - Fion

b - Califourchon (à dada sur mon bidet)

c - Néphrologie

 

Ça y est ? Vous avez bien tout coché ? Maintenant je relève les copies, voici les résultats :

1–a / 2–b / 3-c / 4-a / 5-b / 6-c / 7-a / 8-b / 9-c / 10-a / 11-b / 12-c / 13-a / 14-b / 15-c / 16-a / 17-b / 18-c / 19-a / 20-b.

 

J'espère qu'à défaut de vous avoir instruit, ces quelques lignes vous aurons intriguées ou amusées. Et sinon, vous avez remarqué que je ne me suis pas cassé la tête pour l'ordre des réponses. :D

 

 

Sister "une valse à trois temps..."

 

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8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 00:07

La question du jour est toute bête : quelle est la taille réelle de ce « WC » ?

 

Capture wc1


Sister « faut viser juste »

 

 

P.S. : ceux qui savent de quoi il s'agit en réalité, n'hésitez pas à vous exprimer, je suis toute ouïe. Je n'ai pas de MBE chez moi pour vérifier de visu.

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 00:07

Cette semaine, je vais faire plutôt dans la légèreté, la bagatelle et la gaudriole, pour éviter un peu les articles polémiques, histoire de vous détendre les neurones assoupis.

 

Voici la question du jour, elle est toute simple : quel est donc cet objet ?

 

Capture C

Evitez de cliquer sur l’image, ça ne serait pas du jeu. En effet, quand l’image n’est pas de mon cru, je donne le site d’origine, histoire de ne pas me mettre trop en faux avec la législation sur les droits.

 

A vos com’… prêts… feu… GO !

 

Vous pouvez poser vos questions dans les commentaires, j'y répondrai de suite pour alimenter vos propositions.

 

 

Sister « ça ne tient qu’à un fil »

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 01:38

 

Vous l’avez tous remarqué, la Chine est devenue le fournisseur officiel de la planète, que ce soit pour la bouffe, les fringues et tout le reste. Observez autour de vous, vous avez la certitude de trouver du « Made in China » partout. J’ai appris hier que ce pays est le premier producteur de champignon de Paris ! Ne soyons pas sectaires, le savon de Marseille aussi voit ses ingrédients provenir du bout du monde. Les exemples ne manquent pas et pour les biens de consommation, c’est encore pire.

 

L’autre jour, voulant utiliser ma visseuse sans fil, j’ai constaté que les batteries étaient totalement vides. En fait, elles ne tiennent plus la charge. Voulant en racheter, j’ai me suis rendue compte que l’outil entier avec sa garantie coûtait quasiment le même prix que des batteries neuves. Aberrant.

 

Dans le même esprit, lorsque j’amène ma couette au pressing, on me demande 15 € pour la passer quelques minutes dans l’énorme tambour alors qu’à l’hypermarché du coin, j’ai vu une couette de marque à seulement 25 €. Ça laisse songeur.

 

Pareil pour les pièces détachées, un plateau tournant pour micro-onde, c’est 40 € et 3 semaines de délai pour le recevoir alors que le four neuf est accessible de suite à moins de 50 €.

 

Avant on faisait réparer le matériel, maintenant on le change systématiquement, puisque c’est à peine plus cher et que le résultat est immédiat.

Je ne veux pas dire qu’on doit opter pour la décroissance, mais je m’interroge sur la pertinence de cette surconsommation. Nous ne savons pas valoriser nos déchets (ou si peu) et cela nécessite toujours plus de matière première et d’énergie.

 

Pour information, il faut savoir que 25 % des produits alimentaires finissent à la poubelle sans même avoir atteint nos frigos !

 

En triant dans mes placards, je me suis rendu compte que j’avais des tee-shirts de plus de 20 ans, des basiques indémodables, toujours en bon état. Alors que d’autres acquis récemment n’ont plus aucune allure, se sont décolorés ou déformés et vont finir à la benne.

 

Il faut croire qu’on nous oblige à adhérer à cette génération Kleenex et je me demande si les gens s’y retrouvent vraiment.

 

Désormais, on fabrique pour jeter et je trouve ça dommage, il faut consommer en continu, sans retenue, sans logique. Une course sans fin… on produit pour que ça se vende et on achète pour avoir l’impression d’exister dans la grande course du toujours plus. Pathétique.

 


Sister « je (dé)pense, donc je suis ».

 

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À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire"

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