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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 23:59

 

Lorsque l'on part avec quelqu'un, mieux vaut s'être assuré avant que l'on pourra supporter de vivre 24h/24 ensemble, sinon, les déconvenues seront immanquablement de la partie. Ce fut mon cas durant le week-end de Pâques.

Une "ancienne" collègue (avec qui je suis restée amie) m'avait proposé de l'accompagner lors d'un séjour de 4 jours à Rome, pour le prix du comité d'entreprise, alors j'ai accepté. Nous partagions la même chambre et une autre collègue était du voyage. Ca promettait d'être sympa.

 

Je ne vais pas vous faire la liste des grands classiques du genre sur les petits désaccords possibles dus à la différence d'âge ou aux modes de vie de chacun, mais plutôt des choses qui m'ont étonnées, amusées ou agacées et qui sont le fait de la gente féminine dont je ne pige pas encore toutes ses spécificités.

 

Déjà, niveau bagage. On partait pour un gros week-end, alors c'était simple... bah non. Lorsque, la veille, elle m'en parle au téléphone et m'annonce que sa valise fait déjà 17 kg, je suis sidérée ! Je lui conseille d'alléger un peu si elle veut rapporter deux trois bricoles en souvenir.

Une fois à l'hôtel, j'ai compris.

Pourquoi emporter des jeans ? Elle n'en met jamais.

Prendre 3 pulls quand la météo prévoit 17 degrés ? Je n'ai pas vu l'intérêt de ça non plus.

Et que faire d'une robe de soirée quand on va crapahuter toute la journée ? La probabilité pour qu'on croise le Pape et qu'il nous convie à sa table était quand même à peine plus élevée que celle de gagner au Super Loto, donc calmos sur les tenues.

Apporter tout son nécessaire de maquillage et produits de beauté non plus n'était pas justifié. Pas plus que la robe de chambre. Bref, c'était lourd, encombrant et surtout inutile.

Perso, je fais simple, tout aurait pu tenir dans une valise cabine, mais j'avais pris une taille plus grande pour ramener des spécialités locales sans être ennuyée dans l'avion.

 

Le lendemain, nous avions les services d'une guide pour nous raconter un peu l'histoire du Vatican, de la cathédrale Saint-Pierre et de la chapelle Sixtine. C'était vraiment intéressant et instructif. Alors pourquoi lui couper la parole pour une anecdote personnelle sans grand rapport avec le sujet ou qui digresse totalement ? Je ne sais pas. Trop souvent les femmes ne supportent pas le silence et parlent pour meubler. Ou alors est-ce parce qu'elles aiment le son de leur voix ? C'est fou tout ce qu'elles peuvent dire pour rien. Pourquoi répéter deux ou trois fois la même chose ? Souvent elles enfoncent des portes ouvertes ou balancent des lapalissades bien creuses. C'est super chiant et épuisant. D'ailleurs, le lendemain du retour, j'avais un furieux besoin de retrouver le calme et suis restée chez moi, dans le silence, sans radio ni musique, juste profiter de ce vide auditif bienfaisant.

 

Rome 465

Autre découverte que je pensais anecdotique, c'est donc vraie que les femmes ne savent pas lire les cartes routières et les plans ! Incroyable, j'ai cru à une blague quand je les ai vu retourner le grand dépliant pour "se mettre dans l'axe" et entendre l'amie me dire qu'elle aurait dû prendre sa boussole... non, sans rire ! Moi qui croyait que cette appli iPhone était un gag, il semblerait qu'elle soit utile à certaines (à condition de savoir s'en servir, surtout en ville, mais c'est une autre histoire). On s'est même engueulées sur le sujet, car à force de faire des kilomètres pour rien, j'avais pris les choses en main, mais ça n'a pas plu, elles se sentaient paumées. Un comble ! Pourtant j'ai rationalisé le parcours, optimisé les liaisons, mais non, visiblement ça leur semblait perturbant. Finalement, grâce à ma technique, on a visité deux fois plus de monuments en moins de temps et de fatigue. En fin de journée, elles ont convenu que la méthode était bonne. Yeah !

 

Question : Savez-vous comment un homme demande son chemin ?

Réponse : En se taisant, car un homme ne demande jamais sa route !

Ayant moi-même fait l'expérience, j'ai vite compris pourquoi. Les gens n'aiment pas être pris en défaut alors même s'ils ne savent pas, ils vont répondre, correctement parfois, à côté de la plaque souvent, juste pour faire comme s'ils maîtrisaient bien le sujet. Résultat, on se retrouve à perpette, dans la direction opposée, complètement à l'ouest, juste parce que la personne n'a pas voulu dire : "je ne sais pas".

Ok, je vous accorde que c'est surtout très lié au snobisme parisien, mais pas que ! Mieux vaut se méfier. Faites le test à l'occasion, vous serez surpris de constater les conneries qu'on vous raconte avec le plus grand aplomb.

 

Donc à Rome, même combat, je ferme bien ma gueule et utilise le matériel à disposition (cartes, lignes de bus, stations de métro, bâtiments, etc.). Oui, mais la copine, toujours un peu flippée, à voulu demander au chauffeur du bus s'il allait bien à "Aventino" et il a acquiescé. Sauf que la question qu'il fallait poser, c'était "pouvez-vous nous dire quel est l'arrêt du quartier Aventino ?" car là, on s'est retrouvé au terminus, avec plus aucun bus pour nous ramener en arrière, paumées au milieu de nulle part. C'était pas faute d'avoir dit qu'en prenant le tram on n'avait que quelques stations et qu'à mon avis, c'était juste après le pont... ce qui s'est avéré juste d'ailleurs.

 

A une autre reprise, la copine est allée demander au chauffeur s'il allait vers notre destination, mais là, c'était évident, c'était carrément noté sur le bus ! Par chance, j'ai reconnu la rue qui nous intéressait et j'ai pris l'initiative pour qu'on descende au bon endroit. On sait bien que tous les chemins mènent à Rome, mais toutes ces routes ne vont pas forcément où ça nous arrange.

Un peu épuisante cette incertitude permanente. Parfois il faut juste miser sur le bon sens ou la chance et ça marche.

 

Dans le même esprit, je fonctionne par analogies. Quand je suis dans un quartier que je ne connais pas et que je cherche un bon resto, j'entre dans la boutique d'un boucher ou d'un caviste pour lui demander s'il connait une bonne adresse. C'est logique, ce sont des métiers de bouche, des épicuriens, donc ils doivent savoir où on peut se régaler dans leur secteur. Ca peut paraître tout bête, mais ça fonctionne.

Puisque dans la capitale italienne, ce genre de commerces ne court pas les rues et qu'on avait prévu de rapporter des spécialités locales, j'ai demandé conseil à la réception de l'hôtel. Eux aussi font leurs courses. L'un d'eux nous a indiqué sur notre plan où trouver des charcuteries, une pâtisserie et un épicier. C'était cool ! Sauf que non, parce que pendant la journée, alors que l'on visitait les monuments et les rues typiques, les copines se sont mise en tête de faire les courses. Comme il me semblait plus judicieux de ne pas avoir à porter tout ça pendant notre balade, j'ai suggéré qu'on s'en occupe en fin de journée, avant de rentrer, mais non. Nous voilà donc en quête de boustifaille, complètement à l'opposé des bonnes adresses, à errer dans des rues inconnues, au cas où on tomberait sur les fameux produits.

La copine me dit : "Mais si, y'a machin qui m'a dit qu'il y avait un commerce sympa de l'autre côté de la Piazza Navonna".

"Hum... bien sûr, l'autre côté en venant d'où ? Tu as un nom de rue ?"

"Ah bah je ne sais pas, je n'ai pas pensé à lui demander".

Donc on n'a fait toutes les rues des alentours, mais rien. Ah si ! Une tzigane avec sa complice, s'est empressée de prendre la copine en tenaille et lui ouvrir son sac pour y plonger le bras ! Heureusement elle n'a rien eu le temps de prendre car on est intervenu. On a signalé aussitôt le problème à une femme "carabinieri" qui a levé les yeux au ciel en soufflant. Visiblement, elles sont "bien connues des services de police", comme chez nous dans le métro avec le gang Hamidovic.

Bref, on n'a fini par trouver - par hasard - un épicier qui faisait un peu de tout et plus loin de quoi acheter un panettone. Au passage, la copine n'avait pas pensé à prendre un grand sac pratique pour mettre tout ça. Heureusement que j'en avais un en rabe à lui prêter, car toutes ses emplettes n'étaient pas pratiques à trimbaler. Alors que moi, tout tenait dans mon sac à dos. Oui, c'est peut-être moins "élégance parisienne" mais au moins j'avais les mains libre pour tenir ma glace ou mon parapluie.


Ah oui, juste un autre truc qui m'a scié durant le shopping. Pourquoi acheter à Rome, des tee-shirts d'une marque très présente en France ? Là, pour moi ça relève de la bêtise. Surtout quand le prix est le même et qu'on risque de payer un excédent de bagage au retour ! Parce que pour certains articles, on sait que c'est beaucoup moins cher aux USA, mais là, même pas, on est en zone euro, c'est tout uniformisé. J'ai pas compris.

 

Revenons au problème de la bouffe, mais causons restos. Je n'avais pas cherché à l'avance les endroits bien notés parce que nous ne savions jamais vraiment où nous serions quand l'appétit nous tenaillerait. Mais à tout hasard, je jetais un œil aux devantures que nous croisions. Notamment une fois, j'avais vu un endroit qui me semblait prometteur, mais comme la copine avait flashé sur une carte de resto proposant une recette qui lui plaisait, on est allé là. En fait, c'est surtout le cadre assez snob qui lui avait plu, car une fois le moment de commander, elle n'a pas pris le fameux plat qui lui faisait tellement envie dehors ! Là encore, je ne comprends pas. Du coup, c'était très cher et plutôt banal dans l'assiette. En plus le vin était hors de prix et à la limite du buvable (hyper acide et presque piquant).

Le lendemain, j'ai suggéré qu'on aille à celui que j'avais repéré et c'était bien meilleur, plus copieux et pour un tiers du prix ! Bonne pioche !

 

Question découverte, je trouve qu'il est assez agréable de "se perdre" un peu dans certains quartiers pour découvrir des trucs au hasard, hors des circuits touristiques, juste pour s'immerger un peu dans la vie des autochtones. Sauf que les femmes n'aiment pas ce genre de fonctionnement et au contraire, apprécient de rester "là où elles connaissent". Du coup, on a arpenté 3 fois la même rue alors qu'il y en avait une foule d'autres à voir juste derrière ou à deux pas, pour mener à l'endroit voulu. Cela s'est reproduit à plusieurs reprises. Quel dommage, il y avait tant à voir.

A ce propos, j'avais appris, il y a quelques temps de cela, que certaines nanas faisaient des détours pas possible dans leurs parcours habituels, juste parce que "par là je connais mieux". Nan ? Sérieux ? Ah bah oui... Pas d'initiative, on reste bien dans la routine rassurante. Au secours !

 

Conclusion du séjour. Rome est une ville qui regorge de trésors, avec des tas de petites rues typiques et de monuments partout. Apprenez qu'il y a plus de 900 églises ! Donc j'espère bien y retourner. Mais la prochaine fois, soit j'irai seule, soit avec quelqu'un dont je suis sûre du sens pratique et de la logique simple, ainsi que d'une vraie envie de découvertes.

 

Et puis aussi, je vais peut-être devoir faire une analyse génétique, car je n'ai pas le même ADN de base que mes concitoyennes. Y'a un truc, j'ai dû muter à un moment ou à un autre pour être si loin de leur "planète nanas" avec ses modes de fonctionnement si bizarres. J'avais bien repéré que je n'avais ni le gène du shopping, ni celui de l'instinct maternel, mais constater autant de divergences, j'avoue que je commence à m'interroger...

 

 

Sister "testostéronée malgré elle"

 

Chronique 01052014 Chronique 01052014

 

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 18:22

 Cela n’a pas pu vous échapper, il y a toujours un truc à célébrer, à commenter, à mettre en lumière ou à combattre. Et pour ça, un phénomène se développe à la vitesse d’une colonie de coliformes fécaux sur des glaçons Mc Do, c’est la fameuse « journée mondiale de quelque chose ».


Ca n'a pas grande utilité, sinon à faire du bla-bla dans les journaux télévisés et à causer pendant la pause déjeuner. Au moins, pendant qu’on nous diverti avec ça, on évite d’avoir à faire du vrai journalisme sur les scandales politiques, les arnaques des lobbies industriels, les poisons dans notre assiette. Bref, ça donne un petit air de ploum-ploum-tralala qui diverti le neurone du fond, celui qui s’assoupi à la simple évocation de Deleuze ou se met carrément sur off quand on lui cause économie mondiale.


La plus connue - et aussi la plus controversée - est bien sûr la journée de la femme et son lot de blagounettes potaches sur le quota 1/365e qu’on alloue à la gent féminine (prononcer « jen » et pas « jante »)(1), dans notre grande bonté d’humanistes frileux.


Mais il y en a plein d’autres ! Quasiment inconnues alors qu'elles mériteraient bien le détour. Comme celle du refus de la misère ou contre la torture, qu'on peut donc accepter tout le reste de l'année, logique. Celle des toilettes, qui tombe, coïncidence ou pas, le même jour que la journée internationale de l'Homme, c'est dire la pertinence de l'événement. Sans parler des trucs totalement inutiles, comme celle du domaine public, celle sans pantalon, celle de la serviette (si si, le 25 mai), celle des conversations sociales et j'en passe ! Imaginer le lot de trucs tout moisis qu'on peut inventer. Il y a même celle de la protection des données ou celle pour un Internet plus sûr, vu l'actualité, ça prête à sourire (jaune).


Et dire que le Net regorge de ces perles inconnues de tous. Ah ? Quoi que non, J-P Pernaut doit bien en toucher deux mots dans son 13h, mais je ne le regarde jamais. Il faut dire que je me passionne peu pour la fabrication des cordages de chanvre de la basse vallée de la Meuse ou des travaux du potier sarthois dans son atelier de Moussu-le-Glouvieu (c’est pas loin du Groland-de-Côté)(2).


Mais revenons à nos moutons (avant qu’ils ne finissent dans le grand méchoui de l’Aïd el-fitr).

 

Je constate une chose, ils ont beau prévoir des tas de trucs, tous plus chatoyants ou larmoyants les uns que les autres, il y a une grosse, très grosse lacune ! En effet, de sombres inconnus ont décidé que le 8 août serait la « journée mondiale du chat », mais c’est aberrant ! Quiconque possède un greffier, sait que chaque jour et à chaque instant, le chat s’impose sa loi et règne sans partage et pour preuve, il y en a plein le Web. Nan mais sérieux, il manque une chose à célébrer ?! Et pourtant, ça coule de source !

Comme nous sommes à la Saint-Dominique… nique, nique comme disait la chanson, je propose que cela devienne officiellement la « journée mondiale du slip ». En clair : LA FÊTE DU SLIP ! The worldwide slibard party time! Enjoy the kangourou’s style!

 

slip-francais-bleu


De toute façon, en ce moment, 90% des français sont en vacances et les autres ont tellement levé le pied que la machine à café est en rupture de stock à 13h25. Ca papote plage, voyage, transat ou glandouille à l’ombre. Autant festoyer gaiement autour d’un accessoire qui revient en force : le slip. D’ailleurs un hymne a même été créé en sa faveur !(3) Il y a des concours internationaux de « sauts dans son slip ». C’est dire si son rayonnement planétaire est incontesté.  

Osons les émissions dédiées : « Nouveau look pour un nouveau slip » (=> Oh oui mon chéri, tu es magnifaaaaaïïïque !) ou « Un slibard presque parfait ». Tentons : « Envoyé spécial du fond du slip » ou « Enquête exclusive sur la filière du slip ». Il y a de quoi faire pour entrer dans les anales.

 

Je ne comprends même pas qu’il ait pu être ainsi oublié, méprisé, martyrisé ! Vive le slip libéré !

D’ailleurs, les plus beaux sont franco-français et ça, ça fait bien chier les chinois. Raison de plus de révéler le patriote qui sommeille en vous. Tous en slip ! La révolution est en marche dans les futals.

Bon, je ne cache pas que le gros Bébert et son pote Maurice-le-velu sont invités à rester plutôt dans leur camping des flots bleus, pour ne pas choquer les enfants. Mais que les Beckham, Lacourt, Nadal et autres bogoss montrent la voie et portent dignement l'ami fidèle de la veuve et des deux orphelines.

Nous avons eu le mariage pour tous, allons plus loin et osons le slip pour tous.

 

Sur Paris-plage ou ailleurs, cela donnerait un air de liberté et de nonchalance. Plus d’uniforme, plus de statut social et comme c'est moins intimidant que le nudisme, n'ayons pas peur de dire que le slip est l’avenir de l’Homme. Dans les cités, ça ferait moins les malins pour cacher le shit ou les armes. Voilà, le port du slip serait comme un hymne à l’honnêteté : « je n’ai rien à cacher, moi, la preuve, je suis en slip ».

Et puis le gouvernement s’échine à nous serrer la ceinture depuis des lustres alors quitte à baisser son froc, faisons-le avec panache et en portant un slip en bonne et due forme.

La Fête du Slip, c’est l’assurance d’un monde plus libre, plus fun, plus authentique.

 

 

Sister "qui attend le 21 décembre pour la journée internationale de l'orgasme, mais qu'il est préférable de célébrer plus souvent, heureusement !"

 

  Chronique 08082013 Chronique 08082013

  (4)

 

(1)    Cet été je tente le blog instructif, enrichi en cahier de vacances dedans avec des activités ludiques pour apprendre en s’amusant. Aujourd’hui : « zyvalameuf-èlkozlaceufran-sakom ». Bref, un soupçon de culture s’est glissé dans cette page pour briller en société.

(2)    Pour ceux qui voudraient s’y rendre, la charmante bourgade est en cours de rénovation, fin des travaux prévue en 1436 selon le calendrier hégirien.

(3)    Je rappelle aux utopistes, aux rêveurs et aux bûcheurs des écoles de musique que 15 ans de conservatoire ne sont pas nécessaires pour exploser tous les scores de vente de « chansons » et qu’une bonne grosse connerie, avec une vraie dose de buzz autour, feront toujours la différence. Oui, c’est pitoyable, mais c’est l’jeu ma pauv’ Lucette.

(4)  Oui, cet article a été écrit hier et aurait dû être posté le même jour, mais ma Freebox fonctionne en pointillés (je soupçonne une envie de vacances de sa part), ce qui rend l'exercice très périlleux. Du coup aujourd'hui, c'est la Saint-Amour. Comme ça restait dans le thème (ou t'aime), je l'envoie quand même.


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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 00:24

Puisque désormais on peut poser des questions à sa banque via le Net et comme je ne connais même pas le nom de mon conseiller financier, j'ai décidé de rompre.

 

Après des années de vie (pas très) commune, à distance, sans jamais se voir ni prendre des nouvelles, je constate qu'il m'ignore totalement et il est clair que mes sousous-dans-la-popoche ne l'intéressent pas parce qu'ils ne sont pas aussi sonnants et trébuchants que ceux que Cahuzac, Guéant et les autres Tontons Flingueurs de Thunes de la République.

 

Alors voilà, j'ai écrit - à l'instant - une lettre de rupture à mon banquier inconnu. Je vous la livre telle quelle, sans changer une virgule.

 


Bonjour,

Pour moi, c'est la crise et je dois procéder à une restriction budgétaire drastique car vos frais bancaires sont trop élevés, je vais donc délocaliser mon argent et mes comptes bancaires vers des cieux plus cléments.
Pour vous, la loyauté d'une cliente fidèle depuis 20 ans (sans incident ni problème) n'a aucune valeur et ne donne droit à aucun avantage ou considération. Mais non, je ne suis pas un numéro (de compte), je suis une femme libre !
En vertu de cette inconciliable divergence d'opinions et au constat de l'ignorance totale que vous me portez depuis le début de notre union bancaire, je me vois contrainte de mettre fin à notre collaboration.
Merci de bien vouloir m'indiquer les modalités de résiliation et le délai à prévoir pour récupérer mes maigres, mais honnêtes économies.

Cordialement.

 

 

Je ne sais pas si ces petits joueurs de La Banque Postale vont se fendre d'un coup de fil, d'un geste commercial ou juste d'un "remplissez là, signez ici". Mais au moins, ça les changera des insultes et autres noms d'oiseaux qu'ils doivent entendent toute la journée.

 

 

 

Sister "d'amour et d'eau fraîche"

 

Chronique 12062013 Chronique 12062013

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 01:14

Dans quelques heures, nous aurons basculé dans l’année 2012 alors pour finir sur une note de bonne humeur, voici quelques perles glanées autour de moi, bref c’est un peu mon bêtisier perso, puisque c’est la saison pour ce genre de marronnier.

 

Quelques phrases bizarroïdes (et pas piquées des vers) entendues de mes collègues :

-         on a essayé de penser à tout, mais y’a encore des trous dans la raquette => il m’a fallu un peu de temps pour piger la parabole et je me demande pourquoi certains s’amusent à inventer des expressions pareilles

-      il faut faire gaffe avec ça, le sujet est « touchy » ! (prononcer teutchi, bien sûr) => ça fait toujours très tendance et pointu de parsemer son discours de termes anglo-saxons alors que « sensible » aurait tout aussi bien fait l’affaire

-         tu as pensé à vérifier la mutation de ton pioupiou ? => alors là, j’ai ramé sec pour piger qu’en fait, à la RH, il semblerait que ce soit l’appellation (d’origine non contrôlée) pour « salarié »

-         Patrick, regarde sur le planning, elle est prise la salle de réunion ? Non, c’est bon Marie, j’te mets dans la salle à 17h => affaire DSK oblige, je n’ai pu m’empêcher d’y voir un truc graveleux, mais vous auriez fait de même, non ?

 

Dans le hall :

-         Tu as vu l’hôtesse d’accueil, on pourrait lui mettre deux doigts derrière !

-         Euh… quoi ?

-         Bah oui, elle nage tellement dans ses talons aiguilles qu’on n’a la place de glisser deux doigts entre son pied et la chaussure

-         Aaah ok.

 

Au resto-self, les collègues masculins :

-         Nan mais regarde celle-là, en short alors qu’il fait à peine 10 degrés dehors et qu’il pleut

-         Oui, c’est pas jojo comme tableau

-         Elle est gaulée comme un percheron

-         Et puis de dos, avec son imper, on dirait qu’elle est à poil en dessous.

 

Dans l’open space, une collègue (entre deux âges) contente d’avoir ajusté ses comptes :

-         Ouais, là j’suis vraiment bonne !

Réponse du chef entre ses dents :

-         Bah faut l’dire vite ou être très myope.

 

Et le must, du 100% véridique, car la réalité dépasse souvent la fiction. Une collaboratrice au téléphone avec un collègue :

-    Oui, je vais te prendre ce matin parce que j’ai un petit trou => comprendre qu’elle a une disponibilité dans son agenda et qu’elle va pouvoir y caler une réunion.

 

Allez, on se retrouve l’année prochaine.

Festoyer, riez, vivez haut et fort, on ne sait jamais de quoi demain sera fait. Carpe diem.

 

 


Sister « 2011 est morte, vive 2011 ».

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 22:06

Les phénomènes de mode et la recherche perpétuelle de glamour ne sont pas des nouveautés. Depuis des lustres, l’apparence est reine et il est quasi vital de se montrer toujours au top de sa forme, d’afficher son dynamisme et désormais, de « ne pas faire son âge ». Cette quête de la jeunesse éternelle - pour ne pas dire fuite en avant - serait donc synonyme de bonheur et de reconnaissance auprès de nos semblables… d’ailleurs, ce terme devient de moins en moins approprié… Semblables ? Si peu…

 

Mais au-delà de la volonté d’apparaître sous son meilleur jour, il y a un truc ultime, encore plus grotesque que les injections de produits louches qui transforment la bouche des adeptes en sorte de gros pneu ou d’hémorroïdes géantes. Bien plus répandu que les liftings ratés qui les font ressembler à des serpents avec des yeux dans les coins. Nettement plus abordables que les piquouzes de Botox qui rend les visages aussi peu expressifs que Steven Seagal ou Chuck Norris en pleine action.

Cette pratique devenue tellement courante à travers toute la planète et qui franchit les barrières culturelles autant que les niveaux sociaux, c’est la teinture capillaire.

 

Cela n’a pas pu vous échapper, si comme moi vous suivez un peu les infos, les hommes politiques et les patrons de multinationales ont - eux aussi - basculé massivement dans l’ère du cheveu teint. Et ça y va sec dans les touffes dégarnies ! Leur  couleur est désormais plus vive qu’à leur adolescence. C’est tellement grotesque.

 

Les plus voyants en ce moment, outre les stars du showbiz qui dominent la discipline, sont sans nul doute : Carlos Ghosn, Jacques Chirac, François Hollande, Bernard Arnault (qui avait pourtant bien résisté) et récemment Mouammar Kadhafi.

Pour le bonus, voici l’exemple même de la crédibilité zéro de la moumoute corbeau… la version avec poils au menton carrément pas raccord.  

 

Capture teinture

Mais le plus tartuffe de tous, cela reste l’indétrônable Berlusconi qui se fait la totale. Des UV qui lui donnent la carnation d’un vieux fauteuil club, le lifting tendu comme un string, parce que sinon il serait fripé comme une vieille golden oubliée sur un radiateur et surtout la « final touch » : la moumoute gominée et teintée au brou de noix. Ah bah oui, il est persuadé qu’il faut bien tout ça pour se taper des nanas de 17 ans… Ce gros macho misogyne soigne son apparence alors que c’est juste son pognon et le pouvoir (surtout les passe-droits qui vont avec) qui attirent les jeunes bimbos. Certaines sont prêtes à se taper des vieux libidineux pour arriver à leurs fins, mais ce n’est par pure bonté d’âme, ni grâce à leurs tifs aux couleurs chatoyantes.

 

Du coup, les hommes et les femmes deviennent de plus en plus « artificiels » et à ce rythme, il va devenir très compliqué d’arriver à reconnaître les ascendants et les descendants sur les photos de familles. D’ailleurs, cela me fait penser à une chanson de Zazie qui résume bien l’absurdité de ces femmes qui sont tellement passées sous le bistouri que leurs filles ne leur ressemblent plus.

Entre la correction bien légitime d’un défaut gênant, un camouflage discret des cheveux blancs (en évitant la couleur outrancièrement artificielle) et la réfection totale de façade avec injection par ci et aspiration par là, il faudrait voir à raison garder…

Bientôt les gamins demanderont si les cheveux blancs des anciens ont disparu par mutation génétique.

 

Perso, je n’ai jamais rien tenté, tout est naturel, fourni avec les pièces d’origine et je me demande à partir de quel pourcentage de chevelure blanchissante je commencerai à trouver cela gênant. Une chose est sûre, je ne suis pas pressée de rejoindre le troupeau des touffes à coloris standardisés.

 

Sister « blond inside and outside »


 

Chronique 12042011 Chronique 12042011

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9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 23:45

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô flocons ennemis !

N’ai-je donc tant vécu, que pour cette infamie ?

 

Vous avez vu ? Il a neigé.

Oui, je sais, c’est un truc dingue, moi non plus je n’arrive pas à m’en remettre. Tous les médias sont sur le coup depuis deux jours et tout le monde ne parle que de ça. Il faut décréter l’état de catastrophe naturelle pour ces quelques centimètres tellement inattendus à quelques jours de l’hiver.

D’après les spécialistes de Météo France, on a des cas similaires à peu près tous les 10 ans alors que le gouvernement parle d’un cas exceptionnel (quasiment du jamais vu). Comme les chiffres entre les manifestants et la police, personne n’est d’accord, on a l’habitude.

Oui, tout le monde rêve d’un joli Noël blanc, parce que c’est tout joli, ça amuse les gosses et ça recouvre notre quotidien crasseux et gris d’un manteau immaculé.

Oui, mais il ne faut pas que ça dure ou que ça tombe trop dru, sinon ça fait flipper le citoyen !

 

De là à faire un rapprochement avec J.L. Delarue qui a arrêté de sniffer de la poudreuse, il y a qu’un pas, mais que je ne franchirai pas. Hein, moi j’dis ça, j’dis rien.

 

Mes-images-2010 1041

Je ne vais pas vous tenir le crachoir pendant des plombes, tout le monde y a été de son analyse, de son grain de sel (de salage routier) et de son opinion sur la question.

 

Bon, c’est vrai, des gens sont restés bloqués, d’autres n’ont pas pu repartir de leur bureau, plein de voitures ont été abandonnées sur le bas-côté.

En effet, mais il faut voir aussi les aspects positifs :

- ça va filer du travail aux carrossiers (qui sont déjà pétés de thunes, un truc de fou, j’vous assure, ç’en est indécent)

- les vendeurs de boots, bonnets et autres accessoires chauds se frottent les mains

- subir cette galère avec ses collègues renforce l’esprit d’entreprise

- ça fait causer dans les chaumières et détourne un peu de la crise et de la nouvelle hausse honteuse du prix du pétrole

- plein de gens vont pouvoir buller chez eux parce qu’ils sont en arrêt maladie pour avoir glissé sur un trottoir.

 

Il y a donc des tas de choses positives parmi tout ce grand malheur national qui s’est abattu sur nous… Heu… nous, ce n’est pas vraiment le terme, car à Toulouse et à Biarritz ils se doraient la pilule sous une température estivale supérieure à 20°. Mais voyez-vous, même si Paris n’est pas la France, la région héberge quand même plus de 10 millions de personnes et donc autant de « victimes » de cet effroyable fléau que l’on nomme désormais avec des tremblements dans la voix : « l’épisode neigeux ». Rhôô, ça fout une trouille monstre ! Je propose que dans le prochain opus d’un film de vampires,  ils osent un truc qui fait vraiment flipper sa race : « Edward et Bella contre les flocons maléfiques » ou « 12 cm de poudreuse auront ta peau » ou encore « Je ferai tomber la neige sur ta tombe ».

Pour repérer aisément le fourbe adversaire, j’ai trouvé ses portraits-robots ici.

 

Réellement, ce qui me fait le plus peur dans tout ça, c’est encore le déni du gouvernement. Brice Hortefroid (oui, c’est son nouveau surnom) a prétendu dans l’après-midi de mercredi qu’il n’y avait aucune pagaille. Nan mais il vit dans une grotte ce mec ou quoi ? Il suffisait qu’il mette son nez à la fenêtre pour constater le bordel ambiant.

Ça me rappelle Fillon qui clamait haut et fort qu’il n’y avait pas de pénurie de carburant alors que la moitié des pompes étaient déjà à sec !

 

Allez, je vous laisse retourner vous faire un bon grog des familles, histoire d’exorciser cette épreuve céleste en fonçant sous la couette avec un sentiment de toute puissance. Ah oui, on ne nous y reprendra pas, la prochaine fois que les flocons s’acharnent, c’est promis, on reste au pieu et pis c’est tout !

 


Sister of Night (un flocon ça va, c’est quand y’en a plusieurs que ça pose des problèmes)

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 00:35

Et merde !!! J’ai eu le malheur d’aller zieuter des bidules un peu subversifs sur Amazon et PriceMinister… Résultat : sur la majorité des pages Web que je visite, j’ai le bonheur, la joie et la surprise de voir dans les encarts publicitaires qui jalonnent les écrans, ces propositions d’achats si bien orientées. Régulièrement, en surfant innocemment, on me propose ces fameux articles « à tenir hors de portée des enfants et des moins de 18 ans ».

 

Même ma boîte mail est polluée, car le simple fait d’avoir promené ma souris - même par pure inadvertance - sur ces « jouets » ou bouquins, me vaut de recevoir une newsletter « personnalisée » en fonction des dernières pages visitées. Quelle charmante attention… surtout quand on n’a rien demandé !

 

Plus moyen de faire une copie d’écran sans devoir redimensionner la partie à conserver. J’ai d’ailleurs failli faire la boulette en envoyant une page internet sauvegardée en PDF pour l’expédier par mail. Au dernier moment, j’ai vu que mes « articles favoris » trônaient à côté de l’article de presse pourtant anodin que je voulais faire suivre. Ouf, c’était moins une !

 

Bon, c’est pas tout ça, mais il faut que je vous laisse, je vais aller vérifier les tarifs de La Pléiade et des derniers draps de flanelle de la collection Noël, histoire de me redorer un peu le blason et ne pas passer pour une perverse… Hein ? Quoi ? Ah bon ? C’est déjà fait ? Hum, alors je vais apprendre à vivre avec, c’est plus simple.

 

 

Sister « cuir et latex »

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 15:35

 

Ce matin, comme tous les jours, je file à la douche en laissant la porte de ma mini salle de bain ouverte. Je dénoue le léger peignoir en satin bleu et laisse glisser au sol ma petite culotte, enjambe le bord de la baignoire et déploie la paroi vitrée.

Ouvrant le robinet, j’aperçois mon nouveau chaton arriver en courant vers moi, puis elle se met à marcher en crabe avec une crête sur le dos et la queue en plumeau, affichant un air vachement menaçant. Ouh là ! Je tremble ! Hi hi, elle ne manque pas d’aplomb la bestiole.

D’un coup, elle s’aplatit, remue le train arrière, les oreilles à l’horizontale et fonce sur ma lingerie ! Elle l’attrape victorieusement et l’emporte entre ses crocs miniatures, titubant à moitié avec sa proie qui traine entre ses petites pattes.

 

P1090126


Par chance, j’ai pu saisir la preuve exclusive de son méfait : la coupable et l’objet du délit. Bien sûr, ce n’est pas super bien cadré, mais j’ai pris ça sur le vif.

La voleuse a finalement consenti à me rendre son larcin.

 

Hum, elle me fait marrer, surtout que ce n’est même pas sa taille !

 


Sister « stripped down to the bone »

 

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24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 00:29


Interruption temporaire du programme des « Aventures (fantasmées) de Sister et du Beau Gosse ». Prochaine saison à partir du 7 juillet (ou plus, si lui aussi à choisi de prendre des vacances). Je ne l’ai même pas croisé ce midi pour lui claquer une bise en lui disant que je lui rapporterai du cidre et des crêpes. Pff, pas de bol hein ? Ah oui, y’a trop d’injustice en ce bas monde, mon bon monsieur.

 

En attendant, le site continue et la vie poursuit son cours... et advienne que pourra.

 

Histoire de ne pas plomber l’ambiance et de conserver à cet endroit son côté « pouet-pouet-tralala », je me devais de vous gratifier d’une image à la con (prise par mes soins, comme toujours) et d’un commentaire t(h)on sur ton.


P1070339


Ma grand-mère m’a toujours dit : « quand on n’a pas de tête, faut avoir des jambes » et « ah ! quelle tête de linotte je suis ! », mais, comme pour toutes les expressions à la noix, quand on est mioche, on ne capte pas tout et c’est au bout de quelques années qu’on pige  la signification de tout ça, et là, c’est comme une révélation.

 

Je suis donc heureuse de vous annoncer que j’ai trouvé le magasin idéal pour pallier aux problèmes en question. Comme vous le voyez, ils ont des jambes de remplacement chez ce revendeur de pièces détachées. Voilà qui me plait assez.

 

Ah oui, vous allez me dire : « tout ça pour ça ? Bah ça me fait une belle jambe ». Et vous aurez raison. Ce à quoi je répondrai, moi aussi, ça m'en fait même deux et elles sont d’origine en plus.

 

 

Sister « en mode glandouille pour quelques jours »

 

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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 22:26

Oui, ok, je vous entends d’ici dire (ou médire) :

« pff, mais ça fait presque deux mois qu’elle n’est pas venue »

« clair, elle nous abandonne »

« visiblement on ne compte plus pour elle »

« laissez tomber ses fans comme ça, c’est inhumain »

« bah il est presque mort son blog, à quoi bon »

« je pense qu’elle n’a plus d’inspiration, c’est foutu »

« mais qu’est-ce qu’elle fout ? »

« aucun signe de vie depuis des lustres, ça sent l’sapin »

« plus la peine de laisser de com’, elle n’y répond pas »

« mais qu’est-ce qu’elle fout, elle aurait une sociale maintenant ? »

« il paraît qu’elle s’est fait un compte Facebook, sous pseudo, bizarre »

« je me demande si elle reprendra son site un jour… »

 

Je vous comprends, c’est moche et je ne suis pas fière de n’avoir pas alimenté mes pages depuis si longtemps, pourtant ce ne sont pas les idées qui me manquent, juste un peu le temps et le moral aussi. Vous finissez par vous en douter, c’est encore une histoire de boulot qui se passe mal. Décidément je suis asociale, c’est officiel, je n’aime pas les gens avec qui je suis censée travailler, ni les méthodes en fait. Va falloir que je pense à créer mon propre taf un jour...

 

Mais je compte bien reprendre mes activités numériques, parce que ça me manque,  parce que ça me ronge de laisser tout ça à l’abandon, parce que j’en ai furieusement envie aussi.

 

D’ailleurs, je me demande si je vous ai manqué ? Un peu, moyennement, à la folie, pas du tout ?

 

Histoire de reprendre en douceur, je vous propose une petite devinette. A votre avis, qu’est-ce que cette chose ? Et quel en est l'usage si vous le connaissez (je vous aide, ça sert à plusieurs choses).

 P1080557

 

Un indice s’affiche sur votre écran : « ce n’est pas la caillasse de Roger ».

 

Non, vous ne rêvez pas, je suis là et bien là, ça va saigner ! Faites chauffer les com' !!!

 

 

Sister "born to be wild"

 

 

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"L’amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font.
À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire"

Pierre DESPROGES

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