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Le pourquoi du comment de l'énigme qui vous taraude. Lorsque vous venez ici, que vous n'y voyez rien de nouveau, vous vous dites alors : « Tiens ? Y'a pas d'article ce soir, elle ne devait rien avoir à dire ».
Erreur ! Grossière erreur ! Sachez, apprenez, notez, cher lecteur, que lorsque je ne publie pas de texte, ce n'est jamais parce les idées me manquent, mais juste parce que je n'ai pas eu le temps de les mettre en forme pour qu'elles soient compréhensibles un minimum.
Chez moi les conneries fusent en permanence, les coups de gueule ou les délires aussi. Bon, pour instant, vous ne pouvez pas vous en rendre compte totalement, car je suis assez tranquille dans mes articles. Pourtant, si vous me connaissiez en vrai... vous seriez subjugués ! Quoi, j'me la pète ? Mais oui, totalement et je le revendique haut et fort ! Ah petit scarabée, un jour, peut-être, au fil de mes lignes tu comprendras de quelles conneries je suis capable.
Ainsi donc, amis geeks, il y aurait une vie hors en dehors de l'ordi' ? Quelle angoisse ! Que de promesses aussi ! Finalement, il faut oser franchir le pas, se lancer pour aller voir à l'extérieur. Oui, toi le djeun qui joue à "wow" une bonne partie de ton temps, quand tu ne racontes pas ta life dans ton blog avec des photos de tes potes geeks aussi. Sans parler des heures passées à tchater. Ouaip, je connais, même en n'étant plus tout à fait dans la case [15-22] ans, je pratique aussi.
N'empêche, je t'assure qu'il se passe des trucs derrière ton écran et qu'on peut même rencontrer en vrai les personnes qu'on a péché sur le Web. C'est fascinant ! Un monde plein d'inconnus et d'activités pour lesquelles on n'a pas besoin d'un clavier et d'une souris.
Je m'en vais te conter une aventure merveilleuse !
Once upon a time... oui, ça commence toujours comme ça les belles histoires.
Ce soir, j'ai rencontré un bouquin qui se confiait à livre ouvert, petit, pas impressionnant, avec même des photos dedans, pff, un mickey quoi ! Et pourtant, il m'a raconté une affaire bizarre, mélange étrange avec des personnages pas ordinaires...
Une demi-douzaine de crânes d'oeuf qui se faisaient rouler dans la farine, un grand qui avait du bol et des lames de fond qui a embrouillé le tout en buvant du petit lait, il voulait se sucrer sur leur dos. Deux heures après leur rencontre, une nouvelle entre en scène, elle tombait au poil la Miss Téfole, une chaude en plus ! Elle te les a retournés en moins de deux. Un business rondement mené.
Voilà les résultats de mon enquête, j'ai raflé le suspect et ses complices. Pas facile de tirer au clair le fin mot de l'histoire, ça sentait la déconfiture. Pourtant, force est de constater qu'au final, j'ai coffré les coupables pour délit majeur et circonstances aggravantes : pêché de gourmandise avec préméditation ! Ca va bien chercher 6 heures de taule dans les entrailles de ma justice divine.
Sister "le danger est partout, la vérité est ailleurs"
I've got a new X-file for you*.
Si vous ne vivez pas à Bora Bora ou chez lez Inuits, vous avez sûrement déjà été confronté à ce phénomène étrange.
J'en discutais hier avec un futur amant, euh non un copain (dommage). Il a lui aussi été victime de la troublante constation.
Il s'agit de disparitions particulièrement mystérieuses...
Cette énigme, je vous la pose aussi : mais où vont donc se perdre nos chaussettes ?
N'avez-vous jamais remarqué que certaines d'entre elles « s'envolent » dans la nature régulièrement ?
Pourtant, vous étiez bien certain de les avoir mises ensemble dans la machine et maintenant qu'elles sont sèches et que vous voulez les rangez, l'une d'elle est là, seule, abandonnée ! Mais où est donc passé son double ?
Elle n'a pas pu se perdre dans le tambour, j'ai vérifié moi-même, y 'a pas moyen de s'échapper. Les issues sont gardées.
A-t-elle pris la fuite avant la grande collecte ? Peu probable, le trajet bac à linge/lave-linge est très court.
Planquée sous le lit ou derrière la commode ? J'aurais dû la retrouver lors du passage hebdomadaire de l'aspirateur. Mais non, toujours rien en vue.
Même après un effeuillage ultra rapide, avec sous-vêtements qui volent en tous sens, signe d'une promesse d'ébats torrides, elle ne peut pas aller bien loin dans mes 44 m².
Accuser le chat ? Difficile, il préfère de loin ses croquettes de compétition pour matou sensible et digestion optimale.
Mais alors ? Que faire de la demie-paire restante ?
La jeter ? Ce serait dommage, elle est encore en bon état. Laissons-lui sa chance.
Mettons-la dans un tiroir, en attendant qu'une autre subisse le même sort et qu'on puisse constituer un nouveau couple.
Oui, c'est une bonne option. Sauf que maintenant, j'ai tout un lot chaussettes veuves, dont les caractéristiques ne sont pas totalement identiques et qui attendent leur tour.
Un jour, elles finiront leur vie à lustrer le cuir de mes chaussures, car l'aventure en solo n'est pas gérable éternellement pour nos chaussettes abandonnées.
Ayons une pensée émue pour toutes ces pauvres petites choses, entièrement dévoluent au confort de nos petons délicats et qui, un jour, sans raison, se retrouvent dans un désarroi total parce que, sans ultimatum, l'une d'elle a pris la fuite vers une destination inconnue.
N'y a-t-il pas un anthropologue, un ethnologue, un psychologue (on leur demande déjà leur avis sur tout), un gynécologue (euh non, pas celui-là) qui ne s'est jamais penché sur la question ?
Allons-nous longtemps devoir subir cette injustice sans piper mot ?
Devrions-nous créer un collectif des chaussettes délaissées ?
Faut-il lancer le FBI, la DST et le KGB sur la trace des fuyardes ?
Le mystère reste entier et la vie continue. Trouvera-t-on un jour ce fameux cimetière des éléphants, version sanctuaire du fil d'Écosse et du mi-coton / mi-polyester ?
Sister "on vit d'ces choses quand même..."
* j'ai une nouvelle affaire non classée pour vous.
J'ai préféré traduire, car je comprends qu'on soit totalement allergique à la langue de la perfide Albion. Même si cela vous simplifierait la vie.
Comme vous pouvez le constater, je ne bluffe pas, mes gambettes sont vraiment de belles bêtes.
Profitez-en, c’est bientôt le Tour de France ! Vous en aurez bien besoin si vous voulez flamber un peu sur votre fidèle destrier tout neuf, à peine sorti du carton.
Encore un avantage, mes longues jambes nacrées et sublimes sont parfaitement épilées comme l’impose l’esthétique applicable à tout maître de la pédale (amis gays, je ne parle pas ici de personnes reconnues pour être au régime sans selle). Cela permet de mettre en valeur le muscle ciselé, saillant et efficace.
Dernier atout, d’une incroyable rareté : cette belle paire est garantie sans anabolisant, ni EPO, ni pre-mix belge (cf. pot), ni abîmée par toute autre substance injectable ou buvable (à part du thé, mais ça compte pas).
Pourquoi m’en sépare-je ? (oui cette tournure de phrase est correcte, promis, juré, craché, euh non pas "craché" car après, c'est moi qui lave).
Hé bien par pure bonté d’âme, car j’ai constaté, grâce à mes longues heures d’observation de la gent masculine, que tous n’étaient pas parfaitement pourvus en la matière.
Alors, c’est l’occasion les mecs !
Fini de vous faire traiter de « mollets de coq ». A vous les jambes sculptées !
Sautez sur cette affaire en or, elle ne se représentera pas.
Aucun prix n’a été fixé, ici c’est comme ailleurs, c’est le plus offrant qui emporte l’enchère.
Sister « faire offre ».
Juste un petit hommage parce qu'aujourd'hui "La Souche" a 62 ans et qu'il y eu une époque ou l'on pouvait se lâcher sans attirer les foudres des critiques, sans se faire museler par sa maison de disque et sans se faire envoyer dans les cordes par des attachés de presse tout dévoués au politiquement correct. Pensant que cela serait plus convenable de caresser le consommateur dans le sens du poil. Alors qu'une seule chose fait encore vendre, c'est le : "sex, drug & rock'n'roll", y'a qu'à voir comment fleurissent les parutions et émissions "trash" ou "people" (dans le but de brocarder leurs petits travers peu avouables).
Voilà pourquoi je vous accorde quelques vers, pas piqués des vers, histoire de lui souhaiter un joyeux anniversaire.
Alain Souchon - J'veux du cuir - 1985 "C'est comme vous voulez"
Arrêtez tout, dans les magazines,
Nouvel Homme, Tweed et fiches cuisines.
Am'nez les jartelles, les bas résilles,
Les sexy dentelles, les talons aiguilles.
{Refrain:}
Mais si j'dis ça, je casse mon image.
Ce s'rait dommage. {2x}
Mais si j'dis ça, je casse mon image.
Ce s'rait dommage d'être au chômage à mon âge.
J'veux du cuir : pas du peep show, du vécu.
J'veux des gros seins, des gros culs.
J'veux du cuir,
Sade et Shade et Suzy Q.
Arrachez, scouts, vos pull-overs.
Am'nez le shout, l'éther,
Les lames de rasoir, les tubes de colle,
Nus sous l'manteau à la sortie des écoles.
{Refrain}
Arrêtez, Constance, vos lacs,
Plaisirs des souffrances délicates.
Le monde est glauque et ça s'écrit
"G2LOQ", mon ami.
{Refrain}
Sister "l'histoire ne dit pas s'il a obtenu sa liste au Père Noël"
Merci de commencer par lire cet article (ici présent) car mes propos en sont une réponse ou plutôt, une précision fort bouleversante.
Ca y est ? Vous avez tout lu ? Parfait, alors poursuivez ci-dessous, vous allez apprendre des révélations surprenantes (la nuit je dors nue de préférence ou juste avec une petite culotte).
Réponse à Monsieur AnT, taulier du site Inedire.com :
Je m’inscris en faux ! Vous jetez un peu trop vite l’opprobre sur ce malheureux dont vous n’avez eu qu’une vision très parcellaire de la vie et dont vous ignorez probablement tout de l’existence trépidante qu’il mène.
Chacun voit midi à sa porte, grand bien vous en fasse, moi je vois 23h59 à ma montre et c’est autrement plus pratique que d’accrocher une pendule sur l’orifice officiellement pénétrable de mon appartement, j’ai nommé ma porte d’entrée, de sortie, des deux en fait ! C’est bien foutu la polyvalence.
Ainsi donc, vous vous permettez de porter un jugement pour le moins hâtif sur un aperçu particulièrement bref d’une tranche de vie qui, en l’occurrence, ressemblait plutôt à une tranche de fesse, ou plusieurs, sans compter les gigots de la demoiselle, bref, un avis donné par le petit trou de la lorgnette. D’ailleurs, je ne connais pas cette « Lorgnette » mais il faudrait lui dire que tout le monde semble lui filer le train et que ça commence à faire désordre.
Vous avez lu l'histoire
De Jesse James
Comment il vécu
Comment il est mort
Ça vous a plus hein
Vous en d'mandez encore
Et bien
Ecoutez l'histoire… *
… de Monsieur N. Bravery de Moussu-Le-Glouvieu (respectons l’anonymat de son prénom, je vous en prie).
Pour une plus grande efficacité du discours, je passerai brièvement (voire pas du tout en fait) sur sa vie & son œuvre car le plus croustillant est ailleurs.
Oui, mesdames et messieurs les jurés ! Attardons-nous cinq minutes sur cet homme au physique peu avenant et dont le nom particulièrement lourd à porter (comme ses arpions) n’engageait vraiment pas à mener une carrière d’artiste.
Il se voyait déjà en haut de l’affiche… mais l’Olympia lui a rétorqué tout de go qu’avec un tel patronyme, toute la recette passerait dans l’enseigne lumineuse Ô combien rouge et à ce titre carrément « famous » comme ils disent du côté de la perfide Albion.
Mais alors que lui reste-t-il à ce petit être fragile, fourbu, usé par la vie comme son froc le fut par les coups de pied au fondement qu’il reçu pour une éducation plus droite, en vue d’intégrer un jour le prestigieux Parti Communiste qui, contrairement à l’Olympia cité précédemment, n’a pas survécu à la son lifting ?
Oui, je le clame haut et fort, cet homme est dans sa chair car, comble de malchance et d’acharnement du sort contre lui, il souffre depuis sa prime enfance d’une forme de priapisme particulièrement handicapante.
Imaginez un peu le tableau ! Comment diantre, voulez-vous que ce type là trouve sa place dans la Société avec de tels boulets à trimbaler ? J’vous jure ma bonne dame, y’a plus d’saisons !
Pourtant, l’être diminué moralement, chétif d’en haut mais si turgescent d’en bas, a plus d’un tour dans son sac (à malice, à vin, à m…). Ainsi, ne sachant que faire de sa piètre existence et n’ayant pas le moyen de passer dans la lumière de la célébrité, c’est derrière son écran et dans la pénombre de son salon qu’il exercera ses talents : agent de visionnage. Spécialisé dans la vérification avant montage définitif et mise sur le marché des films à caractère pornographique et assimilés. Le voilà LE job parfait ! Au moins, il sait de quoi il cause et ne craint pas les effets secondaires puisqu’ils sont déjà très primaires chez lui.
Cela explique pourquoi il est équipé (écran et attributs) comme un professionnel (qu’il est) et doit se farcir des rushs fort inconvenants pour la bonne morale judéo-chrétienne dont nous sommes tous imprégnés (si, si, regardez, demain vous profiterez honteusement de l’Ascension sans forcément savoir ce qui se cache derrière). Au cœur de la nuit, cet homme consciencieux était donc en plein travail, ne ménageant ni sa peine, ni ses heures supplémentaires. Métier bien compliqué à exercer quand on est dérangé chaque soir par un (presque) jeune homme à roller enclin à se gausser sitôt caché (et pourtant si tard) derrière sa petite lucarne, mais ne ratant rien du spectacle depuis la rue (soit dit en passant).
Maintenant vous savez tout… ou presque car il reste un détail, encore bien caché dans les limbes des archives administratives insondables (Oh, un pléonasme !)… Monsieur N. BdMLG (oui en abrégé aussi c’est impressionnant) est en fait le demi-frère d’un certain Rocco S. dont nous avons retrouvé la trace un peu partout, largement imité mais jamais égalé (cf. la petite robe bleue de Monica).
Ainsi, sans le savoir, ce sont en fait – quasiment - des vidéos familiales que visionne cet honnête travailleur marseillais.
Amis lecteurs, la prochaine fois que vous vous transformerez en télé-spectateur voyeur (compter autour du 1er samedi du mois d’après mes sources chaudes), alors vous repenserez à tout cela en vous disant que le monde est bien petit et que le hasard fait bien les choses. Ainsi vous serez heureux du travail de l’homme de l’ombre en oublierez vos complexes pour profiterez pleinement du film sans arrières pensées (autres que celles pour lesquelles vous vous êtes vautré devant l’écran, l’œil mi-clos et le calbute sur les chevilles). Elle est pas belle la vie ?!
Sister « Garde à vous ! »
« Et puisque notre destin est de finir dans un trou, fasse le ciel qu'il ait du poil autour ! » Frédéric DARD
* merci à Serge Gainsbourg pour sa contribution à mes élucubrations.
Avant propos, mise au point, précision, préambule, bla bla.
Quelques pensées en vrac, des chroniques sur le vif, un soupçon d'actualité, le tout saupoudré de bonne humeur (autant que possible) pour espérer susciter l'intérêt ou la curiosité. Chose rarissime sur le Net : mon site est garanti 100% sans pub ! Mais oui, vous ne rêvez pas, c'est dingue n'est-ce pas ?
L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour ça que le présent nous échappe."
Gustave Flaubert
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"Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement, vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas." (dicton amérindien)
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