Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 mai 2006 5 12 /05 /mai /2006 14:57

Petite blague qui va bien parce qu'il fait beau (enfin) et donc c'est cadeau, ça m'fait plaisir.

Une femme demande à son mari :

- Dis-moi, si on jouait à "Qui veut gagner des millions de câlins" ?

- Bof, non, j'ai du boulot, pas le temps...

- Allez, soit gentil, tu peux bien faire un petit effort, t'as pas envie ?

- Je t'ai dis non et puis tu peux pas me foutre la paix 5 minutes !

- Tu es sûr, c'est ton dernier mot ?

- Oui j'en suis certain, c'est mon dernier mot !

- OK, alors j'appelle un ami... ;-)

N'y voyez aucune malice de ma part, c'est en "tout bien tout honneur évidemment".

Méfiez-vous d'ailleurs de cette petite phrase, elle est parfaitement perverse et dénote de façon indéniable qu'il y a baleine sous gravillon (euh, anguille sous roche, c'est bien aussi). Croyez-en mon expérience, l'honneur ne sera pas sauf, l'intention est déjà bien là, toute proche, prête à vous envahir à la moindre baisse de vigilance.

Ne vous fourvoyez pas mes amis et n'utilisez cette expression qu'avec les personnes pour lesquelles vous avez une attirance physique forte et à la limite du basculement ultime. N'oubliez jamais que cette expression est une déclaration franche et massive.

Par contre, n'insistez pas, je ne dirais pas à qui je la destine, je ne parlerai pas, même sous la torture, même avec la présence de mon avocat, même sous la tentation d'un ballotin de la Maison du Chocolat, même si vous me promettez un caillou de chez Van Cleef & Arpels (euh, là par contre, c'est négociable, n'hésitez pas au contraire).

Sister "mode humour on"

Partager cet article
Repost0
9 mai 2006 2 09 /05 /mai /2006 20:09

Non, je ne serai pas candidate pour succéder à Tony Blair.

N’en déplaise à un certain individu que je considère comme faisant partie de mes amis (oui oui, aussi étonnant que cela puisse vous paraître, j’ai des amis ! Enfin presque) et dont je ne dévoilerai ici ni la vie, ni l’œuvre, ni les pulsions étranges qui animent sa plume (non, ce n’est pas sale, ne voyez pas le vice partout sinon on va être deux et ça va vite tourner au vinaigre).

Donc, je disais (arrêtez de me perturber, je ne vais pas y arriver à ce rythme), ce monsieur (car c’en est un et pas des moindres, j’ai mes sources), soupçonne tout visiteur de son admirable site (non je ne donnerai pas l’adresse, débrouillez-vous un peu quand même, j’vais pas vous mâcher tout le boulot), d’être plus qualifié pour succéder à Tony Blair qu’à notre futur ex-Premier ministre. Ne me demandez pas pourquoi il met ces deux hommes politique dos à dos, je n’en ai fichtrement aucune idée. Pour en savoir plus, adressez-vous directement au taulier d’Inedire ou au journal qui transmettra.
 
Ainsi, nous, gentils visiteurs de son site, nous retrouvons nous dans cette délicate position de candidat sans le vouloir. Sans parler de cette fâcheuse tendance à nous mettre tous dans le même panier, ce qui me déplaît fortement car j’aime profiter d’un minimum d’espace vital dont le sacrifice n'est pas envisageable. L’abnégation a des limites, les miennes sont vite atteintes. C’est pourquoi je m’insurge contre cette conclusion unilatérale et trop hâtive de ma volonté prétendue à briguer ce poste dont je n’ai que faire. Commencez par à m'mettre de travers sinon j'vais ouvrir la saison des bourre-pifs. Soyons clairs, chacun sa m…
 
D’ailleurs, j’ai des arguments de poids pour vous convaincre de ne pas essayer d’aller dans son sens en voulant me pousser à commettre l’irréparable de cet engagement politique sur la terre de notre ennemi héréditaire, j’ai nommé : l’Anglais.
Petite parenthèse sur l’habitant de la perfide Albion, son flegme est un problème majeur parce que cette caractéristique étrange, génère souvent chez nous et du fait de nos racines latines, un agacement à la mesure de la nonchalance du gentleman (ce mot est particulièrement galvaudé, merci de l’utiliser avec grande modération).
 
Bref, voyons du pays et posons virtuellement nos yeux sur ce postillon de terre, petite crotte de nez du continent qui dégouline jusque chez nous par le biais d’un tunnel dont nous paierons encore pendant quelques générations le monstrueux gouffre financier qu’il a engendré.
 
Rendons leur grâce, voyons les avantages :
-         L’herbe y est verte. Ce qui est la moindre des choses tant la pluviométrie y est élevée. Rappelons qu’il y a là-bas deux saisons : la période des pluies et… le 15 août. A moins d’être une limace gluante (qui a dit Thatcher ? Bravo, vous marquez 10 points et pouvez piocher dans la caisse du RPR) ou un mouton amphibie parfaitement waterproof, je ne vois pas l’intérêt du lieu.
-         Je cherche l’autre avantage mais vraiment, mon cerveau a beau être prolifique, là il mouline dans le vide. Mettons une pancarte « work in progress » pour l’instant et on verra s’il y a un petit malin pour trouver la réponse à cette épineuse question avant la fin de mon texte.
 
Maintenant les inconvénients. ~ » #+^{{=/ZZZzzz -plop-
Ah ? On nous signale que le processeur devant lister ces éléments négatifs vient de rendre l’âme en un dernier soupir binaire (http error 404) que nous traduirons par « nombre d’arguments trop important, abandonner ! ».
Vous devrez donc vous débrouiller par vous même pour établir une nomenclature non exhaustive dont la méthode la plus simple consiste à compléter la phrase : je n’aime pas…
Les trois points pouvant ainsi devenir des arguments de poids caractérisant l’Anglais et son minuscule territoire à l’insularité incertaine.
 
Autre point qui n’est pas un détail, vous en conviendrez aisément, je ne parle que médiocrement leur langue et pourtant… bien mieux qu’eux ne le font avec la nôtre mais déjà, avec les notions et bases que je possède on pourrait estimer que j’ai l’Anglais dans le sang et donc le sang contaminé !!!
Déjà que je suis « vache folle ascendante métastase » (pour connaître mon thème astral du jour, taper 1. De la semaine, taper 2), imaginez les ravages que la maîtrise de ce vocabulaire improbable a pu produire sur ma masse cérébrale !
Oh my God, that’s amazing to see a blond’s brain so damaged!
Traduction : R’garde z’y donc comment qu’elle a un pauv’ cerveau de poule !
Imaginez ce qu’une présence à plein temps au milieu de ces individus étranges abusants de ces « inversées phrases tournures » pourrait continuer de faire comme dégâts… Non, je ne céderai pas ma boîte crânienne à Bob l’éponge, il peut se gratter (côté vert).
 
Une dernière chose qui est l’argument ultime pour que je reste furieusement accrochée à la France comme la moule à son bouchot (ni voyez encore aucune malice, nous ne sommes que mardi, attendez donc vendredi pour commencer à parler de morue). Cette ancrage profond, ce lien puissant qui m’immobilise solidement à mon pays c’est : sa gastronomie !
 
Jamais je ne pourrais vivre loin d’un calendos bien fait, d’une pêche mûre à point, du parfum des croissants chauds, d’un confit de canard aux cèpes, d’un Sancerre frais, d’une part d’Opéra. Et je ne parle même pas des «demoiselles du Guilvinec » ou de la tarte bigoudène de M. Le Cleac’h !
 
En conclusion, je ne prendrais la place d’aucun Anglais en son pays ou ailleurs.
 
Sister « Au fait, c’est qui ce Tony Blair ? »
Partager cet article
Repost0

A méditer... ou pas

"L’amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font.
À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire"

Pierre DESPROGES

Vous Cherchez ?

Amuse-bouche

Quelques pensées en vrac, des chroniques sur le vif, un soupçon d'actualité, le tout saupoudré de bonne humeur (autant que possible) pour espérer susciter l'intérêt ou la curiosité. Chose rarissime sur le Net : mon site est garanti 100% sans pub ! Mais oui, vous ne rêvez pas, c'est dingue n'est-ce pas ?

En Conserve

Libre pensée

L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour ça que le présent nous échappe."

Gustave Flaubert

 

 

Locations of visitors to this page  

 

 

Ne soyez pas timide(s) comme ça, balancez une connerie, un bon mot, exprimez-vous, cet espace est le vôtre. Profitez-en, y'a même pas besoin d'une carte de membre (actif ou endormi).


"Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement, vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas." (dicton amérindien)

Le site ci-dessous étant d'une qualité rare, parfaitement documenté de connaissances très pointues, vous ne trouverez jamais mieux et c'est avec une grande fierté que j'en fais la promotion. De tels talents méritent un coup de pouce et un soutien solide. 

Cliquez ici

Primeurs