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20 avril 2012 5 20 /04 /avril /2012 23:40

Pour info, n'hésitez pas à cliquer sur "chronique" en fin d'article, pour avoir la version audio.

 

Ce n’est pas la première fois que je me sers de mon site pour pousser un coup de gueule, mais celui-ci sera probablement le plus virulent. Ici, au moins, contrairement aux forums ou autres tribunes prétendues libres, je ne risque pas la censure.

Je veux surtout que mon expérience serve aux centaines de milliers de personnes qui changent d’opérateur et leur éviter la galère que j’ai traversée. Même si je suis bien consciente que tous ne liront pas cet article (ça ferait exploser mes stats ’ !).

 

SFRFail

En janvier, apprenant enfin l’arrivée sur le marché de l’opérateur Free, j’étais parmi les premières à souscrire à leur offre. Étant déjà cliente depuis plus de 10 ans via la Freebox et n’ayant pas eu de soucis, je suis en confiance. 15 jours plus tard, j’avais comme prévu ma carte SIM. Je l’insère dans mon iPhone et là, rien. Réseau indisponible. Bizarre, j’avais demandé la portabilité et elle était effective de suite en principe. Je contacte alors Free Mobile, ils m’indiquent que de leur côté tout fonctionne. Il me faut investiguer davantage.

 

Mon engagement de 24 mois chez SFR ayant pris fin en août, j’étais persuadée d’être libre de changer sans soucis… erreur ! En fait, mon téléphone appartient encore à SFR et je dois leur demander l’autorisation de me rendre le bien pourtant si chèrement acquis (plus de 2500€ dépensés chez eux) en les priant de désimlocker mon appareil. Ce que je fais immédiatement via leur site. Mais rien ne se passe, toujours pas de réseau.

 

Dès le lendemain, je me rends à la boutique SFR de La Défense, qui est sensée être plus « pro ». Bien  sûr, j’ai pensé à venir avec toute la paperasserie nécessaire, je connais la technique et veux gagner du temps. Là il y a une bonne vingtaine de clients qui demandent à résilier leur contrat, ce qui ne m’étonne guère.

Ayant dû faire un échange standard d’iPhone un an avant auprès de l’Apple Store, car il y avait un vice caché, le vendeur m’explique que je dois envoyer le justificatif du nouveau code IMEI au service clients situé à Metz. Je lui demande s’il ne peut pas le transmettre par fax, mais il refuse alors qu’il aurait dû le faire, c’est ce que j’apprendrais plus tard.

Le lendemain - le 3 février - j’envoie donc mon courrier avec une petite lettre d’explication et tous les documents. Au bout d’une semaine sans réponse, je contacte le service client SFR au 1023 et on m’explique que ça peut prendre jusqu’à 4 semaines ! Horreur !

Quelques jours plus tard, je rappelle, on m’indique qu’ils ont bien reçu mon courrier le 10, que j’aurai une réponse sous 5 jours ouvrés. Mais rien.

À partir de ce moment, j’ai appelé quasiment tous les jours et à chaque fois, j’obtenais un nouveau mensonge. Par exemple, le service client a prétendu n’avoir reçu mon courrier que le 16 février et il aurait été transmis à l’unité de désimlockage le 22. Pour une entreprise de communication, mettre 8 jours à transmettre un papier d’un service à l’autre, c’est lamentable. À chaque fois on m’assure qu’on me rappellera. Que dalle, oui !

 

Entre-temps, j’ai envoyé une lettre de mise en demeure, en recommander bien sûr, avec de nouveau tous les justificatifs et aussi la copie du premier courrier recommandé, reçu à Metz le 23 février. Et après ? Rien, toujours rien !

J’ai aussi demandé à parler au responsable du service client qui est monté sur ses grands chevaux et m’a juré sur son honneur qu’il ferait le nécessaire au plus vite. Foutaises !

 

A bout de nerfs, j’ai envoyé une autre lettre recommandée, cette fois au directeur du service clientèle à La Défense. Je n’ai jamais reçu la moindre réponse. Pas plus qu’à mes mails. Du coup, je ne me suis pas privée d’en informer l’ARCEP, Que Choisir, 60 Millions de Consommateurs et la DGCCRF.

 

Cerises sur le gâteau, car il y en a plusieurs :

J’ai reçu plusieurs e-mails m’indiquant que l’opération ne pouvait aboutir, faute d’avoir envoyé le justificatif du code IMEI ! Ils se paient donc ma tronche sans arrêt, c’est la fête du slip !

On m’a même indiqué au téléphone qu’on m’avait envoyé la procédure de désimlockage par courrier parce qu’on n’avait pas mon adresse e-mail. On croit rêver devant tant de mauvaise foi ! Du véritable foutage de gueule dans les grandes largeurs.

 

Après un mois sans téléphone, étant injoignable, sans répondeur, sans SMS, j’ai décidé de lancer mon assistance juridique sur le coup. Ils ont donc envoyé un courrier de leur côté, resté lettre morte comme les miens. Puis une mise en demeure avec cette fois la menace de porter l’affaire en justice.

 

Finalement, c’est seulement hier, après exactement 11 semaines de procédure, que mon assistance juridique AXA a été contactée par SFR pour leur indiquer la procédure à suivre pour le désimlockage.

Je n’en reviens pas. Ces pourris de chez SFR n’ont même pas eu les couilles de me joindre directement, malgré les dizaines de coups de fil, les 3 lettres recommandées et autres courriers et e-mails envoyés par mes soins. Quasiment 3 mois sans portable et pas une excuse, pas une explication, rien, ils me balancent ça en loucedé, comme des minables qu’ils sont.

 

Cette attitude de la part de SFR est totalement irresponsable, car c’est une incitation à procéder à un désimlockage « sauvage » dans une officine peu respectable ou sur le Net et même à être tentée de jailbreaker mon téléphone, donc de me pousser à commettre un délit en plus de perdre la garantie constructeur.

 

Je suis révoltée par ces pratiques frauduleuses d’abus de droit et de refus de débloquer mon téléphone immédiatement. SFR a fait le forcing de façon illégale, cette attitude est assimilable à un vol puisque j’ai perdu la jouissance de mon appareil pendant des mois. Quand je vois des pleines pages de pub dans les journaux vantant leur « relation clientèle »,  je suis écoeurée et j’ai envie de crier à la publicité mensongère.

 

Pendant ces nombreuses semaines d’abstinence téléphonique, je me suis rendue plusieurs fois à l’Apple Store du Carrousel du Louvre pour obtenir leur aide et je dois vous dire que les techniciens sont très compétents et hyper sympas. Ils m’ont assuré qu’il n’y avait qu’avec SFR qu’ils rencontraient autant de blocages, de retards et de problèmes. Il faut savoir qu’Apple ne peut rien faire tant que l’opérateur n’a pas donné le feu vert pour le désimlockage des iPhones. Du coup, on est pieds et poings liés, totalement soumis au bon vouloir de SFR qui fait sa mauvaise tête pour punir les clients qui en ont marre de se faire plumer et refusent de raquer pour un service déplorable. Car, juste pour finir, on a beaucoup critiqué Free, victime de son succès, mais je vous assure qu’avec SFR, la 3G était très aléatoire et souvent déficiente. Un forfait hors de prix et un service au rabais. Bref, en passant chez Free, je vais économiser plus de 920 € par an, avec une qualité de réseau largement aussi efficace, alors pour moi, SFR, c’est jamais, plus jamais !

 

Donc j’en appelle au boycott, parce que tant d’incompétence, de mauvaise foi et de mépris du client, ça ne doit pas rester impuni. Faire tourner les gens en bourrique, c’est déjà une honte, mais les priver de leur bien aussi longtemps, c’est un scandale !

 

Larguez massivement SFR, ils ne méritent que ça.

 


 

Sister « j’ai Free, j’ai tout compris »

 

  Chronique 20042012 Chronique 20042012

 

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 23:52

Il y a un grand classique dans mon petit cerveau qui turbine, c’est la faculté que j’ai à me poser mille et une questions, tout le temps, sur tout, même pour un rien.

On peut dire que ça représente une forme de curiosité mais c’est aussi très frustrant quand je ne trouve pas de réponse.

 

Parmi ces interrogations qui me taraudent, il y en a une qui me chatouille chaque jour, c’est de comprendre pourquoi les claviers de téléphone et de télécommande ont les chiffres avec la numérotation qui commencent en haut à gauche, alors que sur les pavés numériques des ordinateurs, c’est inversé.

 

P1090806

 

Ca n’a l’air de rien, mais il n’y a aucune logique dans ce truc. Autant le système QWERTY ou AZERTY peut se comprendre, mais pour du numérique ?!?

Si vous avez la réponse, n’hésitez pas à me renseigner, car le doute m’habite.


 

Sister « je ne suis pas un numérooooo »

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 23:22

Oui ! Chouette c’est le printemps.

Non ! Saleté de changement d’heure.

Oui ! En mars, ça repart.

Non ! Mon blog n’est pas mort.

Oui ! Vive ce beau temps qui donne la pêche.

Non ! Y’a aucune panne d’inspiration.

Oui ! Je déclare officiellement mon site sorti de son hibernation.

 

 P1030871


Sister « #etcestpartipourleshow »

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 23:45

Bonne année 2012

 

Cette fois, je vous épargnerai les bonnes résolutions, les fadaises sur le bilan que l’on tire de l’année écoulée et pire encore, les traditionnelles hausses des prix et des taxes, sinon vous allez tout vomir votre foie gras et les chocolats. Beurk !

 

Non, pour 2012, je vais vous la faire en images, avec les ingrédients de ce que j’aimerais voir se pointer dans ma petite vie. Ah bah oui, là, je la joue perso. Ca fait du bien, pour une fois.

 

Déjà, solidifier la relation avec Mister Love ou trouver celui qui sera quasi 100% compatible. => Bon, à titre d’exemple, j’ai mis la photo de Bradley Cooper qui, en plus d’être un super beau gosse, est bon acteur, semble super sympa, parle un chouia français et m’a l’air vraiment cool. Miam !

 

Capture Bradley Cooper 2

Puis, passer en CDI parce que ce job me plait et je suis respectée par mon équipe. Parce que y’en a marre de la précarité. => Pour ceux qui ne me connaissent pas « de visu », non, cette plastique de rêve n’est pas la mienne. Dommage.

 

Mes-images-2012 1330

Pour le fun, toujours espérer que la fortune soit au bout du chemin, parce que ça ne peut pas faire de mal. => La sublime pièce ci-dessous se chiffre probablement en centaines de milliers d’euros, sinon en millions, mais je ne vais pas me contenter de rêver « petits bras » sinon à quoi bon !

 

Capturer Van Cleef & Arpels

 

La santé, on n’y fait gaffe que quand elle nous fait défaut, parce que lorsqu’on est en pleine forme, c’est comme une voiture qui roule, on trouve ça normal. Mais si elle nous manque, tout le reste devient vachement plus compliqué. => Ici, vous pouvez apercevoir une piqûre ou morsure d’un insecte non déterminé, mais qui m’a paralysé le muscle et fait un mal de chien pendant des semaines.

 

P1090715

De la zik, plein ! Et de la bonne ! Que ça nous régale furieusement les cages à miel, parce que ça me maintient en vie aussi. => Dave & Martin, au boulot ! Rammstein, en mars, j’y serai ! Et Editors, du neuf et pour quand ?

 

Dave PTA

Des voyages, parce que même si j’adore Paname, m’en évader un peu me ferait sûrement du bien. => Vous savez probablement d’où a été prise cette photo et j’en suis assez fière, le ciel était juste parfait, on voit super loin. C’est trop bioutifoul-sa-race.

 

P1090594


Pour les recommandations d’usage, ne pas oublier de manger 5 fruits et légumes par jour. => Non, le vin, ça ne compte pas et les frites non plus.

 

champi

Et puis avoir encore des blogs créatifs à lire, des milliards de pages web à explorer, des rencontres à faire, des choses à découvrir, des connaissances à acquérir, du bon temps à prendre, de la légèreté dans le quotidien, du temps à s’accorder. Bref, vivre.

 

P1090410

Petite phrase à méditer pour le début d’année. => spéciale dédicace à AD qui ne hante plus mes pages depuis des lustres et c’est bien normal.

"Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. À te regarder, ils s'habitueront."  - René Char

 

Capture montre

 


Sister « nothing changes on New Year’s Day »

 

Chronique 01012012 Chronique 01012012

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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 01:14

Dans quelques heures, nous aurons basculé dans l’année 2012 alors pour finir sur une note de bonne humeur, voici quelques perles glanées autour de moi, bref c’est un peu mon bêtisier perso, puisque c’est la saison pour ce genre de marronnier.

 

Quelques phrases bizarroïdes (et pas piquées des vers) entendues de mes collègues :

-         on a essayé de penser à tout, mais y’a encore des trous dans la raquette => il m’a fallu un peu de temps pour piger la parabole et je me demande pourquoi certains s’amusent à inventer des expressions pareilles

-      il faut faire gaffe avec ça, le sujet est « touchy » ! (prononcer teutchi, bien sûr) => ça fait toujours très tendance et pointu de parsemer son discours de termes anglo-saxons alors que « sensible » aurait tout aussi bien fait l’affaire

-         tu as pensé à vérifier la mutation de ton pioupiou ? => alors là, j’ai ramé sec pour piger qu’en fait, à la RH, il semblerait que ce soit l’appellation (d’origine non contrôlée) pour « salarié »

-         Patrick, regarde sur le planning, elle est prise la salle de réunion ? Non, c’est bon Marie, j’te mets dans la salle à 17h => affaire DSK oblige, je n’ai pu m’empêcher d’y voir un truc graveleux, mais vous auriez fait de même, non ?

 

Dans le hall :

-         Tu as vu l’hôtesse d’accueil, on pourrait lui mettre deux doigts derrière !

-         Euh… quoi ?

-         Bah oui, elle nage tellement dans ses talons aiguilles qu’on n’a la place de glisser deux doigts entre son pied et la chaussure

-         Aaah ok.

 

Au resto-self, les collègues masculins :

-         Nan mais regarde celle-là, en short alors qu’il fait à peine 10 degrés dehors et qu’il pleut

-         Oui, c’est pas jojo comme tableau

-         Elle est gaulée comme un percheron

-         Et puis de dos, avec son imper, on dirait qu’elle est à poil en dessous.

 

Dans l’open space, une collègue (entre deux âges) contente d’avoir ajusté ses comptes :

-         Ouais, là j’suis vraiment bonne !

Réponse du chef entre ses dents :

-         Bah faut l’dire vite ou être très myope.

 

Et le must, du 100% véridique, car la réalité dépasse souvent la fiction. Une collaboratrice au téléphone avec un collègue :

-    Oui, je vais te prendre ce matin parce que j’ai un petit trou => comprendre qu’elle a une disponibilité dans son agenda et qu’elle va pouvoir y caler une réunion.

 

Allez, on se retrouve l’année prochaine.

Festoyer, riez, vivez haut et fort, on ne sait jamais de quoi demain sera fait. Carpe diem.

 

 


Sister « 2011 est morte, vive 2011 ».

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1 novembre 2011 2 01 /11 /novembre /2011 23:36

Vous avez sûrement déjà lu ou entendu cette phrase, mais l’avez-vous également ressentie ?

Avez-vous déjà eu le besoin impérieux de franchir le pas et d’oser affronter une situation qui vous faisait peur ?

Vous êtes-vous parfois retrouvé submergé par le besoin de faire une chose dingue mais qui vous trottait en tête depuis des lustres ?

Oseriez-vous ouvrir vraiment votre cœur à quelqu’un pour qui vous avez en secret des sentiments très forts ?

Et si vous changiez de vie pour vivre votre passion ?

Rêvez-vous de vous accorder une partie d’année sabbatique pour couper radicalement avec votre quotidien ?

Pas si simple…

 

Mais si vous deviez mourir demain ? Vous n’auriez rien fait de tout cela et vous vous en voudriez tellement de ne pas avoir osé vivre vos rêves - au moins un peu – et vous auriez la furieuse impression d’être un peu passé  à côté de votre vie, d’avoir loupé des trucs, de ne pas vous être accordé ces petits plaisirs qui rendent si vivant…

Oui, c’est quand on se retrouve confronté avec ce genre de grand bouleversement qu’on en vient à se poser les bonnes questions.

 

Est-on sur terre pour tenter de trouver le bonheur ? Est-ce qu’on s’en donne réellement les moyens ?

 

Est-ce que ça rime à quelque chose de trimer du matin jusqu’au soir, de vivre à un rythme délirant juste pour attendre les week-ends ou les vacances sans jamais s’accorder de petit break dépaysant pour bouleverser un peu le planning millimétré ?

 

Non, si on y regarde de plus près, on se rend compte de la futilité de notre quotidien.

Acquérir toujours plus de biens ? C’est débile, plus on en a, plus on en veut, parce que plus on s’en lasse vite.

Vouloir rencontrer des tas de gens, mais n’avoir jamais passer assez de temps pour s’y intéresser vraiment ?

Ça ne rime à rien.

 

Notre génération va trop vite et en laisse certains sur le bord du chemin. En fait, je crois que nous sommes tous un peu paumés par ces enchaînements effrénés. 

 

Souvent, nous sommes pétrifiés par nos peurs.

Peur de souffrir en s’attachant à quelqu’un qui pourrait nous quitter.

Peur de manquer et s’entourer de trop d’objets.

Peur de ne plus faire partie de la société de consommation alors dépenser pour exister.

Peur de se poser la bonne question : « Qu’est-ce que je veux vraiment ? » et surtout « Est-ce que je me donne les moyens d’y arriver ? ».

 

J’ai l’impression qu’on passe trop souvent à côté de tas de choses parce qu’on est pris dans l’engrenage de notre vie de taré.

On n’y échappe pas, ça commence avec études-formation-diplôme, puis métro-boulot-dodo, on passe à couple-logement-gamins et finalement retraite-maladie-fin.

 

Sauf que la vie, ce n’est pas toujours ça et quand le mécanisme s’enraille, on se dit qu’on a pas eu le temps de franchir toutes les étapes, que ce n’est pas juste, que c’est trop tôt, qu’on ne pensait pas que… bah oui, on ne pense pas à ces sujets là, parce que ça nous remue les tripes, parce que ça fout en l’air nos beaux principes de vie rangée et pépère.

Il y a bien sûr les accidents de parcours, les bricoles qui vous font bifurquer par des étapes qu’on n’aime pas du style : divorce, chômage, handicap, etc.

Mais au-delà de ça, s’il vous arrive un très gros coup dur et que vous devenez un « miraculé », là, étonnamment, toute votre vision de l’existence change, plus rien n’a vraiment le même goût, certains événements n’ont plus la même importance. Des bricoles qui vous auraient pourri la vie, vous deviennent insignifiantes. Votre regard a changé. On relativise et ça change la vie, en mieux, toujours.

 

Oui, le malheur n’arrive pas qu’aux autres, mais il faut avouer que lorsque ça ne vous tombe pas dessus, on ne peut s’empêcher de réprimer un « ouf » de soulagement en se disant « qu’on n’est pas passé loin ! ». Puis on oublie. C’est la vie, comme diront certains. C’est aussi l’application froide, mais tellement vraie de la « théorie du mort-kilomètre » (un mort à un kilomètre de chez moi me touche plus que 100 morts à 1000 kilomètres).

On sait tous que la Grande Faucheuse est là, qui rôde, jamais bien loin, jamais prévisible, alors on est content de passer entre les gouttes.

 

Vous allez penser que j’écris cet article un 1er novembre, parce que c’est la Toussaint et que je suis « dans le ton », pourtant ce n’est même pas le cas, je l’ai écrit mi-septembre, quand j’ai appris le décès soudain du voisin de mes parents, que je connaissais depuis toujours et ses parents avant lui. Un homme simple, une excellente hygiène de vie, adorable, cultivé et pilier d’une famille unie. Il est mort comme ça, d’un arrêt cardiaque, par un bel après-midi d’été, chez lui en bricolant. Il avait 55 ans et venait de prendre sa retraite… 2 mois plus tôt. Deux mois seulement. Ça m’a secoué. Surtout de voir ses proches anéantis.

 

Quelques jours plus tard, je bidouillais sur Facebook, et en repensant à une copine qui a retrouvé une ancienne camarade de classe par ce biais, je me souviens d’une fille dont j’avais été très proche pendant plus de 4 ans, à la sortie de l’adolescence. Je tape son nom, mais aucun profil ne lui correspond alors je fais de même sur Google et là, je tombe sur un article du Télégramme où ses parents annonçaient en juin, son décès ainsi que celui de sa fille de 5 ans. Elle avait mon âge et la vie devant elle…

 

Ca m’a filé un furieux coup au moral, d’où mon silence radio depuis 2 mois. Quand on se retrouve face à l’évidence qu’on est mortel et bien plus vulnérable qu’on ne le pense, ça vous remet les idées en place et ça vous fait vous poser des tas de questions sur la futilité des problèmes qui vous bouffent la vie et surtout, ça vous recadre vers un objectif : CARPE DIEM.


 

Sister « sur un fil »


 

P.S. : ce soir, je revenais en voiture, un jeune dans une petite citadine me double, mais il roule trop vite (environ 110 au lieu de 70), il négocie mal le tournant de l’autoroute qui est grasse à cause de la légère pluie… juste devant moi, il part en tête-à-queue et percute la rambarde de béton à deux reprises. Il était vivant quand je suis repartie, mais bien amoché, très secoué et sa voiture bonne pour la casse. Si j’avais roulé comme lui, nous nous serions percutés et au mieux nous serions à l’hôpital… au pire… morts pour une bêtise et une erreur de jugement. Quand on se croit invulnérables alors que nous sommes de fragiles mortels.

Alors, profitons du jour présent…

 

N.B. : Pas de version audio de cet article, parce que ça me prenait trop les tripes pour que ça reste audible.

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28 août 2011 7 28 /08 /août /2011 23:50

Chères amies lectrices, chers amis lecteurs (pas Hannibal, l’autre), je dois vous l’avouer, au risque de faire tomber un mythe, une légende, une icône. Oui, je le confesse (en un seul mot), je n’ai pas un pur physique de déesse grecque, je ne suis ni la doublure lumière de Laetitia Casta, ni le clone de Cécile de France. Sans avoir non plus le calibre de Laurence Boccolini, il faut se rendre à l’évidence, depuis quelques années, en plus d’une bougie supplémentaire sur le gâteau d’anniversaire, j’ai la désagréable obligation de constater 2 kg de plus au compteur. Pourquoi ce rythme régulier et indéfectible ? Aucune idée. Est-ce que je me goinfre un peu plus chaque jour ? Non plus. Ai-je troqué les tartines du matin contre des croissants fourrés au Nutella, point du tout. Alors d’où viennent-ils et pourquoi restent-ils là, sur moi, à squatter alors qu’ils n’ont jamais été conviés à s’incruster, pas même à faire de séjour court terme ? Je n’en sais rien non plus.

 

Capture Laetitia Casta

Évidemment, comme toutes les filles, j’ai tenté des régimes divers et variés. Au prix de repas calibrés au gramme près, d’orgie de brocolis vapeur ou de poisson blanc. Tout cuit à l’eau, sans rien d’autre que quelques herbes et épices pour parfumer. Alors j’ai perdu du poids. Immédiatement repris dès qu’une alimentation plus « normale » réintégrait mon estomac.

Vous connaissez l’effet yo-yo ? C’est tout bête, ça veut dire que lorsque vous perdez 5 kg, vous en reprenez 7, au moins. Cela fonctionne pour chaque régime tenté. Je vous laisse donc imaginer les dégâts que peuvent provoquer chaque printemps les lubies des magazines féminins.

 

Autre effet pervers, les mécanismes de défense de l’organisme. Je ne sais pas si cela fait pareil sur tout le monde, mais lorsque j’ai eu le malheur « d’affamer » mon estomac, mon système de régulation a donné des consignes strictes, genre état major qui régule le truc.

Le cerveau : « Bon les gars, y’a un problème, on nous a coupé les vivres, va falloir se mettre sur la réserve »

Le pancréas : « Mais chef, qu’est-ce qu’on va faire, on est en pénurie de gras, on nous a remplacé la tartiflette par des légumes bouillis, on va dépérir ! »

Le foie : « Même les boissons, c’est la misère, on est passé à l’eau plate. Adieu jus de fruit, cocktails et apéros, je sens que vais faire un coma éthylique aqueux, ça fait flipper ».

Le cerveau : « Y’à pas à chier, on nous a mis en état de famine avancée, ça fait des jours qu’on nous balance de la bouffe qui n’apporte quasiment aucune énergie, alors branle-bas de combat, je vous propose une mesure de sauvegarde ».

Le cœur : « Nan, mais moi je n’ai pas à me plaindre, ça me convient ce genre de traitement de choc, j’ai la pêche ».

La rate : « Déconne pas, faut être solidaire, nous on morfle en dessous, on ne comprend pas ce qui nous arrive ».

Le cerveau : « Les mecs, on va appliquer un plan drastique : on stock tout. Dès qu’un aliment passe à proximité, vous me transformez ça en graisse pour qu’on puisse faire face à cette disette. On ne sait pas combien de temps va durer cette pénurie alors faut être réactif. On garde tout ce qu’on peut ».

Résultat de cette politique de crise, quasiment aucun kilo de perdu, tout reste en place et il faudrait que je fasse 2h de sport par jour pour arriver à puiser dans ces cellules graisseuses surgonflées.

En prime, il me semble que pour ces dernières, l’organisme est capable de les charger ou de puiser dedans, mais il ne sait pas s’en débarrasser, donc chaque cellule adipeuse créée restera en place, même vide. Super, après faut passer à l’aspi-cellu pour libérer de la place, ça fait plaisir. Et franchement, finir avec des cuisses en tôle ondulées parce que la liposuccion a raté, très peu pour moi.

 

Histoire de faire une expérience personnelle, sans autre but que d’être mon propre cobaye, j’ai tenté un pari tout simple : en août, je supprime tous les sucres (sauf les sucres lents, sinon je vais tomber raide). Adieux confiture, gâteau, thé à la menthe traditionnel, desserts en tout genre, yahourt aromatisé, jus de fruit et autres gourmandises.

Plus rien, nada, que dalle, peau d’zob. Seule tolérance, les fruits frais. Moi qui suis très adepte du goût sucré, bien qu’en consommant pas tant que ça, c’est un sacré challenge !

Autant vous dire qu’au self ou au resto, ça simplifie le choix, un plat (éventuellement une entrée) et c’est tout.

 

Honnêtement, cela fait 4 semaines que je tiens le coup et n’en souffre pas trop, mais il y a des pièges qu’il faut savoir déjouer. Genre la collègue qui amène des chouquettes le matin (ou celle qui a rapporté des caramels au beurre salé de ses vacances), les mojitos et planteur en apéro, les invitations chez des amis, les glaces, etc.

Logiquement, il est évident qu’en supprimant cet apport calorique (1 g. de sucre = 4 calories) et à condition de ne pas reprendre 2 fois du cassoulet, je devais mécaniquement perdre du poids… bah oui, mais non !!! Vous n’allez peut-être pas me croire, mais l’effet depuis quasiment 1 mois est nul ! Bon, la première semaine, quelques centaines de grammes se sont fait la malle, mais j’en viens à me demander si c’est réellement imputable à ce changement alimentaire. Depuis, ça n’a pas bougé d’un iota ! C’est désespérant.

Je vais poursuivre jusqu’au bout, histoire de mener l’expérience à terme et parce que j’aime bien être fidèle à ma parole, mais se priver de dessert (parce qu’une pauvre pomme ou deux abricots, ça n’est pas aussi fun qu’une tartelette au chocolat) pendant si longtemps pour un résultat tangent à zéro, ça ne récompense pas l’effort d’abnégation fourni et ça dégoûte franchement.

 

Maintenant, le prochain qui me suggère de faire attention à mon poids, me conseille de  surveiller mon alimentation ou qui sous-entend que vu ma corpulence, ça doit être l’anarchie alimentaire chez moi, soit je lui casse la gueule (sans autre forme de procès), soit je l’oblige à manger la même chose que moi pendant 1 mois et on verra s’il ne jette pas l’éponge avant l’échéance.

 

Prochain test (pour octobre) : reprise d’une activité sportive de façon très régulière et assez soutenue. Histoire de voir si ça a plus d’impact que la privation totale de sucre.

 

 

 

Sister « mode diabetic on »

 

Chronique 28082011 Chronique 28082011

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 00:46

Ça ne vous a pas échappé, il fait un froid de gueux pour un mois d’août. 10 degrés le matin, 17 l’après-midi, y’a pas à dire, c’est la misère, on se pèle.

 

Du coup, comme la climatisation des bureaux est prévue en fonction des saisons « théoriques » on est en mode réfrigération, ce qui fait qu’on a largement remis les gilets et les pantalons pour ne pas se cailler les miches.

 

Pourtant, y’aurait moyen de se réchauffer un peu… Non, pas en tentant un rapprochement humain avec la gent masculine, pourtant très présente sur le site, mais avec quelques aménagements mineurs.

 

Nous avons la chance d’être équipés dans les couloirs, de sortes de « fontaines » un peu high-tech qui permettent d’avoir de l’eau chaude, froide ou gazeuse. C’est très pratique pour se faire un café instantané, un thé ou une soupe en sachet (la soupe à l’oignon de Maïté est déconseillée, jugée arme de destruction massive et déclarée persona non grata dans les open space).

 

Mes-images-2011 1444

Toutefois, j’ai dans l’idée que si on pouvait pirater l’engin pour y rajouter un petit tuyau discret qui permettrait l’accès à un cubi de rhum, y’aurait moyen de se confectionner des grogs pour tenir le choc face à cette vague de froid estival non homologué (enrichie en pluie dedans). Et quitte à booster la bête, il suffirait de faire comme la clim’, la rendre « réversible », ainsi, si les températures daignent remonter un brin, on pourra la transformer en distributeur de mojitos et là, je dis banco !

 

Bon, en attendant, y’a pas moyen de moyenner et je suis contrainte à boire du thé chaud pour me maintenir à 37,2 le matin et plus si affinité. Mine de rien, c’est assez efficace, car c’est associé à une pratique sportive parce que les couloirs sont très longs, donc on marche pour aller jusqu’à la fontaine, puis jusqu’aux toilettes, puis retour pour de l’eau chaude, puis envie de pipi… Bref, le mouvement perpétuel à la portée de l’Homme.

 

N’empêche que cela reste un rêve tant qu’on n’a pas trouvé la méthode pour y dissimuler un équipement magique qui améliorerait le quotidien et la pauvre machine me renvoie à mes délires avec un petit air de me dire : « compte dessus… et boit de l’eau ».


 

Sister « qui pétille d’idées »


 

Chronique 10082011 Chronique 10082011

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7 août 2011 7 07 /08 /août /2011 01:08

Non, vous ne rêvez pas, c’est aussi vrai que cet été est pourri.

Non, je ne suis pas en train de me prendre pour une espionne internationalement recherchée et classée « ennemie publique N°2 ».

 

Bon, vous êtes sur les dents à vous demander comment j’ai réchappé à la mort ?

Vous tremblez déjà à l’idée d’apprendre comment je me suis sortie de ce piège mortel ?

Là, votre palpitant est carrément au taquet en imaginant ce qui a pu se passer, pourquoi moi ? Par quel mode opératoire ? Est-ce que mes matous s’en sont sortis indemnes ? Ma légendaire recette du riz au lait restera-t-elle à jamais mon secret ?

Vous le saurez au prochain épisode…

 

Mais non, bien sûr que je ne vais pas vous laissez comme ça, en vrac, dévorés par un suspens haletant et tendus comme des strings, prêts à craquer.

 

Voici donc votre nouveau feuilleton de l’été : « Sister contre le gaz toxique ».

 

J’me baladais, sur l’avenue, le cœur ouvert, à l’inconnue… Euh non, ça c’est pour l’intermède musical… reprenons.

 

Chaque matin après la douche, je me sèche les cheveux avec l’appareil dédié à cet usage, puis, pour maintenir un semblant de tenue capillaire, je mets un soupçon de laque. Depuis des années, cette opération anodine n’avait jamais posé problème. Elle est même d’une banalité affligeante pour des milliers de femmes (et d’hommes).

Pourtant, l’autre jour, je constate que j’arrive en fin de stock, le contenant est vide, il faut que j’en rachète.

 

N’étant pas du tout une adepte du marketing à tout crin, je me fiche pas mal de savoir laquelle est la plus efficace, la plus tendance, la plus girly, etc. Pour faire simple, j’avais acheté la même que ma mère, c’est dire !

En revanche, pour mes cosmétiques et produits d’hygiène, je les choisis par correspondance et uniquement du bio.

N’ayant pas envie de passer une commande juste pour ça, je profite d’un passage en hypermarché pour en racheter une, mais, oh surprise, il en existe pléthore ! Quel intérêt qu’elle soit pour cheveux fins, frisés, colorés, cassants ? Ça fait le même usage. L’une qui fait briller, l’autre qui assure un maintien fort ou normal, une troisième enrichie en kératine et des dizaines d’autres aux promesses alléchantes autant qu’inutiles.

M’en fous pas mal. Je pensais donc reprendre la copie de celle qui a rendu l’âme, mais me voilà devant un choix à faire. Dans la catégorie Elnett de L’Oréal, il en existe au moins 3 différentes et je n’ai aucune idée de celle que j’avais prise la dernière fois. Seule différence, un petit médaillon de couleur qui dit « fixation forte », « fixation normale » et « cheveux secs ». Pff… me voilà bien, ça n’a aucune importance alors je prends la « forte » histoire de me dire comme ça j’en mettrais encore moins pour le même résultat. Bien mal m’en a pris !

Le lendemain matin, rituel classique et arrive l’instant où je sors ma bombe de laque pour sa tâche habituelle et là, en quelques secondes, je me mets à étouffer, le souffle court et haletant comme si je faisais une crise d’asthme ! Sachant que je n’ai jamais eu de problème pulmonaire ou autre, je peux vous dire que c’est flippant ! Obligée d’aller me mettre à la fenêtre pour essayer de respirer calmement. Ce sentiment d’étouffement et de suffocation est très perturbant et d’autant plus quand on ne s’y attend pas le moins du monde, tranquille devant sa glace.

 

Il m’aura fallu plusieurs minutes pour ne plus avoir l’impression de manquer d’air comme si j’étais sur l’Annapurna et je ne pensais pas qu’un aérosol de si grande consommation puisse provoquer un effet si violent. Là, c’est au-delà du simple désagrément parce que si j’avais eu des problèmes respiratoires, j’aurais pu crever toute seule dans ma salle de bain.

 

Inutile de dire que je vais contacter le service consommateur de L’Oréal pour leur remonter les bretelles de façon musclée. Il n’est pas exclu que j’écrive aussi aux associations de consommateurs, parce qu’on le vaut bien !

 

Mes-images-2011 1436-copie-1

Je ne sais pas si cela vient du gaz propulseur ou d’un composant du produit lui-même, mais ça me renforce dans l’idée que l’industrie chimique et moi sommes fâchées définitivement. Trop de laxisme, trop de course aux profits, trop d’approximations, trop d’hérésie, je préfère m’en tenir à des recettes simples (presque rétrogrades) mais qui ont fait leurs preuves depuis des générations.

 

Je n’avais pas eu d’ennui avec l’autre modèle et je ne pensais pas risquer ma peau en prenant Elnett « pastille rouge » au lieu de « pastille bleue ». Comme quoi, on peut frôler la mort avec un geste super anodin.


 

Sister « à bout d’souffle »

 

Chronique 07082011 Chronique 07082011

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3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 23:55

Cette année, la mode est aux talons compensés. C'est tout simplement immonde !

 

Perso, je déteste ça. On dirait des chaussures pour handicapés (qui eux n'ont pas d'autre choix alors qu'ils en rêvent).

 

Je ne comprends pas les nanas qui portent ces horreurs, parce qu'en prime cela leur fait une démarche pataude, comme si elles portaient des chaussures de ski bien rigides.

 

Et quand ce n'est pas compensé, c'est affreux quand même ! Y'a vraiment des années où la mode débloque à plein tube.

 

Voyez vous-même.

 

Attention, âmes sensibles, équipez-vous de sacs à vomi avant de jeter un oeil sur les images qui suivent.

 


Capture Air Step

Capture BF coleccion europa

Capture Freud London

Capture Bronx

Capture Pilar Abril

Capture Bronx 2

 

 

 

Sister "stilettos for ever!"

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