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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 02:51

Amis du soir, bonsoir.

 

Je suis abonnée au Parisien, OK, ça vous fait une belle jambe de le savoir, tant mieux, puisque moi aussi : on dit… que j’ai de belles gambettes… c’est vrai

 

Après ce bref intermède musical, j’en viens aux faits. Quelle ne fut pas ma stupeur (toute relative, convenons-en) de constater dans le TV hebdo gratos que les directeurs de chaînes nous avaient concocté une grille des programmes aux petits oignons ce soir.

 

En effet, nous avons eu droit à la sacro-sainte élection de Miss Pouffe France 2009 qui nous régale comme chaque année de ses nanas voulant faire de l’humanitaire (cherchez le rapport à l’élection) et savamment déguisées en grosses meringues multicolores.

 

Cette année, effet Obama ou je ne sais quoi, sur les 5 finalistes, il y en avait 3 issues des « minorités visibles ». Bon, moi je veux bien croire qu'elles réclament l’égalité, le refus des discriminations tout ça, mais ce sont elles-mêmes qui ont toutes insisté sur ce fait (« je suis le métissage, je suis la France nouvelle », « j’ai des origines internationales », « je suis bretonne sans avoir des gènes bretons ») alors faudrait voir à voir, on ne veut pas les stigmatiser et pourtant elles en rajoutent une couche et mettent le doigt dessus. Bref (comme disait Pépin), y’a eu un vote du jury et des téléspectateurs. Et là, incroyable ! Plus de 520 000 personnes ont choisi de claquer du pognon en numéros surtaxés et autres SMS pour choisir une paire de fesses ou un minois charmant, alors que sur la chaîne d’à côté ils luttaient pour récolter du fric pour une maladie qu’ils n’arrivent toujours pas à soigner malgré nos milliards donnés au fil des ans et pendant que les milliers d’autres maladies orphelines attendent encore qu’on les mette en lumière pour toucher aussi leur part du gâteau.

 

Donc résumons, des filles se sont trémoussées pendant des plombes alors que la Mère Poireau (ou De Fontenay si vous préférez la patate) et notre Jean-Pierre Foucault - inoxydable tête du PAF - meublaient pendant que les jeunettes se changeaient pour revêtir un maillot de bain vert d’une grande laideur ou des robes bien casse-gueule (Miss Guadeloupe s’est viandée bien comme il faut dans l’escalier, hu hu ^^, enfin un peu d’action !).

 

Des tas de vieux pervers ou de gros libidineux se sont rincé l’œil face à cette jolie brochette de nanas toutes calibrées sur le même moule et gigotant sur les mêmes chorégraphies que l’année dernière, ou celle d’avant, à moins que ce ne soit encore plus ancien ? Arf, aucune importance, c’est toujours pareil. Un peu comme L’Eurovision, un marronnier qui rassure par sa bonne vieille recette éculée.

 

Quelle bonne idée de programmer cette émission le 1er samedi du mois, comme ça, ceux qui avaient commencé à se chauffer sur les minettes en jupons bariolés ont pu « se finir » sur le Journal du Hard ou le film qui suivait.  Une forme de co-branding comme on aime. Vraiment, c’est bien foutu la téloche !

 

Et moi je dis chapeau (ça reste dans le thon ton) car oui, il fallait y penser à un tel enchaînement, ça fait plaisir et c’est cohérent.


Tu as raison ma cocotte, accroche-toi aux branches.

 

Histoire de finir sur une note positive, j’ai noté grâce au Web que Mlle TRICOT  (une aspirante au titre « d’espèce d’icône » nationale) aimait la broderie et la couture… j’avoue que là, ça me troue ! Même moi je n’aurais pas osé faire une blague à deux balles de ce niveau tangent à zéro. Vraiment, la réalité dépasse la fiction et c’est beau. En plus, ça ne fatigue pas le neurone. Merci la télé de contribuer à reposer notre temps de cerveau disponible.

 


Sister « qui s’en fout comme de sa première petite culotte »

 

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30 août 2008 6 30 /08 /août /2008 14:24

 

Bah oui, ne me regardez pas avec ses grands yeux ébahis et cet air ahuri, oui, j’ai gagné à l’EuroMillion hier soir. Mais comme vous le voyez, j’arrive à garder mon calme et mon attitude posée, simple et sombre. Tout ça est le fruit d’une zen attitude acquise au fil des années.

 

La semaine dernière, le chiffre mis en jeu était très prometteur, mais je n’ai rien touché et il n’y avait pas de super gagnant, du coup la somme avait été remise en jeu, direction 88 millions d’euros en jeu, voilà qui est motivant. Je me suis donc laissée tentée.

 


 

Rassurez-vous, je ne changerai pas mes habitudes de vie, mes amis resteront les mêmes et je vous promets de ne pas prendre la grosse tête, ni de commencer à me la péter bling-bling.

 

Le tout, pour l’instant, est qu’il me reste un léger doute. En effet, je me demande si je ne devrais pas reprendre mon boulot lundi… Je vais éviter le « au revoir, au revoir président », c’est pas trop mon style.

 

Bon, je ne compte pas devenir rentière non plus, ça ne me plait pas trop, j’ai envie de gagner ma vie à la sueur de mon front pour ne pas avoir à rougir de ma « fortune » nouvellement acquise.

 

Il va peut-être falloir que je contacte rapidement mon conseiller patrimonial et que je me renseigne sur les modalités d’application du fameux bouclier fiscal, hé oui, il faut que je m’habitue doucement à ce changement de statut social.

 

Organiser une grande fête monstrueuse avec un jacuzzi plein de champagne, un buffet de 120 m², des tenues de créateurs et de grands couturiers pour tout le monde, des dorures partout à en faire pâlir l’Élysée, des people et des stars à en rendre jaloux tous les tabloïdes de la planète. Arf, non, ça n’est pas mon genre non plus, ni dans mon caractère. 

 

Bon, pour l’instant je vais aller me payer l’apéro pour marquer le coup, bah oui, c’est pas tous les jours qu’on gagne 9,70 €.

 

Allez, c’est pas perdu, la prochaine fois ce sera 114 millions de gros lot.

 


Sister « nouvelle riche en devenir… ou pas ».

 

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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 02:13
Depuis peu, avec les collègues on s'entraîne à trouver chaque jour un proverbe ou diction purement inventés, qui commence par le Saint du jour (de préférence en rapport avec le thème du boulot) et surtout totalement loufoque. Poutant, en observant le calendrier, je me dis qu'avec celui de samedi on aurait vraiment lutté !

En fin de mois, nous avions eu : "A la St Ignace, fait tomber la caillasse" => jour de paie.

Ou encore : "A la St Alphonse, dernier jour on s'défonce" => la quille pour la collègue, veille de week-end pour nous.

Mais là, avec la Saint Fiacre... punaise je sèche !



M'enfin, pas de panique, la rentrée c'est lundi, j'ai le temps de m'entraîner.



Sister "Argh ! Je n'aurais jamais dû inventer ce jeu !"
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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 02:50
 

Troufion Sister au rapport !

 

Ainsi donc, je suis partie quelques jours battre la campagne, mais que les protecteurs de tous poils se rassurent, j’ai pas tapé fort, elle n’a pas de lésions apparentent (contrairement aux poutres qui fleurissent dans certains shorts en cette saison chaude… très chaude).

 

Cette année, j’avais envie de viser haut, de me faire plaisir avec des vacances bling-bling alors je n’y suis pas allée avec le dos de la cuillère. Objectif luxe !

 

 

D'entrée de jeu, je suis tombée sur l’ancêtre de Voici-Voilà-Tralala qui m’annonçait que J.B. s’était macqué avec B.B., pff, y’en a que pour les people ici aussi alors ?

 

 

Sur le chemin des douches j’ai croisé un autochtone, franchement il avait dû prendre un coup de soleil et n’était pas très causant, je n’ai pas insisté.

 

 

On m’a dit : « tu verras, y’a plein d’activité et le mardi non seulement c’est ravioli mais en plus y’a moyen de jouer au cerf-volant ». Oui, bah je l’ai vu, il m’a laissé le prendre en photo mais n’a pas voulu que je le bariole de couleurs fluos pour le faire voler. Pas joueur…

 

 

Après m’être renseignée au syndicat d’initiative, on m’a dit qu’il y avait des limousines à ma disposition. De suite je me suis dit que c’était bon, ils m’avaient enfin reconnue et qu’une jolie berline avec chauffeur m’attendait. Bah c’est bizarre, je ne m’attendais pas vraiment à ça… pourtant, ils n’avaient pas menti.

 

 

Souhaitant voir des horizons lointains, j’espérais être dépaysée et pensais que j’allais pouvoir mener grand train. Ouais, tu parles, on ne peut pas dire que j’ai été transportée de bonheur en voyant les TGV locaux. Ici, ce serait plutôt des Transports Gravement Vieux.

 

 

Questions activités, on m’a proposé la piscine, mais bon, il m’a semblé que c’était cumulé avec une préparation au saut à l’élastique (sachant que cet accessoire n’est pas fourni, ils étaient en rupture de stock, restaient plus que des cordes simples). J’ai fait comme si j’avais oublié mon maillot et passé mon chemin. 140 mètres de haut et 40 mètres de fond, oui, c’est tentant, mais euh non.

 

 

Le prospectus disait : « des jardins suspendus à faire pâlir Babylone, une beauté à couper le souffle ». Hum, dommage, les fleurs étaient en grève (ou en RTT) et visiblement il y avait eu gruge sur le CV du stagiaire jardinier que je soupçonne d’avoir préparé secrètement la filière pneumatique au lieu de réviser ses géraniums. Manquait plus que le faux puits assorti et peint couleur brique avec les joints blancs. Ça a failli être pas trop moche… juste failli.

 

 

Pareil, j’avais vu un phare, je me suis dit : « Super ! Cap à l’ouest toute ! ». Hé bien vous me croirez si vous voulez, mais s’il existe bel et bien, c’est juste qu’il est en plein cœur de la ville ! La côte la plus proche est à 264 km !!! Punaise, j’vais pas pouvoir aller à la plage tous les jours.

 

 

On m’a indiqué que ma piaule était à côté du mur en pierres sèches. Bizarre, même si le terme n’est pas galvaudé question BTP, j’ai comme un doute sur la véracité dans les faits… le fond de l’air effraie est frais. Isn’t it?

 

 

Bon, j’ai quand même croisé une star à un coin de rue, c’est toujours ça de pris. Elle était tellement scotchée de me voir qu’elle est restée collée au mur. Ça, c’est  « l’effet Sister ».

 

 

En revanche, en continuant un peu plus loin, j’ai repéré qu’ici je risquais de ne pas être en odeur de sainteté vu ce qu’on réserve aux têtes connues. Afin de ne pas perdre la mienne, j’ai préféré couper court à la balade.

 

 

Quel dommage ! J'ai loupé l'attraction locale. Ah vraiment je m'en veux. Toute cette route vers les origines pour échouer si prêt du but, c'est trop bête.

 


Comme on m’a dit d’aller voir ailleurs si j’y étais et de monter là-haut sur la colline de l’attendre avec un bouquet d’églantines, j’y suis allée de bon cœur et là, paf ! Je tombe sur une ovniport ! Hé bin mon cochon ! Il manquerait plus que je me fasse enlever par des E.T. venus dans le coin pour une histoire de forces telluriques alors que je n’ai qu’une bouteille de crème solaire indice 60 à leur proposer. Ça ne mène pas loin sur l’échelle de Richter.

 

 

 

Il était temps pour moi de retrouver la civilisation, je sentais que je n'étais pas à ma place en ces lieux de perdition. D'ailleurs, voyez comme je suis sur la bonne voie... My highway to hell...

 

 

 


Sister "finalement Paname en août, c'est pas mal non plus"

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27 juillet 2008 7 27 /07 /juillet /2008 22:45

 

Comme chaque année, vous vous êtes posé la question fatidique : « On va où cet été ? ». Madame voulait la Grèce, vous aviez envie du Mexique, les gosses voulaient faire du kayak, du quad, de l’équitation, de la plongée, des pâtés de sable, du bateau et j’en passe et des meilleurs.

 

Bref le casse-tête était là, tenace, prenant, jusqu’à ce que votre budget fonde comme neige au soleil, bêtement, à un jet de pierre avant le grand départ. Votre bagnole a coulé une bielle ? Votre chaudière à rendu l’âme ? Votre belle-mère a été hospitalisée et n’avait jamais eu l’idée de prendre une mutuelle ? A  moins que ce ne soit les impôts qui ont finalement démonté votre magouille de notes de frais et vous demande un arriéré qui fait mal au cul... Quel dommage ! Envolées les vacances de rêve dans les DOM-TOM, cette fois ce sera Moussus-le-Glouvieux et sa piscine municipale. Trop la classe !




Et sinon, vous pourrez toujours choisir ces destinations mystérieuses, où personne n’a jamais mis les pieds et que tout le monde connait pourtant, en voici quelques unes :

 

Pétahouchnok

Trifouilli-les-Oies

Foun-Tataouine

Biribi-la-Chaussette (c’est celle que je préfère)

 

Je suis sûre que vous en avez plein d’autres en stock alors n’hésitez pas à les proposer.

 

 

Sister « qui ira aussi voir ailleurs si elle y est, mais pas de suite »

 

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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 18:21

 

Nous y sommes, les chiffres sont formels, c’est entre le 15 juillet et le 15 août que les Français vont massivement se coller les orteils en éventail entre un verre de p’tit jaune et la tente du gros Dédé. D’autres se la pèteront jet-set prolo entre téquila et camping-car. Certains – plus branchés famille – opteront pour la sangria entre le barbecue de la tante Paulette.

 

Soyons précis, entre 1 et 99 % (à plus ou moins 1 %) vont quitter la tyrannie de leur chef pour celle de leurs gosses.

 

Hé oui, même si vous n’en n’êtes pas encore conscients, une autre forme de calvaire vous guette sournoisement, avec sa petite tête blonde et son air de chien battu.

 

Vous ne me croyez pas ? Alors un bref briefing s’impose. Prenez vos cahiers, on note.

 

Avant le départ : l’épreuve des valises.

« Non Choupinette, tu ne peux pas emmener tous tes nounours pour qu’ils voient la mer, on n’a pas un bungalow pour 12 personnes. Remets tes shorts dans le sac à la place de Barbie Pouf’ qui ne fera pas plouf ».

 

Lors du trajet : la règle du cumul des bouchons, ceux de l’A7 et les boules Quiès dans vos oreilles.

« C’est quand qu’on arrive ? Papa, c’est encore loin la mer ? Maman pipi ! Hiiiiiiii, y’a Thomas qui m’embête ! Et pis j’ai faim. Rhoooo Sandy elle a vomi sur le chat. On est bientôt arrivés ? ».

 

L’arrivée : la délivrance ? Non, le début d’un autre enfer.

« Roger, où sont les gosses ?

Bah j’sais pas, je déchargeais la bagnole, tu peux pas t’en occuper un peu, j’ai 800 km dans les pattes.

Merde ! Je ne les vois pas !

Bouge-toi le cul feignasse, fait le tour du camp.

Ouf, ils faisaient une bataille d’eau dans les sanitaires… ».

 

Le quotidien : Vous rêviez de grass’ mat’ et de siestes ? Oubliez !

« Maman, j’veux aller au Club Mickey !

Nan, mais on n’est pas les Rotchild.

M’en fiche d’eux, j’y vais avec mon copain Rodriguez ».

« Véro, t’as pensé à l’apéro ? Y’a plus de saucisson ? Il est où mon caleçon de bain ? Les gamins sont à la piscine ? J’enlève ta salade du frigo pour mettre mes bières. T’as pas mis mes tongs dans ton sac ? Qu’est-ce t’as fais d’mon briquet ? ».

« Roger, faut faire gaffe au budget, hier on en a eu pour 146 € pour 3 pizzas et 2 cocas et ¼ de rosé, maintenant faut aller à l’hyper chercher du taboulé en boîte pour réduire les frais ».

« Papa, le grand frère à Momo il a fait plein de trous d’aération dans ma tente avec sa cigarette, c’est rigolo hein ? ».

« Bon, on vérifie si on a tout pour la plage, inventaire général ! Glacière, parasol, crème solaire, goûter, bières, jus de fruit, nattes, serviettes, maillots, lunettes, bobs et casquettes, sandales et tongs, shorts, t-shirts, paréo, radio*, magazine, téléphone*, la pelle et le seau, jokari*, pétanque en plastique, pare-vent de plage… C’est bon ! On arrête là, le coffre est plein ».

 

Le retour : parce que toutes les (pseudos) bonnes choses ont une fin.

« Allo Monsieur Roger ? C’est votre conseiller financier, vous avez dépassé votre découvert autorisé de 3256 €, vous pensez avoir une rentrée d’argent très prochainement ? ».

« Hum, Véro, c’était mon boss, on va devoir écourter les vacances d’une semaine, tu sais une commande urgente vient d’arriver, ils ont besoin de moi, tu sais comme je suis un maillon fort de la boîte… ».

 

La suite : et dans un an ils reviendront, j’entends le loup et le renard chanter…

 

Sister « sur la plage abandonnée… coquillages et crustacés… »

 


 

*pour mieux pourrir la vie des voisins de plage.

 

 

 

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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 00:17

Depuis plusieurs semaines – ce qui est déjà exceptionnel en soit- s’étalent en 4 par 3 sur les panneaux d’affichages des gares qui jonchent mon parcours quotidien, une campagne de pub pas banale, étrange et pourtant quasi irresistible. D’ailleurs, je ne résiste pas à l’envie de vous faire partager ma petite trouvaille. A jamais immortalisée sur ma pellicule mes pixels. Ouh que je suis impatiente de vous présenter la collection automne-hiver de la goth-touch !


 

Ici une ligne de vêtement à la fois sobre et furieusement tendance, le top de la fashion victim à tendance black is black. D’ailleurs, admirez toutes ces nuances de noir, c’est tellement choupinet !!!

 

 

Oh ! Le dernier cri des téléphones portables et lecteurs MP3 joliment présentés sur un fond très sombre et mettant ainsi en valeur leur coloris parfaitement monochrome, le plus ultime de tous, l’unique.

 


Regardez-moi ça, quelle excellente idée d’avoir enfin créé un ensemble électro-ménager parfaitement assorti au style de vie de ceux qui préfèrent la pénombre au grand-jour.

 

 

Et ici des chaussures de toute beauté. Amis fétichistes des pieds, vous en avez plein les mirettes n’est-ce pas ?

 


Par là de la joaillerie à porter la nuit ou en cas de deuil, ou au quotidien quand on joue franc-jeu sur le look intégral qui va bien. Comment ne pas craquer devant tant de magnificence…

 

Ah oui, c’est tellement d’émotions, j’en suis toute tourneboulée.

 

Bon, je dois vous laisser, il me faut retrouver mes lunettes, ma vue baisse un peu. Mais où sont donc passées mes lunettes... noires.




Sister "et dans le flou aussi"

 

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11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 00:23
Bonjour à tous,

Un article très bref pour vous dire que je vais me mettre un peu au vert, histoire d'arpenter d'autres paysages, de revenir à certains territoires ancestraux et enfin s'éloigner un peu du tumulte parisien.

Je reviens très vite avec en stock dans ma musette :
- ma critique (fort bonne d'ailleurs) d'un album qui vient de sortir contocté par un groupe tout neuf mais blindé de talent
- mes trouvailles à la Foire de Paris (dont un article entier sur un "objet novateur" à tester)
- une question existentielle à propos des cravates
- une connerie légère sur le thème de l'eau et des Amiénois
- une tranche de ma VDM
- une chronique scientifique et pourtant drôle sur les effets d'un médicament
- une pseudo revue de Web avec des observations pas banales, etc.


N'hésitez pas à raconter des bêtises pendant mon absence, profitez-en puisque : "quand la chatte n'est pas là, les souriceaux (que vous êtes) peuvent dancer en paix".

Que la force soit avec vous !



Sister "come back soon"


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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 00:03
Oui, mon blog a deux ans. J'ai franchi le pas sur les conseils avisés de Monsieur Inedire, j'ai nommé AnT (de chez Smith en face) à qui je voue une profonde admiration et que je soutiens de toute mon énergie (and good vibrations) pour qu'il continue de nous régaler de ses podcasts et de ses écrits savoureux.

Deux ans, ça passe vite. Mes pages existaient donc avant l'arrivée du pseudo Napoléon Neuilléen égocentrique et j'espère qu'elles lui survivront, du moins à son mandat. Quand on voit à quelle vitesse il a gonflé les chiffres des opinions défavorables contre lui, bientôt il sera totalement désavoué par les Français, alors que moi je n'ai pas ce problème. Trop balèse, ici je fais ce que je veux et puisqu'on en est à parler chiffre, voici le petit bilan indispensable. D'aucuns trouveront cela modeste, moi je m'en contente bien. Ceux qui viennent semblent content, tant mieux.

Auto-satisfaction à sens unique


J'espère continuer encore un bon moment, parce que c'est un défouloir jubilatoire et le retour sur investissement me satisfait pleinement. Je veux bien sûr parler de vos commentaires et contributions, ça c'est le véritable intérêt du Net, amener les gens à se rapprocher, à partager une vision commune ou a découvrir d'autres points de vue. Quel enrichissement !

Histoire de vous dévoiler un peu l'envers du décor, j'ai décidé de vous faire voir un peu à quoi je ressemble, enfin, c'est comme tout, y'a à prendre et à laisser. C'est à vous de faire votre choix et n'hésitez pas à me dire comment vous me préférez, puisque je suis un peu de chaque et pourtant tellement différente aussi.
Si vous souhaitez vous représenter aussi, y'a qu'à cliquer sur les images.

J'ai un peu plus de neurones qu'un Simpson de base... quoique...

Version South Park, aussi haute que large et que dire du volume crânien.


En Légo sexy-chocolat, un peu pouf quand même.


Allez, c'est reparti pour un an de plus ! Haut les coeurs !

Sister "un p'tit beurre des touyoux"

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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 22:38

Je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui...

Non, n’exagérons rien, je ne parle pas au inconnu, sauf s’ils sont gaulés comme des Dieux grecs et que je me sens sur le point de défaillir.


Le temps n’étant pas dégueux en ce moment, samedi j’ai décidé de prendre l’air. D’un coup, me vient l’idée saugrenue de prendre des clichés de mon parcours, juste parce qu’en cheminant, les opportunités se sont présentées à moi et que je n’ai pas voulu louper le coche.

 

En premier, je suis tombée sur cette belle représentation de co-branding (comme disent les acharnés du marketing). J'ai trouvé que l'association était amusante. Pour information, il y a écrit "touche pas à ma zik" dessus. Sympathique.

 


 


Ensuite, je me suis attardée sur l'oeuvre probable d'un soixantehuitard qui voulait fêter sa petite nostalgie de révolutionnaire rentré dans le rang, du coup, il a rechuté et a largement barbouillé la série de panneaux pour faire revivre son vieux fonds de commerce : "il est interdit d'interdire".

 

 

 


Au croisement suivant, je me suis fait la remarque qu'on cotoyait souvent des gens dont on a aucune idée de qui ils sont, ni de ce qu'ils ont fait, ni de pourquoi ils sont là. Des "peoples" tombés dans l'oubli, tel les lofteurs ou les éconduits des télés réalités après leur surmédiatisation ridicule. C'est moche finalement, d'avoir son nom sur une plaque et que personne ne se soucie de vous. Nous sommes si peu de chose...

 



J'ai même croisé une antiquité roulante et pas croulante. Ma foi fort bien conservée pour son grand âge et affichant une mine superbe, un teint resplendissant et une allure guillerette. Oh, la belle bleue !




 

Tous les chemins mènent à Rome ? Il paraît. N'empêche qu'il ne doit pas y avoir beaucoup de communes Françaises sans sa rue de Paris ou son Avenue de Gaulle. Et sinon, c'est encore loin la mer ? Nope, c'est tout droit.




Puis, on m'a menti, sorte de publicité mensongère de la DDE. De tour, point je n'ai vu. D'Anne, pas davantage non plus. En fait, je crois qu'on m'a bien eu.



 

D'un coup, sans même y crier gare (Libourne, Libourne, 1 minute d'arrêt !), me voilà aux prises avec un symbole de la république. Que faire ? Chanter la Marseillaise ? Déposer une gerbe (pas une quiche, faites gaffe) ? Chercher un monument aux morts ? Nope, j'ai choisi de passer mon chemin.



 

Oh ! Un logo moche à 12 millions d'euros. Un vrai repère à feignants. Non, pas ceux qui cherchent, mais plutôt ceux qui sont supposés leur trouver du taf.


Attention danger ! Si jamais on a besoin de tout faire péter sur la planète, c'est ici que ça se passera, car derrière ces grilles, se cache le fameux bouton rouge de la force nucléaire Française. Temblez carcasses ! Ici, on ne rigole pas avec la sécurité nationale.


Et parfois, on croise des gueules cassées dans les rues. Là, même mes talents d'infirmière à temps partiel n'ont rien pu faire pour sauver la situation. D'autres avaient déjà "poussé un cri à la sonnette d'alarme". Même le numéro en est tout pâlichon. Faut pas pousser trop fort finalement.


Pendant qu'on ne les observe pas, les poubelles bâillent aux corneilles. Manque de bol, j'ai pris celle-là en flag'. Hé oui, c'est un réel délit de glandouille sur la voie publique. Punissable de notre mépris le plus total, je passe donc mon chemin.



 

Encore un panneau qui indique un truc qu'on ne connait pas. C'est rageant à la fin !


Et soudain... Ô surprise ! Je suis tombée sur une cachette pour gothiques. Mais oui, un lieu aussi glauque, ce ne peut être qu'une planque pour dépressif chronique ! Imaginez un peu cet endroit, un jour de pluie, avec le froid, la brume, le blizzard... Brrrr, ça fait chaud au coeur.



Ah oui, pas de doute, c'est une planque pour fans de Mylène Farmer ou je ne sais quoi. Et en plus, là je vous ai pris un cliché en couleur, imaginez la même chose en noir et blanc, ça prend une toute autre dimension... bien funeste et lugubre.



Finalement, je suis rentrée chez moi, méditer sur ce parcours spirituel et à vertues oxygénantes (aux entournures). Rien de bien transcendant. Bah oui, c'était le but du jeu, vous convier à lire un article totalement sans intérêt et je suis ravie de vous annoncer que vous êtes... tombés dans l'panneau !!


Sister "2e à gauche puis 1ère à droite, avant le passage à niveau".

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A méditer... ou pas

"L’amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font.
À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire"

Pierre DESPROGES

Vous Cherchez ?

Amuse-bouche

Quelques pensées en vrac, des chroniques sur le vif, un soupçon d'actualité, le tout saupoudré de bonne humeur (autant que possible) pour espérer susciter l'intérêt ou la curiosité. Chose rarissime sur le Net : mon site est garanti 100% sans pub ! Mais oui, vous ne rêvez pas, c'est dingue n'est-ce pas ?

En Conserve

Libre pensée

L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour ça que le présent nous échappe."

Gustave Flaubert

 

 

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"Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors seulement, vous vous apercevrez que l'argent ne se mange pas." (dicton amérindien)

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