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9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 06:30
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Avis aux fashion victims, je ne suis ni une pro de la mode, ni une super addict des magazines dédiés aux fripes (au contraire !), fussent-elles abominablement luxueuses. Il y a aussi peu de chance que vous aperceviez à mon bras un sac de marque (coûtant généralement 10 ans de salaire d'un cubain) que de surprendre Victoria Beckham plongée dans Critique de la raison pure, c'est dire !
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Toutefois, le supplément Style étant fourni avec le Nouvel Obs dont j'ai fait l'acquision, je me suis mise à feuilleter d'un oeil distrait et désinvolte, le catalogue publicitaire des "artisans de la sape hors de prix".
J'y apprécie surtout l'incroyable qualité des clichés couchés (comme les mannequins) sur papier glacé. Oui, on tue des arbres pour ça, mais il paraît que ce n'est pas grave, c'est le business qui réclame ce sacrifice et cela permet à la presse française de continuer à vivre. Admettons.
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Constatant qu'on y côtoyait réellement des modèles immettables et d'autres de toute beauté, je me suis dit qu'il fallait que je partage avec mon public adoré, ce florilège étonnant qui mélange le grand n'importe nawak et le sublime.
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Comme à mon habitude, je suis allée surfer sur la Toile, en choisissant les créateurs de façon mi-personnelle, mi-aléatoire et voici le résultat de mes recherches.
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Version moche : Madame, faut pas piquer la blouse à mémé, elle va pas être contente !
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Version tip top : féminin, subtile, léger et délicat. A croquer !
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Chez Kenzo
Version moche : OK, y'avait des promos chez Phildar, mais là faut pas abuser,
ça dégouline de partout !

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Version tip top : structuré, taille appuyée, un classique revisité, motif baroque et original.
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Chez Junko SHIMADA
Version moche : Ils ont un réel problème avec la maille cette année,
elle est toute débraillée et a l'air d'un sac en prime.

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Version tip top : Une allure rafinée de femme fatale, la simplicité au service d'un vêtement à la coupe parfaite.
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Version moche : << Bah chérie, t'es encore en chemise de nuit ?
On sort ce soir, va vite t'habiller ! >>

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Version tip top : Un rien l'habille !
Un voile poétique dont la transparence laisse voleter l'imagination.

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La morale de mon histoire ? Juste qu'on a toujours moyen de trouver chaussure à son pied puisque la mode mélange tout et son contraire. Ainsi,  même si vous ne ressemblez à rien parce que vous avez récupéré des frusques à droite à gauche, dites que vous portez les prototypes d'un jeune couturier, ça passera comme une lettre à la poste.
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Sister "dressed in black again "
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6 octobre 2007 6 06 /10 /octobre /2007 01:22
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Allez-y camarades ! Profitez du bref moment de patriotisme autorisé (et même encouragé) pour afficher fièrement les accessoires revendicatifs d’une appartenance à une nation qui pour une fois ne s’affirme pas comme footballistique mais toute entière baignée dans le royaume de l’Ovalie. Pour ceux qui n’en ont pas entendu parler, je leur conseille de retourner au fond de leur tanière, on vous réveillera plus tard, au retour du printemps.

Tout usage abusif sera puni de suspicion.
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Ainsi, chez nous, s’affirmer patriote est immédiatement jugé suspect, on vous regarde d’un œil torve, les gens se méfient : « Hum, il ne serait pas un peu collabo celui-là avec sa bannière tricolore », « Franchement, pour exhiber ainsi le drapeau Français, c’est sûr, ce mec doit voter Extrême Droite ou être nostalgique du régime de Vichy », etc.
La preuve, juste avant Noël, au lieu de recouvrir votre intérieur ou vos fenêtres et balcons de guirlandes lumineuses qui font ressembler le quartier à un tableau de bord de Boeing en pleine déconfiture, mettez quelques drapeaux bien en évidence, puis observer les réactions. Au mieux pour passerez pour un fada, au pire pour un fanatique du Reich. Oui, pour le commun des mortels un peu bas de plafond, fascisme et nazisme, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Rappelons que pendant qu’on tape gentiment dans le ballon, un dictateur fou continue à massacrer des milliers de personnes et en affamer (ou réduire à la misère) des millions d’autres. Enfin je m’égare. Revenons à nos moutons, euh non, à nos drapeaux.
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Avouez qu’en France, on en voit peu, à part aux infos lorsqu’on nous filme le gouvernement ou la mairie du quartier. Pourtant à l’étranger (notamment aux States), il en va tout autrement.
Si vous regardez plus attentivement les programmes télé débiles dont vous abreuvent largement TFhaine et consors, il n’y a pas la moindre d'éviter les émissions, films, ou épisodes de série qui ne montrent à un moment ou à un autre le fameux « stars & stripes banner ». Impossible de passer outre la bannière étoilée, elle est partout ! La prochaine fois observez bien, c’est stupéfiant ! Ils ne peuvent pas s’en empêcher et tout est bon pour en coller dans les moindres recoins. À ce niveau là, c’est plus de l’amour, c’est de l’acharnement. De là à penser qu’Hollywood impose le symbole U.S. à chacune de ses productions de divertissement, y’a pas des kilomètres.
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Ainsi, demain, pour montrer que nous sommes de bons patriotes et que nous soutenons notre nation dans ce dur combat qu’elle va devoir mener - sur un carré de gazon tondu de frais - face à des adversaires féroces venus d’un pays tellement lointain et inconnu qu’il n’a même pas l’euro, le dollar (enfin juste un ersatz) ou le yen pour monnaie, c’est dire s’ils font peur ces gaillards issus d’on ne sait où ! En plus ils poussent des cris de bêtes en gesticulant nerveusement (y'Haka pas les regarder lorsqu'ils s'agitent ainsi). Ah je vous dis, nos petits gars du sud-ouest on du mouron à se faire !
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Les 30 mecs bâtis comme des armoires normandes en sont encore à se chamailler la couleur de leur liquette, ils ont conservé une forme de gaminerie qui tranche nettement avec la puissance de leur musculature hors norme. Ce doit être un dérivé du french paradox.
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Donc n’oubliez pas : amis, peuple de l’hexagone, franchouillards du bout du monde, sortez de vos placards tout ce qui peut ressembler à une cocarde, un drapeau bleu blanc rouge ou un signe extérieur de chauvinisme franco français comme on en a le secret. C’est le moment car ensuite, il y a fort à parier qu’on repartira la queue entre les jambes et qu’il faudra bien vite remiser les accessoires désormais bannis puisque rappelant le douloureux souvenir d’une défaite cuisante.
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Ils pourront toujours se consoler avec le plus doux des anti-dépresseurs, tout dévoué à la cause.
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Ainsi va le monde. Nous brûlerons demain ce que nous avons encensons aujourd’hui. Et n’oubliez pas, l’usage du drapeau est à consommer avec modération dans nos frontières. Uniquement les soirs de match avant et après en cas de victoire et de préférence pas du tout une fois que le coup de sifflet final nous a déclaré loosers.
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Sister « panem et circenses »   
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Si vous souhaitez commander le vôtre c'est ici que ça se passe.
Le 1er fournisseur mondial de drapeaux est français, c'est pas beau ça ? Cocorico !!!

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9 septembre 2007 7 09 /09 /septembre /2007 19:52
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Durant mes brèves vacances parisiano parisiennes, je me suis rendue dans une très célèbre enseigne de supermarchés asiatiques qui sévit dans le XIII arrondissement. Je ne citerai pas la marque, après tout, je ne suis pas payée pour ça.
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J’étais curieuse d’apercevoir ces étranges ingrédients exotiques et je n’ai pas été déçue !
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Ils ont des variétés de fruits, de légumes et d’herbes aromatiques dont j’ignorais totalement jusqu'à l’existence même, j’aurais été bien incapable de cuisiner ces étranges produits. Ne souhaitant pas me risquer à choisir ces drôles de crudités, j’ai opté pour des mangues (très bonnes d’ailleurs) et des pêches jaunes qui se sont avérées être bien meilleures que celles de mon maraîcher.
Quelle galère d'ailleurs pour trouver des fruits goûteux et à moins de 6 euros le kilo (en pleine saison aussi), franchement, c’est un scandale de tomber systématiquement sur des abricots durs comme du bois et du raisin fadasse. Surtout dans un pays producteur comme le nôtre !

Bref, là j’étais contente de trouver des fruits qui avaient du goût et un mûrissement correct.
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Ensuite, j’ai déambulé dans les rayons en observant ces emballages qui - au mieux - sont écrits en anglais, mais ne décrivent que très rarement en français ce qu’ils contiennent. Dommage, cette petite entorse à la législation me déplaît un peu. Comment savoir si ce qu’on achète est sucré, salé, épicé, amer, etc.
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N’empêche, quelle incroyable diversité de produits ! Des tas de condiments, des boissons à base de chrysanthèmes (ça ferait fureur en cadeau aux belles-mères), des oreilles de porc laquées (beurk, c'est présenté sous vide et ça donne un sacré aspect gerbant), des bidules déshydratés dont on peut se demander s’ils sont issus du règne animal ou végétal tellement ils sont indescriptibles et méconnaissables, etc.
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Bon allez, je ne vais pas juste ressortir avec mes fruits, je me lance, même pas peur ! Ainsi, j’ai fait tomber dans mon panier de quoi préparer des nems « made in France » et une bricole rigolote.
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Voici le résultat de ma tambouille exotique :

L'exotisme est à la portée de toutes les petites mains, suffit de s'y mettre.
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Oui ils n’ont pas un aspect habituel, c’est juste parce que j’ai opté pour un mode de cuisson qui excluait la friture, du coup ils ne sont pas aussi dorés que ceux que vous connaissez si bien et qui regorgent aussi de gras… burp.
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Ma préparation crevettes-légumes était vraiment à la hauteur de ce que j’en attendais. En fait, le plus long est vraiment de couper les ingrédients en petits morceaux pour les rouler ensuite dans la feuille de riz.
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En dessert, j’ai composé un entremets avec leur tapioca multicolore, mais je n’en reprendrais pas, car ce produit est déjà sucré (ce qui n’était pas mentionné sur l’emballage) et cela a faussé mon dosage habituel. De plus, le résultat escompté n’était pas à la hauteur. Les petits grains verts (même associés à leurs copains jaunes et roses) donnent un aspect périmé qui rend le tout peu avenant.
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Pour qui sait déchiffrer leurs idéogrammes, il faut savoir que les sauces de vos classiques « poulet à la citronnelle » ou « bœuf aux oignons » existent déjà toutes prêtes en bocaux, il ne suffit donc que d’ajouter la viande et quelques ingrédients frais pour donner une touche de croquant et le tour est joué.
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Ainsi, je parie que bon nombre de traiteurs du coin de la rue se contentent de délayer des pots ou des sachets de saveurs lyophilisées sur des morceaux de porc ou de poisson pour préparer leurs recettes. Ce qui expliquerait que souvent le goût ne diffère pas du tout d’un établissement à un autre… Heureusement, qu’il y a aussi de vrais restos, reste à savoir lesquels, car très peu d’entre eux affichent des distinctions culinaires. A quand un guide Michelin avec 3 paires de baguettes pour reconnaître les excellents établissements ?
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Bref, pour ceux qui ne sont que des « assembleurs », imaginez un peu ouvrir un bistrot lyonnais où la carte ressemblerait à ça :
N28 : Raviolis du rayon frais et sauce tomate Panzani
D52 : Aiguillettes de poulet Père Dodu au pesto Barilla et ses pâtes
V31 : Haricots verts Findus et sauce aux cèpes de chez Buitoni
S45 : Beignet de pomme façon Picard.
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Ah ! Le pauvre Escoffier s’en retournerait dans sa tombe ! Colère et indignation des gastronomes qui crieraient au scandale pour cette bouffe en assemblage de boîtes. Et pourtant, nous en sommes quasiment arrivés là puisque dans certaines écoles hôtelières, ils enseignent maintenant la cuisine à base de légumes en conserves, sauces sous vide et fruits surgelés. Franchement, pas besoin d’aller faire des études pour savoir faire ça. Bientôt les maîtres queue ne sauront plus éplucher une tomate à ce rythme. Mais que voulez-vous ma bonne dame, il faut rogner sur tout et nourrir 200 gamins dans un bahut, ça prend du temps et le temps c’est de l’argent alors les grosses filiales de l’agro-alimentaire ne s’embêtent plus à préparer du frais. Les ingrédients proviennent d’horizons lointains, ça permet de faire baisser les coûts. Reste la main d’œuvre qui est toujours trop chère alors on se contente de faire des mélanges à partir de bases déjà précuites.
Et après on ne viendra pas s’étonner de voir la malbouffe qui gagne du terrain, les gamins qui finissent obèses à 6 ans et un désintérêt croissant pour les légumes.
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Enfin je m’égare. Revenons au propos.
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La presse s’est tout récemment fait l’écho de problème d’OGM, de substances toxiques et de produits impropres à la consommation dans la filière asiatique. Ce qui jette encore un froid sur les produits que l’on risque de retrouver dans nos assiettes. Déjà les reportages n’ont pas manqués sur les fameux « appartements raviolis » où l’on voyait des particuliers préparer dans des conditions d’hygiène exécrables, des bouchées vapeurs et autres plats dont les ingrédients étaient largement périmés.
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Je croyais naïvement que le gouvernement mettait tout en œuvre pour assurer des filières de contrôle qualité, des vérifications douanières et autres. Visiblement ce n’est pas le cas et tout le monde semble bien se foutre de savoir si ce qui finira dans nos estomacs est réellement sans risque.
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D’après ce constat, je suis obligée de m’interroger sur la probabilité plus qu’élevée de trouver dans nos paniers : de la vache folle (si si, il y en a encore de nouveaux cas répertoriés régulièrement), de la volaille au H5N1, etc.
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Enfin, je ne voudrais pas vous couper l'appétit, juste vous inviter à lire les étiquettes - quand c'est possible ! - et à privilégier les aliments frais, le goût est tellement plus subtil et les bénéfices en terme de vitamines et saveurs n'est plus à prouver. Voilà, j'en retourne à mes fourneaux.
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Sister of Night "sayônara"
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5 septembre 2007 3 05 /09 /septembre /2007 23:57
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L’autre jour, je suis allée faire un tour à Paname pour quelques courses et surtout « prendre l’air » sans les envahissants Parisiens.
Évidemment, je n’ai pas pu m’empêcher de rendre une petite visite de courtoisie à l’un de mes dealers de bouquins, celui qui se prétend agitateur mais ne secoue pas grand-chose finalement, à part nos portefeuilles malmenés.
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J’avais même l’intention d’acheter deux bouquins qu’on m’avait fortement conseillés. Toutefois, leur prix très élevé pour un contenu ma foi assez modeste m’a obligé à revoir mes prétentions à la baisse et j’ai reposé soigneusement les ouvrages.
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Histoire de voir les nouveautés et de fureter encore un peu dans les rayons, je tombe d’un coup sur deux énormes linéaires pleins de livres de cuisine. Sous mon nez, des centaines de bouquins voués au culte de la bouffe sous toutes ses formes, même les plus inattendues !
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Les manuels ayant trait à l’art de la table ont pris un essor impressionnant ces dernières années et l’on se retrouve désormais avec des tonnes de parutions nouvelles chaque semaine.
Comme toute chose poussée à l’extrême, le filon qu’on exploite actuellement avec une ferveur excessive est en train de sombrer dans le grotesque.
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Ainsi, nous trouvons en best-seller les recettes des chefs qui se font parfois grassement payer pour un bouquin dont ils n’ont pas écrit la moindre recette, ou alors au mieux juste la préface, histoire de coller leur nom dans un coin en plus de la photo de couverture, Cyril Lignac par exemple (exemple : "C'est moi qui cuisine... Oui chef !"). Il faut le prendre au sérieux, cet homme peut tout à fait oser vous apprendre à faire des tomates-mozzarella ! On ne rigole pas avec la bectance ! La seule chose juteuse dans cette compil' est la somme qu'il a dû encaisser auprès d'Hachette.
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Et dire qu’il y a quelques années, la comédienne Valérie Lemercier avait donné la recette des coquillettes au beurre dans le magazine Elle pour jouer la déconne et le décalage, maintenant les toqués n’hésitent pas et font pareil, mais sans rigoler…
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N’oublions pas non plus les « auteurs » qui flattent leur égo en publiant un livre alors que jusqu’à présent, elles se contentaient de proposer le menu du mois dans un magazine féminin. Ce sont les pires. Franchement, il faut voir un peu comment « elles se la racontent grave ». De l’aveu même de Trish Deseine (qui s’imagine être devenue une figure incontournable de notre gastronomie parce qu’elle a signé quelques bouquins qui se sont bien vendus) dans une interview radio, elle confie que dans son dernier opus qui s’intitule très modestement « My cuisine » (oui elle est très fière d’elle-même) ne contient que 10 à 15 % de préparations personnelles ! Incroyable, cela signifie bien que près de 9 recettes sur 10 ne sont qu’un pauvre copier-coller d’autres ouvrages ! De ce fait, ne devrait-elle pas toucher ses copieuses royalties dans les mêmes proportions ? La personnalisation du titre pourrait d’ailleurs être qualifiée de publicité mensongère ou trompeuse, encore une fois.
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Autre aberration, les pointures font appel a des photographes spécialisés qui ne prendront aucun cliché de votre baba au rhum préféré si vous n’allongez pas une grosse enveloppe de 20 000 euros. Ça frôle la connerie tant on ose plus ouvrir ce livre d’art de peur de le tâcher d’une éclaboussure d’œuf en cherchant à réaliser l’œuvre culinaire du maître.
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Il faut le savoir, la grande mode du moment, ce sont les marques qui trouvent là le moyen de se montrer et de s’octroyer une renommée à moindre coût. Ainsi, vous retrouverez entre autres : « Mes recettes Haribo », « Nutella, 40 ans de plaisir » ou « La vache qui rit, sa vie, ses recettes ».
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N'ayons pas peur (quoique), la révolution gastronomique est en route et avec elle ses promesses d’autonomie culinaire totale. Ainsi, vous dénicherez des dizaines de livres pour vous apprendre à utiliser votre dernier joujou ménager top fashion, j’ai nommé : la machine à pain !
D’ailleurs, j’ai été soufflée de voir chez Delbard / Gally des linéaires entiers avec des farines de toutes catégories et aux saveurs variées, prometteuses de délicieuses créations et gage de réussite vers votre objectif de devenir les champions de la panification à domicile.
Vous n’imaginez pas tout ce que la machine peut faire pour vous. Quoi ? Ah oui ! Vous vous êtes surpris en train de lire la marque à chevrons dans la phrase ci-dessus ? Hé oui, vous n’êtes que des fils de pub (hu, hu), vous êtes pardonnés d’avoir tant péché.
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Évidemment, le rayon « cuisine » est devenu un véritable repaire de recueils à vocation de mode d’emploi pour optimiser l’usage de vos outils ménagers rutilants. Ainsi, vous saurez tout sur la manipulation de votre mixeur, blender, centrifugeuse, sorbetière, saucière, hachoir, etc. Dans ma sélection de l’été, je vous propose : « La machine à pain », « Blender » (oui, ils savent faire simple), « Mon mixeur, un bonheur » (si si, c’est bien le titre original ! Franchement, si un jour Dédé la Chignolle vous fait avaler vos dents, vous saurez qu’une bonne âme s’est penchée sur votre grand malheur et vous propose de ne pas mourir de faim grâce à cet ouvrage incontournable).
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D’ici peu, nous aurons droit à un délire similaire sur la machine à faire des yahourts qui revient en force (il faut que j’exhume celle de ma mère qui date des années 70 et devrait pouvoir se vendre une fortune sur ebay vu son côté « authentic vintage item »). Je pense qu’on peut prévoir la sortie prochaine de conneries du genre « Yahourtière mon amie, ma confidente », « Mille et une recettes de yaourts à travers les saisons », « Yahourts du bout du monde », « Yoghurts, humour et crustacés ».
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Il y a aussi des livres spécifiques à chaque catégorie de mangeurs : les bébés, les femmes enceintes, les végétariens, les personnes âgées et - incontournables - les gens au régime ! On peut d’ailleurs maigrir selon la numérologie, la chronobiologie, le groupe sanguin, le signe astrologique et j’en passe. Grosses arnaques au tournant, mais que voulez-vous, tant que les gens achètent, ils continuent à publier des aberrations de ce genre.
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Dans la tendance du fooding ou du branchouille, vous avez aussi droit aux lubies des apéros et autres tapas qui sont l’occasion de grignoter des mini bouchées présentées dans des verres riquiqui, des cuillères plates bizarres ou des toasts à la taille de Barbie. Cela représente des heures de boulot derrière les fourneaux pour confectionner ces mignardises ridicules pour Parisiennes anorexiques.
Si on invite des potes, je préconise d’oublier ces échantillons de bouffe et d’opter pour la bonne vieille côte de bœuf (si le temps s'y prête) ou l’inratable hachis parmentier dont le succès ne s’est jamais démentit. Faut arrêter les conneries quand même, sinon y’aurait motif de fâcherie !
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Vous n'en croyez pas vos yeux, c'est normal ! Et pourtant je vous jure que ce livre existe.
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Voici, histoire de se mettre en bouche (non, ce n’est pas sale, ton corps change, pense aux fleurs), une petite sélection de titres assez parlants et qui vous résumeront bien ce que vous trouverez dans les rayons de votre libraire :
- « Chéri, t’as pris du bide » => messieurs tremblez, madame en veut à vos poignées d’amour et autre bouée
- « Jus, soothies et Cie » => ou comment rendre liquide n’importe quoi
- « Divines verrines » => des doses minus dans des petits pots
- « Festins créoles » => pour ceux qui sont aussi passés à la pharmacie chercher du « Préparation H »
- « Tajines et quadras » => j’vois pas bien le rapport entre les deux
- « La cuisine des séries » => pour tout connaître des recettes de « Ma sorcière préférée » ou autres
- « Cochons et fils » => ce livre n’existe ni en version cachère, ni en grec ancien, quel dommage !
- « Cuisine de tous les jours » => oui, des millions de gens en rêvent de celui-là… ah ! le bonheur de pouvoir bouffer au moins une fois par 24 heures
- « On est pas des cakes » => pour les mecs qui veulent impressionner leur nana en devenant des maîtres queue
- « Poulet sur canette de bière » => non, ce n’est pas une blague, c’est américain ! Ce qui est pire encore !
- « Breakfast, lunch, tea » => pour ceux qui ne se nourrissent qu’avant 18h, contrairement aux Gremlins
-  « Craquez pour le croque-monsieur » => eh oui, ils ont osé le décliner à toutes les sauces
-  « Bôllyfood » => un jour j’apprendrais à faire des cheese-nan, j’adore ça !
- « Trop chou » => n’ayez pas peur des « venkipu », il ne s’agit là que de la pâtisserie et non du légume crucifère
- « 52 tartines du dimanche soir » => comme ça on connaît le menu de toute l’année à venir
- « Le cake show de Sophie » => elle a décliné le principe sur tous les tons, cet ouvrage est absolument dénué d’intérêt.
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Quand je pense que je viens de taper l’intégralité de cet article dans un McCrado, j’ai presque honte. N’empêche que le bistrot du coin n’aurait pas accepté que je branche mon ordi portable chez lui et que je squatte pendant deux heures juste avec une simple glace à 2,40 euros… Sauf qu’il faut prévoir aussi le lecteur MP3 car Skyrock, je ne tiens pas plus de 5 minutes.
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Bon, tout ça m’a donné faim, ce soir je prévois une blanquette de veau à l'ancienne et des champignons fondants avec en dessert un riz au lait à la crème anglaise. Et dire que je n’ai même pas besoin de bouquin pour concocter ça, je vais finir par faire la ruine de ces marchands de rêves gastronomiques sur papier glacé…
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Sister « pécheresse et docteur ès gourmandises »
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27 août 2007 1 27 /08 /août /2007 01:18
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Chers lecteurs (et teuses, ou trices ou touses) assidus, vous m'avez crue morte et enterrée, non, il n'en est rien, j'étais en hibernation du fait des conditions météo épouvantables.
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Envie d'un petit picnic dans la pelouse ?
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Que je vous raconte un peu.
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Chaque année (ou presque), je me coupe du monde pour faire une cassure quasi totale avec le quotidien, ses contraintes, ses lassitudes, ses exaspérations, ses obligations polies.
Alors je me sauve sur un bout de caillou au bord du monde où je peux me recentrer, faire le point, méditer loin du tumulte parisien.
Une dizaine de jours face à l'Atlantique avec mon vélo pour musarder le long des chemins de traverse, pour s'engouffrer dans quelque forêt mystérieuse ou partir à la découverte d'une fontaine abandonnée ou d'une pierre levée au milieu d'un champ de tulipes (au repos lui aussi).
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N'avoir aucun compte à rendre, aucune explication à donner, ni rapport, ni debriefing, pas même de planning pour la journée à venir. Se laisser porter au gré du vent et des envies.
Voyager léger pour être plus mobile, je vais à l'essentiel, juste le minimum vital pour un maximum de liberté. Fringues de rando, deux bouquins et vogue la galère.
Ma seule excentricité permise est d'emporter mon thé préféré (le "4 fruits rouges" de chez Dammann), sorte de fil rouge (lui aussi) avec mon existence des 355 jours restants.
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Cette coupure - genre retraite spirituelle - me permet de faire un bilan et souvent je n'en reviens pas avec le même état d'esprit qu'en partant. A de nombreuses reprises, je rentrais de vacances pour coller ma démission sur le bureau du boss parce que j'avais envie de donner une autre dimension à ma « carrière » ou juste le besoin d'aller voir ailleurs, de me frotter à l'inconnu, voire de faire un virage à 180°.
En fait, mis à part la mort de mes proches ou la souffrance, je n'ai pas de peur identifiée. Du coup, filer un coup de pied dans la fourmilière professionnelle et aller voir à côté si l'herbe est plus verte n'est pas un problème.
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Je n'aurais pas eu la chance de profiter de ce paysage sublime cette année. Tristesse.
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Toutefois, cette année, pour des raisons indépendantes de ma volonté et par la faute de conditions météorologiques catastrophiques, j'ai dû renoncer à mon recueillement loin de la civilisation. J'en reste assez troublée et n'ai pas du tout l'impression d'avoir pu me déconnecter de cet « ordinaire » peu enclin à la fête et à la gaudriole. Du coup, je reste sur ma faim et sens une sorte de frustration. Bah, c'est la vie, dirons certains. C'est dommage leur répondrais-je.
Tant pis, j'en ai profité pour faire du bénévolat et faire plaisir à mes proches, c'est toujours ça de pris (ou plutôt de donné).
Voilà, faute d'avoir pu prendre l'air du large, j'ai au moins mis un peu de distance avec le Net, mais j'y reviens sans problème, je reste accro à ce média qui me permet de vous sentir là autour de moi, ça rassérène un peu.
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N'empêche, mes vacances sur les rochers et les belles plages désertes* me manquent... snif.
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Sister "feels good to be... free"
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*plus les crêpes, les galettes, le homard bleu, l'espace, le beurre salé, les fraises de Plougastel, les langoustines, la tarte bigoudène, etc.
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7 août 2007 2 07 /08 /août /2007 00:16
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Depuis quelques jours, on peut voir sur les murs du métro (ou d'ailleurs), des affiches 4 x 3 avec la photo ci-dessous.
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Faut soigner ce gosse, il souffre d'une sale maladie orpheline tel qu'il est là. Ou alors il a trop la honte parce qu'il porte un string panthère pas du tout assorti à son teint pâle ?
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Bon, je crève d'envie de faire ma blague naze alors je ne vais pas me priver.
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Franchement avec une couleur pareille, on s'attendrait plutôt à voir l'expo de Steve McPaprika...
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Voilà, je suis contente de ma connerie, je vous laisse retourner à des choses plus sérieuses. N'empêche que son travail photographique semble passionnant, dommage, c'est trop tard, fallait se réveiller avant le 30 juillet.
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Maintenant, une private joke (pour la route) qui ne sera comprise que par l'intéressé (c'est le principe du truc, vous l'aurez remarqué) :
Raph, pourquoi n'as-tu pas mangé de curry dans la soirée du 5 août ?
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Sister "sur la piste des épices".
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P.S. : L'expo était au 35-35 rue de Seine 75006 PARIS  (de 11h à 20h - Fermé lundi et mardi). Sinon, cliquez sur l'image pour accéder à son site et voir son travail. Vous reconnaîtrez certainement quelques clichés...
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Encore une bricole, parce qu'une petite part de dérision n'est pas incompatible avec la beauté de l'image.
Voyez comme cet homme prend un risque terrible car la moindre crampe au mollet risque de lui entraîner un effroyable mal de crâne.
Principe de causalité entre les conséquences des cascades humaines et la théorie de Newton...
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Maurice, fait pas l'con, ça n'a jamais fait repousser les cheveux de jouer au cochon pendu !
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4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 00:39

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Bon, récapitulons. À moins d'habiter en Corse ou hors métropole, il faut avouer que depuis des semaines - voire des mois - la météo est catastrophique, les températures hors saison et le moral au plus bas aussi. Ranger les tongs ! Remiser les espadrilles ! Vive la botte en caoutchouc !

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Non, je ne pratique pas le feetfucking sur marmottes synthétiques, juste que j'ai les arpions frigorifiés.

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Du coup, j'ai ressorti (grâce à Ikéa), mes super pantoufles "pattes de yéti" parce que le parquet froid du petit matin, merci bien ! OK, c'est moche, mais c'est le meilleur moyen de ne pas se choper un rhume en plein été (sic !), car avoir la goutte au nez sur la plage (si toutefois on approche le sable sans doudoune et bottes fourrées cette année) est proprement inacceptable.

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Ce temps me déprime au plus au haut point, la grisaille céleste est mon ennemie. On a déjà pas beaucoup de soleil sur la région parisienne, mais là, c'est le pompon ! Les lunettes de soleil ne seront pas amorties cette année et je pense revendre rapidement ma crème solaire indice 60 sur ebay ou l'échanger contre un ciré toutes options.

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Si vous aussi vous souhaitez témoigner sur "j'ai remis mes moufles pour sortir, mais je n'ose pas en avertir mon entourage" ou "je porte en douce des chaussettes la nuit" ou encore "je refuse de me mettre en maillot, sauf sous une combinaison de plongée de 8 millimètres d'épaisseur".

Alors n'hésitez pas, ces pages sont aussi les vôtres. Vous pouvez même témoigner anonymement, je ne moufterai pas à J.L. Delarue ou M. Dumas.

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Demain, je vous évoquerai peut-être l'intérêt du string en peau de mouton ignifugé et waterproof... on est jamais trop aidé (ou trop PD comme ils disent à la Marche des Fiertés - anciennement Gay Pride).

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Sister "sortez couverts, dans tous les sens du terme"

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2 juillet 2007 1 02 /07 /juillet /2007 23:12

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Pour ceux qui pensent que je ne ferai pas de vieux os, qu'ils se rassurent, j'ai tout ce qu'il faut pour me rappeler le temps qui passe et qui fout son fichu grain de sable dans pas mal de projets. On a l'âge de ses artères il paraît, c'est déjà pas mal.

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Rex, lâche le nonos à maman sinon les carottes seront (trop) cuites.

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Et pour ceux qui voudraient voir s'ils ont raison de prendre un crédit sur 30 piges, une assurance vie pour les générations à venir ou des Charentaises en semelle-feutre garanties inusables, anti-dérapantes et à l'épreuve des balles (c'est Pierre Bellemiche qui l'affirme), voici de quoi estimer de quel bois vous êtes fait.

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Sinon, pour ceux qui ont les moyens de jouer avec des petits cailloux (en version Place Vendôme, pas ceux du Petit Poucet), y'a aussi de quoi se faire plaisir.

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Oh José, t'es allé chez le coiffeur ! Ca te va bien cette nouvelle coupe.

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Tout ça pour quoi ? Pour souhaiter un joyeux anniversaire* de façon moins banale que l'ordinaire carte ou SMS et juste pour dire :

"Quelle chance, on est vivants ! Profitons-en !"

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Sister "Carpe Diem... all the time and much more"

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* les intéressés se reconnaîtront. Une bise ou plus, puisqu'il y a un peu affinité...

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5 mai 2007 6 05 /05 /mai /2007 23:33

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Un p’tit beurre, des touyoux ! *

 

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Et oui, il se passe un truc inouï, mon blog a déjà un an ! C’est déjà une belle bête pour son âge vous ne trouvez pas ? De ce fait, il fallait que je marque le coup, alors bien qu’ayant été un peu prise de cours, j’ai improvisé un gâteau d’anniversaire car il est important de fêter cela en grande chaussure, euh pompe.

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Admiré la finesse de l'ensemble, l'harmonie des proportions. Tout un art !

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Voilà la recette que j’aurais pu trouver dans « la pâtisserie pour les nuls ». Il ne reste qu’à lui donner un nom à la hauteur de sa créativité :

 

« fin biscuit liégeois au miel et sa délicate couverture de chocolat de République Dominicaine ».

 

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Evidemment j’ai collé la traditionnelle bougie sur le gâteau, mais mon mulot n’a jamais réussi à souffler assez fort pour l’éteindre. L’écran, le clavier et la webcam ont tenté leur chance également, sans succès. J’ai dû intervenir pour éviter un début d’incendie.

Vous imaginez la tronche des pompiers ? « Euh oui, je fêtais tranquillement le premier anniversaire de mon blog et soudain, la bougie du gâteau a fondu sur le fil de la cam’ qui a foutu le feu au disque dur externe avant de contaminer les enceintes et se propager à l’unité centrale ».

 

Un véritable drame évité de justesse !

 

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Voilà, un an ça passe vite, très vite. Cette belle aventure n’aurait jamais vu le jour sans l’intervention céleste de celui qui est devenu mon ami (je n'ai pas peur de le dire), j’ai nommé : AnT de chez Smith en face et créateur d’Inedire.

Je l’en remercie encore et lui voue une immense admiration.

Mes respects et mon affection lui sont acquis.

 

Je lui dédicace donc cette journée pas ordinaire, car sans lui, elle ne serait qu’un 5 mai comme les autres.

 

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Sister « qui vivra verra »

 

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* ceci est un exercice d'auto-congratulation

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 01:13

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Avis à la population !

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Pour tous les nombreux fans qui arpentent goulûment mes pages, pour mes milliers d’adorateurs qui dévorent mes écrits, pour les curieux, les pervers, les « ceux qui n’ont pas d’ami », les autres et même plus. Pour tous, voici la grande nouvelle du jour, qui – comme la plupart de ce qui est écrit ici – n’a aucune importance.

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Lundi 30 avril (donc aujourd'hui même), je serai « en direct live en personne moi-même » (quoi ? Je serais un peu mégalo… ah bon ?) à la Foire de Paris, mais si mais si ! N’applaudissez pas, il est bien naturel que je rencontre mon public de temps en temps.

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Bon, je n’y tiens aucun stand à ma gloire, n’y suis pas non plus présentée comme un phénomène de foire, ni comme l’invention de l’année ou en temps que substitut à votre poêle à bois (bien qu’étant assez chaude).

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Oui je sais, certains seront déçus.

Je m’y promènerai juste pour découvrir des choses totalement inutiles, donc absolument indispensables. Histoire de claquer une partie du salaire qui n’est pas encore sur mon compte : j’ai un certain goût du risque !

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Maintenant vous savez tout. Si vous croisez une fille qui hésite entre un bol tibétain en alliage (pas le boys band) de 7 métaux, un saucisson corse (à la châtaigne) et un pèle-radis-thermo-nucléaire, vous saurez que c’est peut-être moi.

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Histoire de rigoler un peu, j'ai déjà trouvé un stand amusant. Totalement décalé et parfaitement risible car s'il y a bien un moyen de faire fuir les journalistes, c'est de leur proposer autre chose à boire qu'un breuvage alcoolisé... quand on les connait un peu, on sait qu'ils sont champions du monde de levage de coude. Et pourtant, j'ai déniché ça sur le site de la manifestation : Ouaip, une idée pareille c'est du grand n'import'nawak !

 

Soyez sages pendant que je tourne le dos quelques instants.

Demain, si j’ai fait des découvertes dignes de ce nom, je vous en ferai part en ces lieux, avec des photos à l’appui. Hum, vous êtes vraiments gâtés pourris mes petits...

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Sister « en voiture Simone ! Euh, vous pouvez m'appeler Sister, je préfère »

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À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire"

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