Dans la série « mes questions à la con », v’là t’y pas que ce soir je m’interrogeais sur un fait de société grave, que dis-je, un sujet brûlant, une énigme encore non élucidée par la science et les types en blouse blanche vachement moins sexy que les infirmières pourtant pourvues des mêmes accessoires ou presque.
Attention, question pour un champion : « pourquoi n’existe-t-il que du boudin de porc ? »
Bah oui après tout, qu’est-ce qui empêche d’en faire aussi avec du bœuf, de l’agneau ou de la volaille ?
Bon, OK, pour cette dernière catégorie animalière, je conviens que cela serait assez long et trop compliqué de saigner 12 poulets pour n’obtenir qu’un mini boudin antillais.
M’enfin, dans une vache de réforme, doit y’avoir moyen de moyenner à sortir quelques charcutailles… on fait bien du saucisson d’âne, après tout.
Ainsi, je profite à nouveau de ma tribune libre pour lancer un appel au peuple (même si on n’est pas encore le 18 juin), car si vous avez dans vos connaissances des bouchers, tripiers et autres trafiquants de barbaque, n’hésitez pas à les questionner, ça m’intéresse.
N’empêche, j’en profite pour signaler une petite différence de sens, un je-ne-sais-quoi qui choque un brin entre l’acception masculine et son « pendant » féminin puisqu’on dit : « tout est bon dans l’cochon » alors que pour elle on opte plutôt pour « qu’elle est bonne cette cochonne ».
Voyez comme ça tient à peu de chose…
Sister « cochonne aussi »
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