C’est un grand classique du genre. Petit exercice sans prétention, histoire d’agrémenter le dimanche et de vous faire participer un peu si vous aussi vous acceptez de jouer le jeu. Bah oui, je peux bien tenter de le rendre un peu interactif mon blog, nan mais oh, j’fais c’que j’veux, j’suis chez moi après tout.
Me dites pas que vous avez mieux à faire, il fait un temps de chien et si vous me lisez en ce moment, c’est que vous êtes planté devant votre ordi à buller au lieu de faire la vaisselle ou d’aider le petit dernier à finir ses devoirs, alors autant participer.
Je n’aime pas :
- les doudounes longues (qu’on dirait qu’ils ont enfilé des sacs de couchage)
- les gens qui agitent sans cesse leur jambe (j’ai envie de leur taper dessus pour les calmer)
- les collègues qui n’ont aucun autre sujet de conversation que leur progéniture (et moi, est-ce que je leur parle de ma chatte ?)
- acheter des chaussures qui font mal au pied (et qui finiront dans leur boîte rapidos)
- les gens qui mâchent la bouche ouverte (on dirait une machine à laver avec la bouffe qui tourne, c’est gerbant)
- faire le ménage (et surtout passer le chiffon à poussière)
- la racaille qui écoute du rap à fond dans le train (un jour je ferai pareil mais en leur mettant un truc bien pourrave de derrière les fagots)
- les tomates, les quenelles, le fenouil, les ris de veau, la tarte au citron, les tripes (et les trucs mous comme la cervelle)
- les collègues qui parlent toutes seules et commentent tout ce qu’elles font (ça fait un bruit de fond saoulant, là aussi, j’ai envie de les frapper)
- rater mon train à 1 minute près (et avoir 30 minutes à patienter pour le prochain)
- les gens avec qui ont fait un bout de chemin et qui vous oublient aussi vite qu’ils avaient souhaité vous rencontrer (parce qu’ainsi va la vie)
- filer mon bas le matin juste en l’enfilant (RIP, il en meurt plein comme ça tous les ans et Brigitte Bardot ne fait rien contre ce drame)
- marcher dans les feuilles mortes et mettre le pied dans une flaque (qui était sournoisement cachée en dessous)
- les emballages à moitié vides (pour faire croire à une quantité plus grande, mais en fait y’a que dalle dedans)
- ne pas avoir assez de temps ni de fric pour parcourir la planète (et ce n’est pas à 70 ans que je le ferai)
- que les journées ne fassent que 24h (surtout le week-end et les jours fériés)
- manquer de Nutella (parce qu’une envie de chocolat peut survenir à tout instant et qu’il faut savoir être réactive)
- et bien sûr en vrac mais tellement évident : la guerre, les maladies, la pollution, l’extinction des espèces animales et végétales, la connerie humaine, etc.
J’aime :
- qu’on m’aime (what else?)
Sister « en quête d’un petit quelque chose qui illumine la vie »