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Penchons-nous aujourd’hui sur un travers typiquement féminin : la propagation de ragots ou le « cassage de sucre » sur le dos d’une truie, euh… d’autrui.
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Vous l’avez peut-être remarqué, je ne suis pas tendre avec la gent féminine dont je ne partage pas les « valeurs ». Rappelons que l’impérieuse nécessité d’un accord chaussures / sac à main me laisse totalement dubitative, quand elle ne me plonge pas dans une profonde indifférence, à la limite du mépris.
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De « fashion victim », je n’ai retenu que l’aspect S.M. de la douleur consentie et souhaitée. N’étant pas portée sur ces pratiques, je laisse ça aux blondes de base.*
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*Ceci constitue un terrible pléonasme, je vous l’accorde, mais j’aime bien l’idée de la mise en abîme, surtout pour parler du néant. Oui, cette note de bas de page, a fait de la résistance et n'a pas souhaité descendre, elle est donc restée dans le texte et a été remplacée par une blague en fin du texte.
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J’en profite pour préciser - dans un souci d’égalité des chances et de traitement - que la « blonde attitude » peut parfaitement s’appliquer aux femmes de couleur, aux minorités visibles, aux « chances pour la France » et j’en passe.
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Revenons à notre propos initial : à quoi ça sert de « pourrir » une autre gonzesse en racontant des horreurs sur son compte (qui ne sont souvent que pure affabulation) ?
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.- A se « faire mousser » ? Ridicule ! Évoquer le défaut de quelqu’un ne vous dote pas pour autant de la qualité correspondante.
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- A se faire plaisir ? Indubitablement. Elles semblent y trouver une certaine forme de jouissance, sinon à quoi bon.
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- A paraître mieux qu’elles ne sont ? Probable. L’utilisation d’un faire-valoir est toujours une ruse facile à utiliser.
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- A trouver un sujet de conversation ? Immanquablement. Il est vrai que lorsque le champ culturel se limite à la lecture de Voici et à une présence assidue devant « Les Feux de l’Amour », il ne reste plus grand-chose à raconter.
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- A vouloir ressembler à Paris Hilton ? Pitoyable. Merci à toutes les personnes se trouvant dans cette configuration de bien vouloir déguerpir de mon blog et de se signaler immédiatement à l’hôpital psychiatrique le plus proche afin de recevoir leur dose salvatrice (pour l’humanité) de « bouillon d’onze heures ».
.. Pas de doute, j’ai beau chercher, je ne vois pas ce qui les attire dans cette entreprise de destruction de l’autre. Visiblement, il n’est même pas nécessaire que la proie de leurs sarcasmes soit une rivale pour subir leurs assauts de fiel et de méchanceté gratuite. Le but, l’intérêt, la finalité de ces manœuvres demeurent pour moi un grand secret. . Et dire que correctement entraîné, le cerveau féminin peut égaler celui de l’homme… si, si, observez plutôt (nan, je ne ferai pas la blague de l’ami de Mickey). . Marie Curie, Claudie Haigneré, Marguerite Yourcenar, La Calas, etc. Elles se sont imposées par leur talent (et pas en se vautrant dans la piscine d’un loft). Attention, la notoriété n’est pas non plus un gage absolu de qualité, la preuve : Condoleezza Rice, là c’est le ratage total. Hyper connue, d’accord. Mais tout autant détestée, tant elle est mauvaise et fout la trouille par ses propos. . Va falloir que ré-apprenne à vivre dans un environnement professionnel majoritairement féminin. Sacré gageure ! . . Sister « au pays des aveugles, les borgnes sont rois » . Petite blague bonus : Quelle est la différence entre une cravate et la queue d'un cheval? La queue du cheval elle, cache complétement le trou du cul qui est derrière !