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Continuons notre tour d'horizon en explorant aujourd'hui : l'abjecte, le repoussant, le négatif, bref le côté obscur (non, pas de la force, non, non).
D.L. : Un crétin de la pire espèce. Il pète plus haut que son cul et pourtant ne pisse pas loin quand on le met au défi. Ce pleutre ne cesse de faire porter aux autres le poids immense de sa bêtise. Il pique des colères de petit roquet teigneux. Le pire ? Sa descendance ! Hé oui, c'est beau le travail en famille surtout quand on a développé, en plus des tares héréditaires, la mesquinerie et la perfidie. Un jour, ils finiront sous un camion, parce qu'ils le valent bien.
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C.E. : On devrait la placer sur un plateau du Larzac, au moins elle servirait à quelque chose. Son truc à elle, c'est de mouliner dans le vide, de brasser de l'air (quand elle ne pompe pas celui de ses salariées). Si elle pouvait avoir le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière, elle trouverait encore à redire. Quelle plaie ! Parmi mon panel de "pénibles", elle a droit à une mention spéciale.
K.L. : La parano. Persuadée que la terre entière est contre elle et lui en veut, convaincue que ses dossiers sont bourrés d'erreurs et qu'on cherche à la planter. Elle est branchée sur du 100000 volts et monte sur ses grands chevaux avant qu'on ait pu ouvrir la bouche. Je lui prédis un ulcère à court terme.
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A.B. : L'association de malfaiteurs. Dès le début, je les avais flairés ceux-là, des escrocs notoires, je les repère à 100 mètres. Intuition, 6e sens, professionnalisme, qu'importe, pour moi il était évident qu'il fallait refuser le dossier, trop risqué. J'ai prévenu le boss qui n'a pas bronché : "c'est moi le patron" => comprendre : fin de non-recevoir, retourne à tes affaires sombre petite crotte. Résultat, quelques mois plus tard ils nous plantaient en beauté et laissaient en cadeau une note bien salée. Bien fait pour lui, il s'est assis sur ses énormes factures impayées. Ca doit encore lui chatouiller les hémorroïdes... Tant mieux !
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C.C. : La rombière. Elle parle "pointu", bonne bourgeoise catho-tradi', plus coincée qu'elle tu meurs ! À part le Pape ou De Villiers, je ne vois pas... Un jour son homme a pété un cable. Il s'est pris au jeu de la jet-set, a mené grand train, double vie et tout le tremblement. Résultat, les entreprises se cassent la gueule. Bah oui, il fallait bien trouver l'argent pour entretenir ses "danseuses". Dommages collatéraux : la belle-famille qui avait ses billes dans l'histoire et bossait d'arrache-pied. Il faut liquider, tout solder, apurer. Circulez y'a rien à voir ! Ils sont sur le carreau, fâchés à mort et on les comprend. Quand y'a de l'argent, y'a plus de famille !!!
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Voilà, il y en a bien d'autres, mais il est temps de passer l'éponge (comme dirait Robert), je les laisse là où je les ai pris, à peu de choses près. Ils continueront leur route et moi la mienne.
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.Sister "la vie n'est pas un long fleuve tranquille"