On apprend toujours de ses échecs, voici ma leçon du jour :
- ne pas faire du camping au milieu du salon quand des dizaines de mouches y tiennent meeting
- ne pas accepter l'invitation quand il y a déjà toute la famille des potes de présente sur place
- vérifier qu'il n'y a pas plus d'un gamin dans l'assistance (et encore, c'est déjà risqué)
- trouver une bonne excuse pour repartir au plus vite dans l'après-midi du dimanche (de toute façon, y'a beaucoup trop de bouchons après 15 h au retour sur Paris)
- faire un cadeau qui se voit, ça impressionne plus les convives qu'une enveloppe (si garnie soit-elle)
- ne pas manger de merguez, non, plus jamais, il ne faut pas, du tout, bobo le ventre maintenant
- ne pas oublier une tenue pour la nuit sinon toute tentative hors du duvet est hasardeuse avec la smala autour
- penser à emporter des chaussures ad hoc, ici les champs ne sont pas "Elysées"... on dirait qu'ça t'gêne de marcher dans la boue...
- se motiver, en se disant que sur la route, il y a une chocolaterie divine, aux breuvages subtils et pâtisseries délicates. S'y presser en sachant qu'on ne voudra pas quitter le lieu reposant, alors qu'il le faut pourtant. Et se dire que pour ça, et juste pour ça, on reviendra peut-être, mais la prochaine fois avec un minimum de précautions : les potes et juste les potes.
Sister "y'a des limites à ma bonté"