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13 juin 2006 2 13 /06 /juin /2006 17:20

- Bonjour, vous souhaitez rendre un article ?

- Euh oui, je ne suis plus satisfaite de ce corps et je voudrais reprendre mon ancienne enveloppe charnelle.

- Ah bon, celui-ci ne vous plaît plus ?

- Oh, il est très bien, la preuve en est que je l'ai gardé plusieurs années, mais, la taille n'est plus en adéquation avec mes attentes de l'avenir.

- Oui, vous aviez pris le modèle très large, ça peut devenir pesant à la longue...

- En effet, vous avez mis le doigt dessus (retirez-le maintenant, merci) et il m'a été d'un grand secours.

- Vous avez pleinement exploité son pouvoir de bouclier envers l'entourage ?

- Bien sûr, c'est d'ailleurs ce qui m'avait motivé pour le prendre, j'avais besoin qu'on m'oublie, car je ne souhaitais plus avoir quoi que ce soit à prouver à quiconque.

- Etrange paradoxe n'est-ce pas ?

- Tout à fait, ce côté placide nous rend transparents et pourtant on nous sollicite sans cesse pour alléger la peine, la douleur, les ennuis.

- Oui, nous mentionnerons désormais sur l'étiquette que le modèle saint Bernard (ne pas confondre avec Sarah qui n'était pas vraiment une sainte) est une éponge (sans Bob ni casquette, S.V.P.) pour toute la misère des autres.

- C'est bien le problème, car j'ai fini par me perdre dans ce costume trop grand pour moi. J'aimerai me recentrer sur ma propre vie et mes attentes.

- Le risque est bien réel en effet, à force de jouer un rôle, on en oublie sa personnalité, on devient vraiment le personnage que les autres veulent que vous soyez pour eux.

- Finie la vie par procuration ! J'ai plein de projets perso alors je ne pourrai plus traiter les petits et gros soucis de tout le monde.

- Vous savez que l'inversion du processus est un peu longue et semée d'embûches ?

- Oui, oui, je m'y suis préparée, l'idée est mûrement réfléchie et je me sens prête, ma décision est prise.

- Sans indiscrétion, quel en fut le fait générateur ?

- Euh, si, c'est indiscret mai bon, allez, je balance, mon groupe sanguin est A négatif. Quoi ? Je m'égare ? Je n'ai pas compris la question ? Si, si, j'essayais juste de noyer le poisson.

Ce qui a tout déclenché ? Une rencontre, des paroles, un personnalité plus marquante, une ouverture sur le monde que je percevais plus.

À force d'être le nez dans le guidon, on en oublie la route et on se perd.

À courir plusieurs lièvres, on en oublie son propre objectif.

À être trop disponible pour les autres, on en oublie d'exister pour soi aussi.

- Je vous sens déterminée, d'où vous vient cette motivation ?

- Du coup de pied au c.. que j'ai reçu ! Pour une fois, ce n'est pas moi qui faisais bouger les autres, je me suis fait bousculer dans le bon sens.
Je n'étais plus sur les rails depuis longtemps sans pourtant avoir rien vu venir.

Le choc a été total : on m'a tendu la main ! Au début, je n'ai rien compris, je ne savais pas quoi en faire. J'étais perdue et surprise par cette subite sollicitude. Cela sortait totalement de mes schémas habituels.

Puis, j'ai assimilé ce qui arrivait. On ne me poussait pas sur le chemin, on me montrait ma voie. J'en restais sans voix ! Progressivement, je retrouve un souffle nouveau. La petite musique de mon coeur résonne à nouveau à mes oreilles. Qu'il est bon de l'entendre à nouveau après plus de 10 ans de "coma psychologique et émotionnel".

- Il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

- À qui le dites-vous ! Depuis toujours je vois et ressens la douleur des autres, je ne savais même pas que je pouvais aussi entendre la mienne. Jusqu'à présent, le sentiment était diffus, présent, mais impalpable.

- Pourtant, l'ampleur de votre bouclier physique aurait dû vous mettre la puce à l'oreille ?

- Mais non, pas le moins du monde, j'étais au pied du mur, mais en le voyais pas, du moins très partiellement et cela me convenait. En fait, mon esprit est resté tout ce temps formaté sur le corps précédent, je ne voyais pas le nouveau qui s'était installé. C'est pourquoi je voudrais retrouver ma logique corporelle puisque ce costume que j'endosse n'a jamais vraiment été le mien.

- La cécité en plus de la surdité ?

- Tout à fait ! Suite au choc initial, le bouleversement a été intégral, mais je ne voulais pas l'accepter alors j'ai continué à batailler contre les moulins à vent des autres pour ne plus avoir à affronter mes fantômes personnels.

- Et en quittant le costume mal taillé, vous pensez être guérie ?

- Non, pas déjà, mais en cours de guérison, oui. Mon corps n'est pas mon ennemi, il n'est que le reflet de plus en plus voyant de ce que je ne voulais pas voir en moi.

Maintenant que j'ai vu la jolie lueur qui brille, la conséquence psychosomatique n'a plus lieu d'être...

- Et vous pouvez donc retrouver votre corps d'avant, ou du moins vous en rapprocher. OK, j'ai tout compris.

- On m'a montré la porte qui mène à la paix intérieure, j'ai osé l'ouvrir et je me sens prête, à défaut de transformer le plomb en or, au moins à canaliser le stress pour en faire une énergie positive me permettant d'aller de l'avant.

- Alors bonne route et sans regret ?

- Merci, sans regret je vous assure. Je ne suis plus nostalgique du passé, je vais aller au-delà et appréhender l'avenir avec plus de sérénité.

- Adieu ancien "moi".

 

Sister "une page se tourne"

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10 juin 2006 6 10 /06 /juin /2006 02:11

Panne d'inspiration, flemmingite aigüe, glandouille notoire. Peut-être. Mais sachez que je suis en vacances depuis hier et pour quelques jours alors histoire d'exorciser un peu mon quotidien habituel de d'habitude à moi que j'ai, voici (un peu plus bas, merci) une chanson toujours d'actualité, bien qu'ayant quelques décennies au compteur.

Ce qui prouve aussi que Cabrel (Françis de son prénom aussi mais à ne pas confondre avec Zégut) a écrit autre chose que sa nostalgie des dames, des chemins et des cailloux.

Bon, bien sûr je peux vous la chanter moi-même mais tant que la météo se maintient au beau, j'préfère pas. Par contre en cas de pénurie d'eau, sécheresse potentielle ou rationnement. Y'aura moyen de moyenner. Si je peux contribuer à sauver la planète, je suis prête à payer de ma personne. Telle une Bruce Willis au féminin et dopée en neurones contrairement à ce qu'on pourrait croire à la vue de mon apparence de "blonde de base", parfaite couverture pour exercer mes talents d'agent double au service d'une loge non maçonnique (suis pas très BTP finalement) et dont je ne dirais rien puisque bon, bah, y'a rien à en dire. Qu'est-ce qui faut pas aller inventer pour faire un suspens à deux balles... Et pourquoi donc ? Bah j'vous l'demande. Rien comme d'hab'. On a pas des métiers faciles...

Ma place dans le trafic

Le jour se lève à peine
Je suis déjà debout
Et déjà je promène une larme sur mes joues
Le café qui fume
L'ascenseur qui m'attend
Et le moteur que j'allume
L'aident à prendre lentement
Prendre ma place dans le trafic
À prendre ma place dans le trafic
J'aimerais que quelqu'un vienne et me délivre
Mais celui que je viens de choisir
L'a donné juste assez pour survivre
Et trop peu pour m'enfuir
Je reste prisonnier de mes promesses
À tous ces marchands de tapis
Qui me font dormir sur la laine épaisse
Et qui m'obligent au bout de chaque nuit
À prendre ma place dans le trafic
À prendre ma place dans le trafic
Et quand je veux parler à personne
Quand j'ai le blues
Je vais décrocher mon téléphone
Et je fais le 12
Je suis un mutant, un nouvel homme
Je ne possède même pas mes désirs
Je me parfume aux oxydes de carbone
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir
Je regarde s'éloigner les rebelles
Et je me sens à l'étroit dans ma peau
Mais j'ai juré sur la loi des échelles
Si un jour je veux mourir tout en haut
Il faut que je prenne ma place dans le trafic
Faut que je prenne ma place dans le trafic
Et quand je veux parler à personne
Quand j'ai le blues
Je vais décrocher mon téléphone
Et je fais le 12
Parce que quoique je dise
Quoique je fasse
Il faut que passent les voitures noires
Je suis un mutant, un nouvel homme
Je ne possède même pas mes désirs
Je me parfume aux oxydes de carbone
Et j'ai peur de savoir comment je vais finir
Il y a tellement de choses graves
Qui se passent dans mes rues
Que déjà mes enfants savent
Qu'il faudra qu'ils s'habituent
À prendre ma place dans le trafic
À prendre ma place dans le trafic
Ma place dans le trafic

 

Sister "y'a d'la joie"

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4 juin 2006 7 04 /06 /juin /2006 00:03

D’abord, levée 4h30, soit l’heure à laquelle je m’étais couchée la veille : dur.
Puis séance de musculation pour le chargement et déchargement de la cargaison : sportif.
Foire d’empoigne avec les brocanteurs pros qui viennent prendre les plus belles pièces à vil prix dès potron-minet : arnaque totale.
Exercice de style, patienter en attendant le chaland, ne pas geler sur place : zen en toutes circonstances.
Mater les tronches des passants, voir le mélange de classes sociales, se dire qu’on voit de tout et se marrer un peu : détente et bonne humeur.
Avaler un sandwich tout en négociant un lot de verres « à pas cher » : être au top jusqu’au bout du casse-dale.
Se rendre compte que le soleil tape et qu’on est en dessous depuis trop longtemps : séquence « cuisson à point ».
Gérer la foule qui veut un sweat-shirt de grande marque tout neuf pour 0,50 € : re-zen attitude.
Constater qu’à 17h, peu d’objets ont été vendus : feel so disappointed.
Attendre encore avant de remballer, brader certains trucs, voir que le stock ne baisse pas : ravaler son orgueil.
Commencer à remettre dans les cartons, se casser le dos, se demander où on va stocker ce bazar : on est mal ! On est mal !
20 heures, c’est le grand ballet des voitures et camionnettes : dernière ligne droite.
Soirée tranquille pour se remettre de ses émotions : kaput, naze, H.S., mort.
Bilan : à peine rentable mais expérience à vivre « pour voir ce que c’est ».
Bonus : j’ai plus besoin d’auto-bronzant, j’ai chopé un coup de soleil !
 
 

Sister "allez, j'vous l'fais à 1 euro"

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8 mai 2006 1 08 /05 /mai /2006 02:54

Cet article a été supprimé parce que trop perso et mettant en lumière une personne ne le souhaitant probablement pas, c'est pourquoi j'ai préféré le retirer.

Assumer mes erreurs me permettra de mieux les comprendre.

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7 mai 2006 7 07 /05 /mai /2006 00:28

Ainsi donc, c'est le printemps. Rien d'extraordinaire à cela me direz-vous, tous les ans c'est pareil, y'a des petites fleurs dans les jardins, les jours rallongent un peu et les allergiques pleurent dans leurs tire-jus en éternuant.

Pas la peine d'en faire un frometon, passons aux choses sérieuses. Ah bon ? C'est comme ça que vous le prenez ? Va vraiment falloir qu'on cause, parce que j'ai dans l'idée que vous passez à côté de pas mal de trucs.
 
Tout d'abord, je vous rappelle que jadis, à l'époque où l'humanité (enfin du moins des Indo-européens) vivait dans un monde sans Coca, SMS, ni télé-réalité, si si je vous assure les djeun's, il y a eu une vie avant la PS2 ! On fêtait alors ce retour de la lumière par de véritables célébrations, notamment Beltaine. Amis de la culture bonsoir, je vais donc détailler largement le culte des arbres, de l'eau et du soleil. Euh non, sans blague moi ça ne me dérange pas car j'adore ça mais si je me lance dans cette épopée, je vais perdre mon seul lecteur, la belle affaire !
Que se rassurent ceux qui voudrait en savoir plus, j'évoquerai prochainement un point de vue 
  
Ainsi donc, pourquoi voulais-je vous entretenir des bourgeons (aux branches et sur le front du djeun Kévin qui a oublié sa lotion miracle pourtant on lui avait dit qu’il le valait bien), des caniches nains qui étrennent leur nouveau brushing tout neuf (assorti à la création capillaire de leur maîtresse, garantie « tendance de la saison » et dûment accréditée par les cahiers du même nom), mais encore et surtout de la montée de sève ! Oui, oui, je sais bien ce que vous pensez… ça tombe bien, moi aussi ! ;-)
On a beau dire mais dès les premiers rayons du soleil, le filles ressortent leurs mini-jupettes avec le petit top super « fashion victim », envahissent les terrasses de café côté face (celui qui va bien pour parfaire le hâle léger débuté à prix d’or en institut). Et là, en plus d’affoler le mâle innocent (enfin presque) qui passait par là pour s’en jeter un p’tit avec ses potes et commenter d’un avis d’expert (en fauteuil-bière-chips), le match de la veille, que ce passe-t-il ? Un drame se noue sous nos yeux et pourtant, nous vaquons à nos occupations sans nous rendre compte du terrible désarroi dans lequel la gent féminine est plongée. Oui, cher lecteur, ce n’est pas une révélation digne du Sun ou de Voici concernant le dernier furoncle de Britney Spear, mais la tragédie est là ! D’ailleurs, si vous étiez un peu plus attentif aux titres de la presse féminine, vous auriez déjà vu où se situe le problème. Vous vous en foutez comme de l’an 40 ? Moi aussi, je ne parcours ces foutaises que chez mon généraliste et ses magazines sont souvent périmés depuis ½ lustre, c’est dire !
Bon, ouvrez les yeux. Oui là, regardez attentivement, juste derrière vos bras tendus à lire la énième confession de Zidane, au delà de la quatrième de couv’ de l’Equipe, il se passe un spectacle aussi déroutant qu’affligeant.
 
Un rapide examen des femelles attablées devant leur salade / Perrier et vous constatez qu’elles s’examinent l’une l’autre, se tâtent la cuisse ou la taille en étant toute à la fois horrifiées et convaincantes. Quoi ? Vous n’avez toujours pas compris où se joue le drame ? Vous y mettez vraiment de la mauvaise volonté.
Voici donc un extrait des dialogues :
« Mais si Mauricette, regarde z’y donc un peu c’te cellulite pourrite sur ma jambe ! Oh c’te misère, c’est point Dieu possible que j’rentre dans mon maillot avec un bide pareil carrément flasque et j’te cause pas de comment qu’je suis boudinée dans mon bermuda en coton satiné Gucci, j’vois point comment j’vais tenir la distance c’t’année ! ».
Le lecteur attentif aura remarqué que j’ai choisi intentionnellement un accent assez « terroir » pour retranscrire l’échange verbal car si j’avais utilisé la rhétorique exacte et tarabiscotée employée par les personnes visées, je risquais le procès par des centaines de pseudo gravures de mode (ou attachées de presse) qui m’auraient attaquées pour plagiat ou utilisation frauduleuse de leurs propos. Sans compter qu’il aurait fallu vous traduire en termes compréhensibles le charabia technique que les bobo-branchouilles-jet-set (et match !) abonnées aux défilés de créateurs utilisent entres elles pour décrire leurs dernières trouvailles. Un exemple pour les sceptiques ? Allez savoir ce qu’est une « blouse à manches chauve-souris en mousseline de soie imprimée » ? Je vous le donne en mille, c’est en fait un grand morceau de tissu à la forme très floue et presque impalpable de légèreté, le tout affublé d’un immonde motif (que même les hippies n’avaient pas osé en 68) et qui doit faire office de chemisier. Alors ? J’vous avais pas menti, hein !
 
Revenons à nos moutons (mêêêê ! Nan, y’a pas d’mais).
Ainsi donc, depuis mars, toutes les feuilles de choux (à destination des femmes) et autres supports publicitaires imprimés qui ne sont qu’un seul et même concept d’ailleurs. Tous en ont fait leurs choux gras, il faut maigrir !
Pas d’alternative, aucune échappatoire, no way girls !!!
Régimes (selon votre groupe sanguin), crèmes (magiques et dont l’effet s’arrête dès que le pot est vide), massages (argh, le palpé-roulé vous bousille la barbaque en deux séances), appareils de torture (ça vous secoue la couenne par des spasmes répétitifs), sport au quotidien (on serre les fesses en attendant le bus), compléments alimentaires (gélules douteuse au contenu non identifié) et j’en passe !
Chaque millésime a sa propre nouveauté, son truc miracle inédit, son incontournable !
Ainsi, les couvertures rivalisent de trouvailles dans les rayonnages du libraire débordé et foutent une pression d’enfer à toutes le p’tites nanas qui ont tout à prouver car elles font la tendance ou les quadras qui veulent se la péter comme les gamines.
Objectif ventre plat, seins fermes, taille de guêpe, cuisses fuselées, peau lisse partout (justice nulle part). C’est le challenge, il FAUT perdre ces 5 kilos avant l’été et tous les moyens sont bons.
J’ai pitié d’elles, cela me fait mal au cœur, pourquoi une telle mise à l’épreuve annuelle ? Une volonté farouche de survie (mentale et physique) me garde de suivre leur comportement. Je les comprends mais les plains aussi.
Est-ce que la pivoine qui éclos actuellement se met martel en tête pour être encore plus belle que l’année précédente ? Non, elle nous régale de la douceur de ses pétales, de son parfum suave et de ses couleurs rayonnantes sans que nous nous posions la question qu’il puisse en être autrement.
 
Maintenant, messieurs, juste une dernière chose car vous avez dû, vous aussi, vous moquer un peu en lisant ces lignes. Bah oui, on en connaît forcément des victimes de ce genre, ça frôle le grotesque et on rigole bien de cet état de fait. Sauf que… maintenant, il suffit de tourner la tête vers VOS magazines et vous verrez que le vent a tourné… Et les titres sont les mêmes ! Le combat a changé de cible… and you are the quarry !
Oui, vous pouvez pleurer maintenant ou effacer ce rire (jaune) de votre visage.
 
Sister « vous reprendrez bien un peu d’alfalfa ? » 
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A méditer... ou pas

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À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire"

Pierre DESPROGES

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